Cursed Be Your Breast - Handful of Hate

I despise your seasons your charming pulses with a primitive ego

With a primitive ego

I crave to bite your revered face

I crave to stab your dreaded breast

Hostile, beloved, prostitute, scourge among your begging sons

Nothing can be understood

«Make thick my blood

Stop up the access and passage to remorse

That no compunctious visiting of nature shake my fell purpose

Nor keep peace between the effect and it

Come to my woman’s breasts and take milk for gall

Your murdering ministers

Wherever, in your sightless substances

You wait on nature’s mischief

Come, thick night, and pall thee in the dunnest smoke of Hell

That my keen knife see not the wound it makes

Nor Heaven peep through the blanket of the dark to cry

Hold, hold!»

Je méprise tes saisons, tes charmantes pulsations avec un ego primitif

Avec un ego primitif

J'ai envie de mordre ton visage vénéré

J'ai envie de poignarder ton sein redouté

Hostile, bien-aimée, prostituée, fléau parmi tes fils mendiants

Rien ne peut être compris

"Rends épais mon sang

Arrêtez l'accès et le passage au remords

Qu'aucune visite complice de la nature n'ébranle mon objectif

Ni garder la paix entre l'effet et lui

Viens aux seins de ma femme et prends du lait pour le fiel

Vos ministres assassins

Partout, dans tes substances aveugles

Vous attendez les méfaits de la nature

Viens, nuit épaisse, et enveloppe-toi de la plus sombre fumée de l'Enfer

Que mon couteau aiguisé ne voit pas la blessure qu'il fait

Ni le paradis ne regarde à travers la couverture de l'obscurité pour pleurer

Tiens, tiens !»