Methodical Disfigurement - Hiroshima Will Burn

From the moment I was born I was deemed ineffectual

Seconds pass as though years had come and gone

Though my mind is only tattered and torn

Stricken of all logic, remorse seems nostalgic, the premise of revenge is

Forlorn

Yet no words can express, but my will to survive is innate

For the soul for whom took thine innocence away

From the greyness of my soul I cannot fall short that fate exists

Intentions become necessity.

Within a breath of insistence

For only the cruellest of gods could foresee this torment

Every breath could be the longest I would ever take

I am lost in plain sight at the horrors of my past, though I resist temptation

To forgive

My hands are as calloused.

As my soul from the weight.

Of the world.

Within my

Fists.

What benign existence, for whom is entitled to inherit?

And with these hands

I ll peel your flesh from their eyes

As repayment from this agony

And what was left behind

Disfigured sense of what I once despised

Only to haunt me in my dreams are the fantasies of seeking vengeance

To feel the torment I once felt, forced to mutilate their sense of humanity

I will take your right to breathe.

You once took that right from me

By removing your lungs.

And feeding them back to you.

They seem like victims

I was the one once victimized.

Yet my actions are justified

By the years spent with my veins bursting from my eyes

But if I did not execute them, if I did not take their life

I would seek forth the means by which so they are utterly dead inside

Forcibly feed them the limbs and organs of their own children and wives

Watch me slice open their loved ones and dine on them until I split my own

Sides

But all is not fictional within the confines of my own mind

I often dream of the day when I could finally meet you face to face

Your back was turned, your eyes were open wide

My fingers intrude on upon both your sockets from behind

With broken glass I ll carve my name into your gaping chest

Dès ma naissance, j'ai été jugé inefficace

Les secondes passent comme si les années étaient passées

Même si mon esprit n'est qu'en lambeaux et déchiré

Frappé de toute logique, le remords semble nostalgique, la prémisse de la vengeance est

Désespéré

Pourtant, aucun mot ne peut exprimer, mais ma volonté de survivre est innée

Pour l'âme pour qui a enlevé ton innocence

De la grisaille de mon âme, je ne peux pas manquer que le destin existe

Les intentions deviennent nécessité.

Dans un souffle d'insistance

Car seul le plus cruel des dieux pouvait prévoir ce tourment

Chaque respiration pourrait être la plus longue que je prendrais jamais

Je suis perdu à la vue des horreurs de mon passé, même si je résiste à la tentation

Pardonner

Mes mains sont tout aussi calleuses.

Comme mon âme du poids.

Du monde.

Au sein de mon

Poings.

Quelle existence bénigne, pour qui a le droit d'hériter ?

Et avec ces mains

Je vais peler ta chair de leurs yeux

Comme remboursement de cette agonie

Et ce qui restait

Sens défiguré de ce que je méprisais autrefois

Seulement pour me hanter dans mes rêves sont les fantasmes de chercher la vengeance

Ressentir le tourment que j'ai ressenti autrefois, obligé de mutiler leur sens de l'humanité

Je prendrai votre droit de respirer.

Une fois tu m'as pris ce droit

En retirant vos poumons.

Et vous les renvoyer.

Ils ont l'air de victimes

C'est moi qui ai été victime une fois.

Pourtant mes actions sont justifiées

Par les années passées avec mes veines jaillissant de mes yeux

Mais si je ne les ai pas exécutés, si je n'ai pas pris leur vie

Je chercherais les moyens par lesquels ils sont complètement morts à l'intérieur

Les nourrir de force avec les membres et les organes de leurs propres enfants et épouses

Regardez-moi ouvrir leurs proches et les manger jusqu'à ce que je divise le mien

Côtés

Mais tout n'est pas fictif dans les limites de mon propre esprit

Je rêve souvent du jour où je pourrais enfin te rencontrer face à face

Tu avais le dos tourné, tes yeux étaient grands ouverts

Mes doigts empiètent sur vos deux prises par derrière

Avec du verre brisé, je graverai mon nom dans ta poitrine béante