1999 Pt. 6 (Gabriel vs. Luzifer) - Haftbefehl, Bazzazian

Ah, okay

Yeah, yeah

Es ist Winterzeit, Anfang Dezember

Und der Wind pfeift durch meine Fenster

1999, ein Jahrtausend geht zu Ende

Und wir geh’n zu aufs Millennium

Loch in beider meiner Reeboks, drunter drei Paar Socken

Adidas-Knopfhose, drunter Nike-Jogging

Offenbach am Main, ich bin auf Rocks und Moskovskaya

Und schrei' besoffen durch die Mainpark-Blocks: «Verzeih mir, Gott»

Ich sitz' am Rand vom Blockdach und lass' die Classics schweben

Und denke nach, während ich die Sterne zähl'

Wie lang wird sich noch die Erde dreh’n?

Nicht mehr lang, solang sie der Teufel auf den Schultern trägt

Rotz' die Narben aus der Seele, verflucht war meine Kindheit

Meißel' die Zeile an die Wände und Blut ist meine Tinte

Ich schrei' so laut ich kann in die Erdatmosphäre:

«Lieber Gott, ist das die Nacht, in der ich sterbe?»

Auf der Suche nach Gott, denn sie geben mir Hölle

(Denn sie geben mir Hölle, denn sie geben mir Hölle)

Auf der Suche nach Gott, denn sie geben mir Hölle

(Denn sie geben mir Hölle, denn sie geben mir Hölle)

Auf der Suche nach Gott, denn sie geben mir Hölle

(Denn sie geben mir Hölle, denn sie geben mir Hölle)

Auf der Suche nach Gott, denn sie geben mir Hölle

Entweder Rap oder Leben in der Zelle

Ah ok

Yeah Yeah

C'est l'hiver, début décembre

Et le vent siffle à travers mes fenêtres

1999, un millénaire touche à sa fin

Et nous allons vers le millénaire

Trou dans mes deux Reeboks, trois paires de chaussettes en dessous

Pantalon à boutons Adidas, jogging Nike en dessous

Offenbach am Main, je suis sur Rocks et Moskovskaya

Et crier ivre à travers les blocs de Mainpark: "Pardonne-moi, Dieu"

Je m'assieds sur le bord du toit en bloc et laisse flotter les classiques

Et pense pendant que je compte les étoiles

Combien de temps la terre continuera-t-elle à tourner ?

Pas longtemps maintenant, tant que le diable les porte sur ses épaules

Morve les cicatrices de mon âme, maudite était mon enfance

Graver la ligne sur les murs et le sang est mon encre

Je crie aussi fort que je peux dans l'atmosphère terrestre :

"Cher Dieu, est-ce la nuit où je meurs?"

Je cherche Dieu parce qu'ils me donnent l'enfer

(Parce qu'ils me donnent l'enfer, parce qu'ils me donnent l'enfer)

Je cherche Dieu parce qu'ils me donnent l'enfer

(Parce qu'ils me donnent l'enfer, parce qu'ils me donnent l'enfer)

Je cherche Dieu parce qu'ils me donnent l'enfer

(Parce qu'ils me donnent l'enfer, parce qu'ils me donnent l'enfer)

Je cherche Dieu parce qu'ils me donnent l'enfer

Soit le rap soit la vie en cellule