Circle Of Fools - Epidemic

Reject the internal, a blind eye turned, truth denied.

Unwanted within them inflicted outwards in lies.

Aversion, denial, oppression, blame sinks to you.

The scapegoat is chosen and hunted among delusions of the few.

Panic bleeds into the brain, a high pitch from the sky.

Gripped by the instinct of fear, sirens multiply.

Convulsions to death, conform the body to flesh.

A beatless heart lying still, murdered by illusions of the mind.

Convicted, sentenced, brought to trial, extremities too far.

Exceed brought by stagnant world, time frozen, charges barred.

I blame you for corrupted youth, on your command they turned.

Bring the masses to the fold, next generation saved.

Fear dictates their sense of trust, a tightened guiding grip.

In their minds we are the weak, so easily to slip.

Eliminate temptation, a world preserved and saved.

Persecute the ones they fear, and the disarray.

What do you think entertained his mind, as he raised the gun to his =

sweat soaked brow.

Did some hypnotic rhythm reach out and fire the killing blow.

Or did his battered, scarred existence cry out for an end.

A tortured empty life that he let go.

Shock, disbelief, the crushing grief

As guilt drained their lives, their senses numb

Brought to trial can=B9t let the question lie

Court rejected, blame deflected, failed to pass the inner pain

Stagnant now, within them it resides.

What are they hoping to see, those who shield our eyes

Uniformed, marching in stride, pure personified

This world of perfection, enforce the boundaries around

Like cattle the circle of fools is lead to the moral high ground

Tension built, released the blow, outbreak of war and fear

Collective ignorance and hate directed at the near

Vandalized by fools who search for an enemy

They and those who blind our sight are the danger that they seek.

Rejeter l'interne, un œil fermé, la vérité niée.

Indésirable en eux infligé vers l'extérieur dans des mensonges.

L'aversion, le déni, l'oppression, le blâme vous tombent dessus.

Le bouc émissaire est choisi et chassé parmi les délires de quelques-uns.

La panique saigne dans le cerveau, un ton aigu du ciel.

Saisis par l'instinct de peur, les sirènes se multiplient.

Convulsions jusqu'à la mort, conforment le corps à la chair.

Un cœur sans battement, immobile, assassiné par des illusions de l'esprit.

Condamné, condamné, traduit en justice, les extrémités trop loin.

Dépassement apporté par le monde stagnant, le temps gelé, les charges interdites.

Je vous blâme pour la jeunesse corrompue, sur votre ordre ils se sont retournés.

Amenez les masses au bercail, nouvelle génération sauvée.

La peur dicte leur sentiment de confiance, une poignée de guidage resserrée.

Dans leurs esprits, nous sommes des faibles, si faciles à déraper.

Éliminer la tentation, un monde préservé et sauvé.

Persécuter ceux qu'ils craignent, et le désarroi.

À votre avis, qu'est-ce qui a diverti son esprit alors qu'il levait le pistolet vers le sien =

front trempé de sueur.

Est-ce qu'un rythme hypnotique s'est tendu et a tiré le coup fatal.

Ou son existence battue et meurtrie a-t-elle réclamé la fin ?

Une vie vide torturée qu'il a abandonné.

Le choc, l'incrédulité, le chagrin écrasant

Alors que la culpabilité vidait leur vie, leurs sens s'engourdissaient

Conduit en procès peut = B9t laisser la question mentir

Le tribunal a rejeté, le blâme a été détourné, n'a pas réussi à passer la douleur intérieure

Stagnant maintenant, il réside en eux.

Qu'espèrent-ils voir, ceux qui protègent nos yeux ?

En uniforme, marchant dans la foulée, pur personnifié

Ce monde de perfection, faites respecter les limites autour

Comme le bétail, le cercle des imbéciles est conduit à la hauteur morale

La tension s'est installée, a relâché le coup, le déclenchement de la guerre et la peur

Ignorance et haine collectives dirigées vers le proche

Vandalisé par des imbéciles à la recherche d'un ennemi

Eux et ceux qui nous aveuglent sont le danger qu'ils recherchent.