Consuming Impulse - Exhumed

Your dry throat creaks without a saliva to sputter

As your pulpy dehydrated tongue soundlessly threshes

Days without sustenance spent shackled and fettered

Emaciated torso aches for the warm taste of flesh…

I will make a meal of you, your hunger I’ll sate

Saw off your leg at the knee to put on your dinner plate

Try not to wince at the pain that you feel

As I mince up your calf to prepare your next meal…

Cauterise the gargled wound to stave off the haemorrhage

You should savor the thought of your repast

Choke down this bitter meal in spite of your revulsion

Though how long can your source of food last?

Keeping yourself alive as you’re force-fed your own flesh

If you don’t eat up, you’re truly dead meat

Legs turned to stumps, bloody drinks gargled in clumps

In this case you really are what you eat…

Autophagous gluttony

Culinary pathology

Dietary butchery

Consuming impulse

Ingest your corpse to be…

Quadriplegic you feed as your dinner is served

Waste not;

want not, though there’s not much to conserve

Severed and severely served upon a platter of splatter

After a while the source of the sustenance barely even matters…

Now a half-eaten torso gorged to the glut

Piece by piece you are fed the chicest cuts

As the dinner-bell rings your bloody chops are feverishly licked

At the sight of your own roasted fat turned and browned on a spit…

Your own meat in your mouth tastes bitter and internecine

Noxious and moist, you get a taste of your own medicine

Gnashing, pieces of your limbs with delight

Digesting your death with each grotesque bloody bite

What’s eating you?

The question seems to moot

Scraping chunks of your feet out of your blood-soaked sopping boot

Bash open bones picked clean to suckle at the marrow

As your culinary milieu of options inexorably narrows…

Autophagous gluttony

Culinary pathology

Dietary butchery

Consuming impulse

Ingest your corpse to be…

Feeding time comes again, the thorax falls victim to this slaughter

Blood, pus and sebum replace wine, whiskey and water

Sometimes survival will cost you an arm and a leg

Your spittle running, red with bits of reeking bloody dregs…

(Lead ' Mike)

Masticate your own genitals, choke on your bludgeoned testicles

With a hunger that will not be denied

The sweetest of meats is your soft, fatty teats

That I’ll be stuffing your face with tonight

Puking up your own skin, just to devour it again

Is a treat you’ll save for dessert

Fresh meat for your lunch, fibula cracked, drained and crunched

As your overstuffed gullet gasps and blurts…

Your crudely resected anatomy is a wretched grisly sight

But your stumps once arms just whet your appetite

Nibbling at the sinews of your bloody forearms and wrists

Ravenously devouring your shredded survival in fleshly chunks and meaty bits…

Eviscerate yourself to gnaw at your own intestines

Bones from severed fingers facilitate this haphazard self-dissection

Clutch at grume inside your bowels with half-eaten grubby stumps

Pulling out the repugnant meal in grotesque tumescent clumps…

Remaining fingers prying off your succulent gouged out gums

Gnaw at your stringy cheek lining and masticate your insatiable tongue

But the pieces you ingest in carnivorous abandon

Fall out of the gaping that you have torn in your intestines

Gnash the meat from your avulsed face in a frenzied rush

No genitals, no feet, no legs, no appendage left uncrushed

Half-eaten tongue oozes spittle down your face ' your hunger undiminished

Only when your partially devoured innards prolapse will this meal at last be

finished

Autophagous gluttony

Culinary pathology

Dietary butchery

Consuming impulse

Excrete your corpse to be…

Votre gorge sèche grince sans salive à crachoter

Alors que ta langue pulpeuse et déshydratée bat sans bruit

Des jours sans nourriture passés enchaînés et enchaînés

Le torse émacié fait mal au goût chaud de la chair…

Je vais faire un repas de toi, je vais assouvir ta faim

Sciez votre jambe au niveau du genou pour mettre votre assiette

Essayez de ne pas grimacer à la douleur que vous ressentez

Pendant que je hache votre mollet pour préparer votre prochain repas…

Cautériser la plaie gargarisée pour éviter l'hémorragie

Vous devriez savourer la pensée de votre repas

Étouffez ce repas amer malgré votre dégoût

Mais combien de temps votre source de nourriture peut-elle durer ?

Vous garder en vie alors que vous êtes nourri de force avec votre propre chair

Si vous ne mangez pas, vous êtes vraiment de la viande morte

Jambes transformées en souches, boissons sanglantes gargarisées en touffes

Dans ce cas, vous êtes vraiment ce que vous mangez…

Gourmandise autophage

Pathologie culinaire

Boucherie diététique

Impulsion de consommation

Ingérez votre cadavre pour être...

Tétraplégique que vous nourrissez pendant que votre dîner est servi

Ne gaspille pas;

je ne veux pas, même s'il n'y a pas grand-chose à conserver

Coupé et sévèrement servi sur un plateau d'éclaboussures

Au bout d'un certain temps, la source de la nourriture importe à peine…

Maintenant un torse à moitié mangé gorgé à la surabondance

Pièce par pièce, on vous nourrit des coupes les plus chics

Alors que la cloche du dîner sonne, vos côtelettes sanglantes sont fébrilement léchées

À la vue de votre propre graisse rôtie tournée et dorée à la broche…

Votre propre viande dans votre bouche a un goût amer et interne

Nocif et humide, vous goûtez à votre propre médecine

Grinçant, morceaux de vos membres avec délice

Digérer ta mort à chaque bouchée sanglante grotesque

Qu'est-ce qui te bouffe ?

La question semble discutable

Racler des morceaux de vos pieds de votre botte trempée de sang

Frapper les os ouverts cueillis pour téter la moelle

Alors que votre milieu culinaire d'options se rétrécit inexorablement…

Gourmandise autophage

Pathologie culinaire

Boucherie diététique

Impulsion de consommation

Ingérez votre cadavre pour être...

L'heure du repas revient, le thorax est victime de cet abattage

Le sang, le pus et le sébum remplacent le vin, le whisky et l'eau

Parfois, la survie vous coûtera un bras et une jambe

Votre crachat qui coule, rouge avec des morceaux de lie puante et sanglante…

(Lead' Mike)

Mastiquez vos propres organes génitaux, étouffez-vous avec vos testicules matraqués

Avec une faim qui ne sera pas niée

La plus douce des viandes est vos tétines molles et grasses

Que je vais te bourrer le visage ce soir

Vomir votre propre peau, juste pour la dévorer à nouveau

C'est un régal que vous garderez pour le dessert

Viande fraîche pour votre déjeuner, fibule fêlée, égouttée et croquée

Alors que votre gosier surchargé halète et bégaie…

Votre anatomie grossièrement réséquée est un spectacle macabre misérable

Mais vos moignons une fois les bras aiguisent votre appétit

Grignoter les tendons de vos avant-bras et poignets ensanglantés

Dévorant voracement votre survie déchiquetée en morceaux charnus et en morceaux charnus…

Éviscérez-vous pour ronger vos propres intestins

Les os des doigts coupés facilitent cette autodissection aléatoire

Embrayage à grume dans vos intestins avec des souches sales à moitié mangées

Sortir le repas répugnant en grotesques touffes tumescentes…

Les doigts restants arrachent vos succulentes gencives creusées

Mâchez votre doublure de joue filandreuse et mastiquez votre langue insatiable

Mais les morceaux que vous ingérez dans un abandon carnivore

Tomber de la béance que tu as déchirée dans tes intestins

Grince la viande de ton visage avulsé dans une ruée frénétique

Pas d'organes génitaux, pas de pieds, pas de jambes, pas d'appendice non écrasé

La langue à moitié mangée suinte, crache sur ton visage ' ta faim n'a pas diminué

Ce n'est que lorsque vos entrailles partiellement dévorées prolapsus que ce repas sera enfin

achevée

Gourmandise autophage

Pathologie culinaire

Boucherie diététique

Impulsion de consommation

Excrétez votre cadavre pour être...