Die Weide Und Der Fluß - Equilibrium
С переводом

Die Weide Und Der Fluß - Equilibrium

  • Année de sortie: 2008
  • Langue: Allemand
  • Durée: 7:20

Voici les paroles de la chanson : Die Weide Und Der Fluß , artiste : Equilibrium Avec traduction

Paroles : Die Weide Und Der Fluß "

Texte original avec traduction

Die Weide Und Der Fluß

Equilibrium

Оригинальный текст

Grün und still so lag die Heide,

Uferböschung, alte Weide.

Bog sich tief nun Jahr um Jahr,

Zu stillen Wassern, kalt und klar.

Wo da tief in Grundes Dunkel,

Großer Augen Wehmuts Funkeln.

Schimmert hoch nun Jahr um Jahr,

Auf graues, langes Weidenhaar.

Weide, alte Weide!

Herbst zog ein in grüne Heiden.

Klamm die Böhe, Blättertreiben.

Kurz ward bald das Licht der Tage,

'Zählt bis heut der Weide Sage.

Unbeirrt doch waren beide,

Stumm die Blicke, Trauerweide.

Nie zu fassen ihre Bürde,

Nie zu brechen einer Würde.

Weide, Trauerweide!

Hörst du das Lärmen in den Tiefen der Heide?

Das Brechen, das Reißen, Verbrennen der Zweige.

Die Äxte, sie hacken, das Holz es zersplittert.

Die Donner, sie grollen ihr tiefstes Gewitter!

Das Wasser, es schäumet, gepeitscht sind die Wogen,

Hilflos, so starrt sie und sieht auf das Morden.

Geschlagen von Trauer das Funkeln erkaltet,

Getragen von Wagen die Weide entgleitet…

Winter wars, nach vielen Jahren,

Kam ein Boot herangefahren.

Friedlich zog der hölzern Kahn,

Am Ufer seine Bahn.

Dunkel schoss aus tiefen Ranken,

Eingedenkt der grauen Planken,

Brach sie Kiel, es sank der Bug,

Das Wasser hart ans Schilfrohr schlug.

Und so schlang sie und so zwang sie und so zog sie sie herab.

Und so schlang sie und so zwang sie alle in ihr kaltes Grab.

Green and silent lays the moorland

Bank slope, old willow

Bowing down now year by year

To silent waters, cold an clear

Where deep in the ground

The sparkling melancholy of great eyes

Stares up year by year

Onto long, grey willo-whair

Willow, old willow!

Autumn falls onto green moorland

Clammy gusts, leaves dance

The light of the days has become short

Tells till today the tale of the willow

But both were determined

Silent views, willow of sorrow

Unbearable burden

No one’d dear to break

Willow, sorrow-willow!

Can you hear the noise from the moreland?

The breaking, the tearing, the burning of branches

The axes hack, wood crashes

Thunders growl their deepest growl!

The water seethes, punished waves,

Helpless she stares, sees up to the murder

Beaten by sorrow the sparkles fade

Carried by wagons the willow fades

It was winter after many years

A boat came on the water

Peaceful drove the wooden boat

On the bank slope

Darkness rised from the ground

Keeping in mind the grey wood

She broke the keel, the bow sank

The water shaked the reed

And so she gorged and so she forced and so she pulled them down

And so she gorged and so she forced all into their cold graves

Перевод песни

La bruyère était verte et immobile,

Remblai, ancien pâturage.

Profondément courbé maintenant année après année,

Aux eaux calmes, froides et claires.

Où au fond de l'obscurité,

De grands yeux de mélancolie scintillent.

Brille haut maintenant année après année,

Sur cheveux gris et longs en saule.

Saule, vieux saule !

L'automne s'installe dans les bruyères vertes.

Au diable les rafales, les feuilles à la dérive.

La lumière du jour devint bientôt courte,

'A ce jour compte la légende du saule.

Sans se décourager, les deux étaient

Coupe les regards, saule pleureur.

son fardeau à ne jamais saisir,

Ne jamais briser une dignité.

saule, saule pleureur !

Entendez-vous le bruit au fond de la lande ?

Le brisement, le déchirement, la brûlure des branches.

Les haches, elles hachent, le bois il fend.

Les tonnerres, ils grondent leur plus profond orage !

L'eau écume, les vagues sont fouettées,

Impuissante, elle regarde et regarde le meurtre.

Battue par la tristesse l'étincelle se refroidit,

Porté par des chariots, le saule s'éclipse...

C'était l'hiver, après de nombreuses années,

Un bateau est venu s'arrêter.

La barque de bois ramenait paisiblement,

Sa course sur le rivage.

Tir sombre des vrilles profondes,

Soucieux des planches grises,

Cassé sa quille, la proue a coulé,

L'eau frappa violemment les roseaux.

Et ainsi elle s'est accrochée et ainsi elle a contraint et ainsi elle les a tirés vers le bas.

Et ainsi elle les dévora et les força tous dans sa froide tombe.

Vert et silencieux étend la lande

Pente de la berge, vieux saule

Se prosterner maintenant année après année

Aux eaux silencieuses, froides à claires

Où profondément dans le sol

La mélancolie pétillante des grands yeux

Regarde d'année en année

Sur de longs saules gris

Willow, vieille Willow !

L'automne tombe sur la lande verte

Rafales moites, danse des feuilles

La lumière des jours est devenue courte

Raconte jusqu'à aujourd'hui l'histoire du saule

Mais les deux étaient déterminés

Vues silencieuses, saule de chagrin

Fardeau insupportable

Personne n'aimerait casser

Saule, saule de chagrin !

Entendez-vous le bruit du Moreland ?

Le bris, le déchirement, le brûlage des branches

Les haches hachent, le bois s'écrase

Les tonnerres grondent leur grognement le plus profond !

L'eau bouillonne, vagues punies,

Impuissante, elle regarde, voit jusqu'au meurtre

Battu par le chagrin, les étincelles s'estompent

Porté par des chariots, le saule se fane

C'était l'hiver après de nombreuses années

Un bateau est venu sur l'eau

Paisible a conduit le bateau en bois

Sur la pente de la berge

Les ténèbres sont sorties du sol

Gardant à l'esprit le bois gris

Elle a cassé la quille, la proue a coulé

L'eau a secoué le roseau

Et donc elle s'est gavée et donc elle a forcé et donc elle les a tiré vers le bas

Et ainsi elle s'est gavée et ainsi elle a forcé tout le monde dans leurs tombes froides

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