When It Comes, He Cannot Sleep, ... - Fairport Convention

The time is near for things to pass, the time for me to leave

But as I lie here all alone, I really can’t believe

The twenty years I’ve spent on earth could end in so much grief

That the many friendly faces should now stare hatefully

A letter home to mother and a letter home to dad

Another for my sweetheart, for whom I feel so sad

A lock of hair to cling to is all that will remain

And the grave inside this prison yard, a stone that bears no name

My trials and tribulations are nearly now all gone

A murderer I never was and my spirit will live on

Jesus, help me in this troubled time, this hour of trouble deep

Help me find my peace of mind, help me Lord, to sleep

Sleep has surprised Mr Lee

We’ll creep in behind his eyes and, with his eyes, we will see

Wherever he goes to, we’ll be close behind

We’ll follow his dreams and we’ll stroll in his mind

Dream, dream

John’s in the garden all green

With uniforms round him, the hound and the fox can be seen

A willow tree leaving its branches to ground

Is breathing in time to a bell’s hollow sound

Dream, dream

Dream, dream

Nature, their numbers have swelled

The sun in the east is the lord of the feast to be held

The doomed and the dutiful tread on the dew

With frost on their faces and shine on their shoes

Dream, dream

Looking to earth and to sky

John stares at John walking slowly along with a sigh

The hand of a stranger takes hold of his arm

And a voice in his ear says «They'll do you no harm»

Dream, dream

Dream, dream

Dream, dream

Wake up John, it’s time to go

Come along John, don’t be slow

Wake up John, it’s time to go

A priest joins the procession just to help me kneel

With a warder at my elbow and another at my heel

Marching in the morning down a path I’ve lately seen

I was sleeping in this garden, am I still within my dream?

The echo of my heartbeat is the beating of a drum

And all the earth is singing with life’s sweet hum

We filed in solemn silence, shuffled through a door

The place where life is taken for the letter of the law

Shake the holy water, summon up the guard

Dying’s very easy, waiting’s very hard

A rope was hanging from the roof, a sight which puzzles me

I thought a gibbet and a guard would make a gallows tree

But now all is revealed, standing there is just a man

My feet are on the trapdoor with a rope around my hand

And now the executioner is shaking hands with me

«My duty I must carry out, you poor fellow,"says he

A strap is tied around my feet and a bag upon my head

And then the noose which separates the living from the dead

Shake the holy water, summon up the guard

Dying’s very easy, waiting’s very hard

There he whispers to me «Have you anything to say?»

My mouth is dry, my throat is tight, I answer «Drop away»

Silence now surrounds me, my heart is beating on

The trapdoor hardly moves at all, my life is still my own

They stand me in a corner with my hands and feet still bound

While a carpenter is called for and an explanation found

«The rain has warped the timbers,"I hear the hangman say

«It's funny but it worked well, I tried it yesterday»

«All is ended now,"they say, «your ordeal’s nearly over

Your life’s as good as ended,"but I hear their voices waver

Once more the boat is shaken and again I hang in limbo

With the guardians on the trapdoor and my body stands on tip-toe

Shake the holy water, summon up the guard

Dying’s very easy, waiting’s very hard

They stand me in a corner with my hands and feet still tied

A warder holds onto the noose, the trapdoor opens wide

Is it magic or coincidence that keeps me on the brink?

It seems to work without me, «Will it kill me now?"I think

«Please, I’m tired of living and I really want to die»

I was taken to the scaffold and I heard the hangman cry

«Lee, I’m truly sorry, forgive these hands of mine»

He drew the bolt and I felt the jolt the third and final time

My life was spared that morning 'cause it wasn’t theirs to take

Three’s the most the law requires, a man could feel the stake

Shake the holy water, summon up the guard

Dying’s very easy, waiting’s very hard

Le temps est proche pour que les choses passent, le temps pour moi de partir

Mais comme je suis allongé ici tout seul, je ne peux vraiment pas croire

Les vingt années que j'ai passées sur terre pourraient se terminer par tant de chagrin

Que les nombreux visages amicaux devraient maintenant regarder avec haine

Une lettre à la maison pour la mère et une lettre à la maison pour le papa

Un autre pour ma chérie, pour qui je me sens si triste

Une mèche de cheveux à laquelle s'accrocher est tout ce qui restera

Et la tombe à l'intérieur de cette cour de prison, une pierre qui ne porte pas de nom

Mes épreuves et mes tribulations sont presque toutes parties

Un meurtrier que je n'ai jamais été et mon esprit vivra

Jésus, aide-moi en cette période troublée, cette heure de trouble profond

Aide-moi à trouver ma tranquillité d'esprit, aide-moi Seigneur à dormir

Le sommeil a surpris Mr Lee

Nous nous glisserons derrière ses yeux et, avec ses yeux, nous verrons

Où qu'il aille, nous serons proches derrière

Nous suivrons ses rêves et nous flânerons dans son esprit

Reve rêve

John est dans le jardin tout vert

Avec des uniformes autour de lui, le chien et le renard peuvent être vus

Un saule laissant ses branches au sol

Respire au rythme du son creux d'une cloche

Reve rêve

Reve rêve

Nature, leur nombre a gonflé

Le soleil à l'est est le seigneur de la fête à tenir

Les condamnés et les obéissants marchent sur la rosée

Avec du givre sur leurs visages et de la brillance sur leurs chaussures

Reve rêve

Regarder vers la terre et vers le ciel

John regarde John marcher lentement avec un soupir

La main d'un étranger saisit son bras

Et une voix dans son oreille dit "Ils ne te feront pas de mal"

Reve rêve

Reve rêve

Reve rêve

Réveille-toi John, il est temps de partir

Viens John, ne sois pas lent

Réveille-toi John, il est temps de partir

Un prêtre se joint à la procession juste pour m'aider à m'agenouiller

Avec un gardien à mon coude et un autre à mon talon

Marcher le matin sur un chemin que j'ai vu récemment

Je dormais dans ce jardin, suis-je toujours dans mon rêve ?

L'écho de mon battement de cœur est le battement d'un tambour

Et toute la terre chante avec le doux bourdonnement de la vie

Nous avons défilé dans un silence solennel, traversant une porte

L'endroit où la vie est prise pour la lettre de la loi

Secouez l'eau bénite, invoquez le garde

Mourir est très facile, attendre est très difficile

Une corde pendait du toit, une vue qui me laisse perplexe

Je pensais qu'un gibet et un garde feraient un arbre à potence

Mais maintenant tout est révélé, debout il n'y a qu'un homme

Mes pieds sont sur la trappe avec une corde autour de ma main

Et maintenant le bourreau me serre la main

"Je dois accomplir mon devoir, pauvre garçon", dit-il

Une sangle est nouée autour de mes pieds et un sac sur ma tête

Et puis le nœud coulant qui sépare les vivants des morts

Secouez l'eau bénite, invoquez le garde

Mourir est très facile, attendre est très difficile

Là, il me chuchote « Avez-vous quelque chose à dire ? »

Ma bouche est sèche, ma gorge est serrée, je réponds "Laisse tomber"

Le silence m'entoure maintenant, mon cœur bat

La trappe bouge à peine, ma vie m'appartient toujours

Ils me tiennent dans un coin avec mes mains et mes pieds toujours liés

Alors qu'un charpentier est appelé et qu'une explication est trouvée

"La pluie a déformé les poutres," j'entends le bourreau dire

"C'est marrant mais ça a bien fonctionné, j'ai essayé hier"

« Tout est fini maintenant », disent-ils, « votre calvaire est presque terminé

Votre vie est aussi bonne qu'elle est terminée, "mais j'entends leurs voix vaciller

Une fois de plus, le bateau est ébranlé et encore une fois je m'accroche dans les limbes

Avec les gardiens sur la trappe et mon corps se dresse sur la pointe des pieds

Secouez l'eau bénite, invoquez le garde

Mourir est très facile, attendre est très difficile

Ils me mettent dans un coin avec mes mains et mes pieds toujours liés

Un gardien tient le nœud coulant, la trappe s'ouvre en grand

Est-ce la magie ou une coïncidence qui me maintient au bord du gouffre ?

Ça semble marcher sans moi, "Est-ce que ça me tuera maintenant ?"Je pense

« S'il vous plaît, je suis fatigué de vivre et j'ai vraiment mourir »

J'ai été emmené sur l'échafaud et j'ai entendu le cri du bourreau

"Lee, je suis vraiment désolé, pardonne à mes mains"

Il a tiré le verrou et j'ai ressenti la secousse la troisième et dernière fois

Ma vie a été épargnée ce matin-là parce que ce n'était pas à eux de la prendre

Trois est le maximum requis par la loi, un homme pourrait sentir l'enjeu

Secouez l'eau bénite, invoquez le garde

Mourir est très facile, attendre est très difficile