Lowland - Emptiness

I am the lowlands, and the ladder

The one that leads you down

Eyes rest on you, streets swarm of life

Our star is dripping its heat

Females seem ready to impregnate

Shadow is cast out, optimism speeds up the cycle

Blackout is planned, to make shadow a ghost

And make sure to never be one amongst you…

No one knows, the taste of the infinite

Licking death…

No one knows what is the taste of the void

We should be able to do it, give the sun back to its master

We need space, the path is open, and devious we move forward…

Forward on the sly

But, to where?

No one knows, what they’re doing

You think of yourself unique and safe on earth

But you’re already dead… now face it

You may charge ahead, but your turn around

Seasons are there to remind you’re just a pawn

Everything unwrapped and will unwrap more

And then believe, again, that you endure

I am the lowlands, I am heaven

The one that will take us further, from the sky

Forget about the sun, forget about your home

What does really matter…

When there’s nothing but the whole

Je suis les plaines et l'échelle

Celui qui te mène vers le bas

Les yeux se posent sur toi, les rues grouillent de vie

Notre étoile dégouline de sa chaleur

Les femelles semblent prêtes à féconder

L'ombre est chassée, l'optimisme accélère le cycle

Une panne d'électricité est prévue, pour faire de l'ombre un fantôme

Et assurez-vous de ne jamais être l'un d'entre vous…

Personne ne sait, le goût de l'infini

Lécher la mort…

Personne ne sait quel est le goût du vide

On devrait pouvoir le faire , rendre le soleil à son maître

Nous avons besoin d'espace, le chemin est ouvert, et sournois nous avançons ...

Transférer en cachette

Mais, jusqu'où ?

Personne ne sait ce qu'il fait

Vous vous considérez comme unique et en sécurité sur terre

Mais tu es déjà mort... maintenant fais-y face

Vous pouvez charger en avant, mais votre demi-tour

Les saisons sont là pour vous rappeler que vous n'êtes qu'un pion

Tout déballé et déballera plus

Et puis crois, encore une fois, que tu endures

Je suis les plaines, je suis le paradis

Celui qui nous emmènera plus loin, du ciel

Oublie le soleil, oublie ta maison

Qu’est-ce qui compte vraiment…

Quand il n'y a que le tout