The End of the Empire - Helioss, Nicolas Müller

Everything falls!

In the blackest night, in the moonless dark

Everything burns!

In an endless terror without stars

The walls are tainted with blood

The bricks have become red

Rivers of corpses, oceans of guts

A devouring blaze, never replete

This is the end of the empire

On the top of the verdant hill

A great fire roars to the sky

As the old temple collapses

This is the end of the empire

Our glorious gods and fiery priests

Now lies down in misery

Amongst ruins, ashes and dust

«I see the rage of the divine

I hear the scream, the wrath and the flame

I feel the empty eyes of the beast

Staring at me, crawling towards us

Did you not dream of a burning field?

Of scorching winds carrying the smell of death?

Have you not see the worms eating up the flesh

Of our very inner faith?"

Everything falls!

In the blackest night, in the moonless dark

Everything burns!

In an endless terror without stars

Foaming beasts, war machines

One thousand blades through our skin

A putrid army of rotting slaves

Like a putrescent plague of steel

One by one

Brick by brick

One by one

One by one

Brick by brick

One by one

This is the end of the empire

On the top of the verdant hill

A great fire roars to the sky

As the old temple collapses

This is the end of the empire

Our glorious gods and fiery priests

Now lies down in misery

Amongst ruins, ashes and dust

The gods are gone!

The gods are gone!

Deserted skies

The gods are dead!

The gods are dead!

Forsaken men

…And as the mortals wander in the ashes of the broken ones

The silence once again deafen the mourners in the citadel

This is the end of the empire

On the top of the verdant hill

A great fire roars to the sky

As the old temple collapses

This is the end of the empire

Our glorious gods and fiery priests

Now lies down in misery

Amongst ruins, ashes and dust

Tout tombe !

Dans la nuit la plus noire, dans l'obscurité sans lune

Tout brûle!

Dans une terreur sans fin sans étoiles

Les murs sont teintés de sang

Les briques sont devenues rouges

Rivières de cadavres, océans de tripes

Un incendie dévorant, jamais rempli

C'est la fin de l'empire

Au sommet de la colline verdoyante

Un grand feu rugit dans le ciel

Alors que l'ancien temple s'effondre

C'est la fin de l'empire

Nos dieux glorieux et nos prêtres fougueux

Se couche maintenant dans la misère

Parmi les ruines, les cendres et la poussière

"Je vois la rage du divin

J'entends le cri, la colère et la flamme

Je sens les yeux vides de la bête

Me regardant, rampant vers nous

N'avez-vous pas rêvé d'un champ en feu ?

Des vents brûlants portant l'odeur de la mort ?

N'as-tu pas vu les vers dévorer la chair

De notre foi très intérieure ?"

Tout tombe !

Dans la nuit la plus noire, dans l'obscurité sans lune

Tout brûle!

Dans une terreur sans fin sans étoiles

Bêtes écumantes, machines de guerre

Mille lames à travers notre peau

Une armée putride d'esclaves pourrissants

Comme un fléau putrescent d'acier

Un par un

Brique par brique

Un par un

Un par un

Brique par brique

Un par un

C'est la fin de l'empire

Au sommet de la colline verdoyante

Un grand feu rugit dans le ciel

Alors que l'ancien temple s'effondre

C'est la fin de l'empire

Nos dieux glorieux et nos prêtres fougueux

Se couche maintenant dans la misère

Parmi les ruines, les cendres et la poussière

Les dieux sont partis !

Les dieux sont partis !

Ciels déserts

Les dieux sont morts !

Les dieux sont morts !

Hommes abandonnés

… Et alors que les mortels errent dans les cendres des brisés

Le silence assourdit à nouveau les personnes en deuil dans la citadelle

C'est la fin de l'empire

Au sommet de la colline verdoyante

Un grand feu rugit dans le ciel

Alors que l'ancien temple s'effondre

C'est la fin de l'empire

Nos dieux glorieux et nos prêtres fougueux

Se couche maintenant dans la misère

Parmi les ruines, les cendres et la poussière