The Four Horsemen - Glen Campbell

And I saw the white horse, ridden by a man with bow and arrow

And he wore a golden crown and he rode a trail so narrow

And he went forth to conquer all the liars, thieves and cheaters;

All the weavers of illusion;

all the bigots and mistreaters;

And the earth was shakin' like an old man’s hand and the sun was black as mud;

And the oceans moved across the land and the moon became as blood

And I saw a red horse and a rider with a saber;

To take peace from all the earth, for destruction was his labor

And he rode out in anger to turn brother against brother;

With poison for the nations to make them all kill one another

And the stars of heaven fell to earth like the fruit of a tree that’s shaken;

By an unkindly wind, to be ever more forsaken

And I saw the black horse and the rider with the balance;

To separate the works of man;

his vices from his talents

A measure of wheat for a penny, three measures of barley in kind

To divide the one from the many, But hurt not the oil and wine

And the heavens parted like a scroll, when it is rolled together

And the mountains were moved out of place;

Like a whirlwind blows a feather

And I saw a pale horse, and Death was riding on him

And Hell was right behind him, and no mortal man outshone him

The kings of the earth and the mighty men;

The glorious and greedy

Hid themselves in the blackest hole, with the homeless and the needy

And some priests and some television preachers, laid down with the vile unholy

And some senators and movie stars

Shared a cave with the meek and lowly

And they cried to the mountains

Fall on us!

And hide us from the face of Him

Fall on us!

And hide us from the face

Face

Hide us from the face of Him

Fall on us!

And hide us from the face of Him

Fall on us!

And hide us from the face

Hide us from the face of Him

Et j'ai vu le cheval blanc, monté par un homme avec un arc et des flèches

Et il portait une couronne d'or et il empruntait un sentier si étroit

Et il est allé conquérir tous les menteurs, voleurs et tricheurs ;

Tous les tisserands d'illusion ;

tous les fanatiques et les maltraitants ;

Et la terre tremblait comme la main d'un vieil homme et le soleil était noir comme de la boue ;

Et les océans se sont déplacés à travers la terre et la lune est devenue comme du sang

Et j'ai vu un cheval rouge et un cavalier avec un sabre ;

Pour retirer la paix de toute la terre, car la destruction était son travail

Et il est sorti en colère pour monter frère contre frère ;

Avec du poison pour les nations pour qu'elles s'entre-tuent

Et les étoiles du ciel sont tombées sur la terre comme le fruit d'un arbre secoué ;

Par un vent méchant, être de plus en plus abandonné

Et j'ai vu le cheval noir et le cavalier avec la balance ;

Séparer les œuvres de l'homme ;

ses vices de ses talents

Une mesure de blé pour un sou, trois mesures d'orge en nature

Pour diviser l'un du multiple, mais ne blesse pas l'huile et le vin

Et les cieux se sont séparés comme un parchemin, quand il est enroulé ensemble

Et les montagnes ont été déplacées ;

Comme un tourbillon souffle une plume

Et j'ai vu un cheval pâle, et la Mort le chevauchait

Et l'enfer était juste derrière lui, et aucun homme mortel ne l'a surpassé

Les rois de la terre et les hommes forts ;

Le glorieux et gourmand

Se sont cachés dans le trou le plus noir, avec les sans-abri et les nécessiteux

Et certains prêtres et certains prédicateurs de la télévision, couché avec le vil impie

Et quelques sénateurs et stars de cinéma

Partagé une grotte avec les doux et les humbles

Et ils ont crié aux montagnes

Tombez sur nous !

Et cachez-nous de sa face

Tombez sur nous !

Et cache-nous de face

Affronter

Cachez-nous de sa face

Tombez sur nous !

Et cachez-nous de sa face

Tombez sur nous !

Et cache-nous de face

Cachez-nous de sa face