Funeral Sorcery - Evilfeast

Immortal is my admiration for the moment when the light is fading

For a cold obscurity that embraces the expanse

Life is a sparkle that expires in source

The only battle which we will never conquer

To perceive the conscience of dawn suffocated by the night

Which won’t surrender to the brightness again

This vision haunts me and once I was close to fulfillment

Arriving too late after they took the cardinal part of might

Though the day shall come when I’ll reach it

For the wonder at this face is my internal fire

I go out in the immense spaces bounded by crowns, drowned in fog

The dawn casts off remains of moon’s silvery cover

I hear a ghastly call that leads me to this sacral place

Dark beyond all expression

The wood guides me where the scent of death becomes clear

I am there at last, on a thatch lies

What once was life’s essence taken to hateful force

In partial unity with soil, slowly returns to it

The space majesty arisen by junction

Nature’s involution with death’s one evokes a bit strange states

From euphoria to fright, from aversion to morbid rejoice

Despite the vision’s end I know that the day shall come

Of the encounter with my funeral sorcery…

Immortelle est mon admiration pour le moment où la lumière s'estompe

Pour une obscurité froide qui embrasse l'étendue

La vie est une étincelle qui expire dans la source

La seule bataille que nous ne vaincrons jamais

Percevoir la conscience de l'aube étouffée par la nuit

Qui ne cédera plus à la luminosité

Cette vision me hante et une fois j'étais proche de la réalisation

Arriver trop tard après avoir pris la partie cardinale de la puissance

Même si le jour viendra où je l'atteindrai

Car l'émerveillement de ce visage est mon feu intérieur

Je sors dans les espaces immenses délimités par des couronnes, noyés dans le brouillard

L'aube rejette les restes de la couverture argentée de la lune

J'entends un appel épouvantable qui me conduit à ce lieu sacré

Sombre au-delà de toute expression

Le bois me guide là où le parfum de la mort devient clair

Je suis enfin là, sur un chaume

Ce qui était autrefois l'essence de la vie prise à la force haineuse

En unité partielle avec le sol, y revient lentement

La majesté de l'espace née de la jonction

L'involution de la nature avec celle de la mort évoque des états un peu étranges

De l'euphorie à la peur, de l'aversion à la joie morbide

Malgré la fin de la vision, je sais que le jour viendra

De la rencontre avec ma sorcellerie funéraire…