The Plainsman - Fairport Convention

I come from the moor and the mointain, from the waterfall and stream.

I’ve turned my back on the mountain track;

i’m walking in a dream.

And ev’ry new horizon to mee it looks the same

But ev’rywhere looks old and bare while trav’ling on the plain.

There’s no-one rides this road with me, a plainsman rides alone.

The welcome waits by a city gate, no voice to call me home.

Alone i came into this place, and that is how i will go And all i learn is the season’s turn, that’s all i need to know.

Oh the world is hung with silver tongues wiht good advice to give.

If you can’t show me how to die, don’t tell me how to live.

The plainsman’s song, though it’s seldom long, it’s more than meets the ear

And all i believe is the falling leaves at the turning of the year.

Je viens de la lande et de la montagne, de la cascade et du ruisseau.

J'ai tourné le dos à la piste de montagne ;

je marche dans un rêve.

Et chaque nouvel horizon pour moi, ça se ressemble

Mais partout semble vieux et nu tout en voyageant dans la plaine.

Personne ne roule sur cette route avec moi, un homme des plaines roule seul.

L'accueil m'attend près d'une porte de la ville, aucune voix pour m'appeler à la maison.

Seul je suis venu dans cet endroit, et c'est comme ça que je vais aller Et tout ce que j'apprends, c'est le tour de la saison, c'est tout ce que j'ai besoin de savoir.

Oh le monde est suspendu avec des langues d'argent avec de bons conseils à donner.

Si vous ne pouvez pas me montrer comment mourir, ne me dites pas comment vivre.

La chanson de l'homme des plaines, bien qu'elle soit rarement longue, est plus qu'il n'y paraît

Et tout ce que je crois, ce sont les feuilles qui tombent au début de l'année.