Black Hole Prophecies - Foreign Beggars

We gather in celebration of life, when embracing the mic

One taste of my strife, full straight from fight

Raising my right fist, blazingly hyped

Stating my right to recite, I’ll be taking a flight

Lazin' above clouds, ravin' up high, I

Sail to my touchdown when I clutch crowds and I bust loud

And instruct how the rhyme form can be twisted, can be

Lifted above norms, handed visions

Random writtens that drop jaws, making your clock pause, I’m

Shaming to clog pores, aiming to lock jaws, changing the fuck laws

As we come to the fore, inspired by the sweet scent of skunk from the floor

Words tumbling forth, crumbling hordes

In verses they stumble of course, and burst under my force

Survivors left with their wonder and awe, we exit stage left to a thunderous

applause

He lives alone in a black hole

It’s the bow-legged masochist, who’s savage with a crack pole

He snatched souls, ravaged whole towns and villages

Stole pounds with which he fills the cold mouth he dribbles with

He comes around you with his gold and brown vintage kicks

Trying to snoop around to use some old sounds from ninja flicks

They let him go about his business, said he wasn’t to be trusted since he tends

to things with clenched fists

Iron Man slang is the one with the vile tongue

Spit venom, still spit yelling by the nile home

Ice-faced vagrants take flight like a bird of prey

We murder, praise, first enslave vermin, break their vertebrae

Pilot plans scams from the brain of the Sire scum

Higher strand math from a stray who defiles slums

We walk forward, make haste until the sundown

Living to the fullest, feel like bullets from a thundercloud

He came to Earth to make a mark on this existence

With a strategy so elusive most remark with thick indifference

It’s the visions of the ancients, lost words of the episcopal

Risen from within, he sips a gourd that’s filled with pilfered souls

As though he walks amongst the damned, holding nothing but a cold can of

fiction in his hand

He was a storyteller, outlaw, working on a masterpiece

Head amidst his hands, he chased the stars until the laughter ceased

A charming thief bestowed forth into oblivion

Caught past the millions of warlord’s forced dominions

The cohorts of billions, the raw stock simian

Forethought sought to spawn his brawn amongst his minions

He spread his wisdom with a strange grin

The Grand-Wizard-Alchemist-Prison-Rat who chased skin

He played king to all those who drifted

The sweet taste of sin plagued the tin he pegged his lips with

I hobble home in the shredded threads of a borrowed robe

But my bottle holds sorrows in a hollow hold

See, I’m of the Apollo mold

Meaning I drift though space fireball with a copper tone

Me, I run a rhythm like a cartel

Never stop giving them the sharp nail, hard tale

We impart dark tales in the deep of night

Poised, the poison tips all sail at the speed of light

Iron Man slang is the one with vile tongue

Spit venom, still strip yelling by the hollow home

Ice-faced vagrants take flight like a bird of prey

We murder, praise, first enslave vermin, break their vertebrae

Pilot plans scams from the brain of the Sire scum

Higher strand math from a stray who defiles slums

We walk forward, make haste until the sundown

Living to the fullest, feel like bullets from a thundercloud

Nous nous rassemblons pour célébrer la vie, en embrassant le micro

Un avant-goût de mes conflits, tout droit sortis du combat

Levant mon poing droit, hyper excité

Indiquant mon droit de réciter, je vais prendre un vol

Paresser au-dessus des nuages, ravir haut, je

Naviguez jusqu'à mon toucher des roues quand j'agrippe la foule et que je buste fort

Et expliquez comment la forme de la rime peut être tordue, peut être

Élevé au-dessus des normes, visions remises

Des écrits aléatoires qui laissent tomber les mâchoires, faisant s'arrêter votre horloge, je suis

Faire honte d'obstruer les pores, viser à verrouiller les mâchoires, changer les putains de lois

Alors que nous arrivons au premier plan, inspirés par le doux parfum de la mouffette du sol

Les mots déboulent, les hordes s'effondrent

Dans les vers, ils trébuchent bien sûr et éclatent sous ma force

Les survivants sont partis avec leur émerveillement et leur admiration, nous quittons la scène à gauche pour un tonnerre

applaudissements

Il vit seul dans un trou noir

C'est le masochiste aux jambes arquées, qui est sauvage avec un bâton de crack

Il a arraché des âmes, ravagé des villes et des villages entiers

Livres volées dont il remplit la bouche froide avec laquelle il bave

Il vient autour de vous avec ses coups de pied vintage dorés et marron

Essayer de fouiner pour utiliser de vieux sons de films de ninja

Ils l'ont laissé vaquer à ses occupations, lui ont dit qu'il ne fallait pas lui faire confiance puisqu'il avait tendance à

aux choses avec les poings serrés

L'argot d'Iron Man est celui qui a la langue vile

Cracher du venin, cracher encore en criant près de la maison du Nil

Les vagabonds à face de glace s'envolent comme un oiseau de proie

Nous tuons, louons, asservissons d'abord la vermine, brisons leurs vertèbres

Le pilote planifie des escroqueries du cerveau de la racaille Sire

Mathématiques supérieures d'un vagabond qui souille les bidonvilles

Nous avançons, hâtez-vous jusqu'au coucher du soleil

Vivre au maximum, se sentir comme des balles d'un nuage d'orage

Il est venu sur Terre pour marquer cette existence

Avec une stratégie si insaisissable la plupart des remarques avec une épaisse indifférence

Ce sont les visions des anciens, les mots perdus de l'épiscopal

Ressuscité de l'intérieur, il sirote une gourde remplie d'âmes volées

Comme s'il marchait parmi les damnés, ne tenant rien d'autre qu'une canette froide de

fiction dans sa main

C'était un conteur, un hors-la-loi, travaillant sur un chef-d'œuvre

La tête entre ses mains, il a chassé les étoiles jusqu'à ce que les rires cessent

Un voleur charmant envoyé dans l'oubli

Pris au-delà des millions de dominions forcés du seigneur de la guerre

Les cohortes de milliards, le stock brut simien

La prévoyance a cherché à engendrer ses muscles parmi ses sbires

Il a répandu sa sagesse avec un sourire étrange

Le Grand-Magicien-Alchimiste-Prison-Rat qui a chassé la peau

Il jouait au roi pour tous ceux qui dérivaient

Le goût sucré du péché tourmentait l'étain avec lequel il accrochait ses lèvres

Je rentre à la maison dans les fils déchiquetés d'une robe empruntée

Mais ma bouteille contient des chagrins dans une prise creuse

Tu vois, je suis du moule d'Apollon

Ce qui signifie que je dérive à travers une boule de feu spatiale avec un ton de cuivre

Moi, je cours un rythme comme un cartel

N'arrêtez jamais de leur donner le clou pointu, histoire dure

Nous racontons des contes sombres au plus profond de la nuit

En équilibre, les pointes empoisonnées naviguent toutes à la vitesse de la lumière

L'argot d'Iron Man est celui qui a la langue vile

Cracher du venin, toujours se déshabiller en criant près de la maison creuse

Les vagabonds à face de glace s'envolent comme un oiseau de proie

Nous tuons, louons, asservissons d'abord la vermine, brisons leurs vertèbres

Le pilote planifie des escroqueries du cerveau de la racaille Sire

Mathématiques supérieures d'un vagabond qui souille les bidonvilles

Nous avançons, hâtez-vous jusqu'au coucher du soleil

Vivre au maximum, se sentir comme des balles d'un nuage d'orage