Listen Close - Horrorshow

«Read my palm and see the evil of my forefathers»

«I can’t take it y’all, I can feel the city breathing

Chest heaving, against the flesh of the evening,»

«It's deep, I heard the city breathe in its sleep»

«Read my palm and see the evil of my forefathers»

«I can’t take it y’all, I can feel the city breathing

Chest heaving, against the flesh of the evening,»

«It's deep, I heard the city breathe in its sleep»

«Read my palm and see the evil of my forefathers»

«I can’t take it y’all, I can feel the city breathing

Chest heaving, against the flesh of the evening,»

«It's deep, I heard the city breathe in its sleep»

Can you feel the change in the air?

I never could, took a second look now I see it everywhere

Today moving so fast, becomes yesteryear

And if you can’t keep up, well then you disappear

I see the lonely old buildings round my way

Slowly fall into a state of disrepair

Then the real estate buy it up, sell it off, knock it down

Then it’s gone like it was never there, does anybody care?

Wood, brickwork and steel laid bare

Like the city’s broken bones exposed to the open air

And there I am, the heir apparent

Surveying the damage as my neighbourhood vanishes

Without a trace — an unsolved mystery

Whole decades erased instantly

No room for sympathy in the pursuit of efficiency

The legacy of a colonial dynasty

In a city still growing out it’s infancy

Built on invasion, displacement and misery

Foundations laid by blood, sweat and industry

Of convicts inspired by aspirations of liberty

Before that history goes to the grave

I listen close to the whispers of the ghosts of yesterday

From beneath the coats of paint they speak

Empty shop-fronts the faded evidence of a generation’s dreams

And on a still night, if you listen close

You can still hear the whispers of the ghosts

Seek it out and you’ll find that it’s all around you

The sound of that which was handed down

And on a still night, if you listen close

You can still hear the whispers of the ghosts

Know where we’ve been to grasp where we’re headed

Looking at the past from the present

And on a still night, if you listen close

You can still hear the whispers of the ghosts

«I can’t take it y’all, I can feel the city breathing

Chest heaving, against the flesh of the evening,»

«Read my palm and see the evil of my forefathers»

Now the signs in the street say for lease and for sale

An invitation to dream, a reminder of those who failed

A long way from land grants, rations and dirt trails

Disillusionment’s still in fashion in New South Wales

Rusted iron, rubble and chipped paint

Signs of urban decay in a withered landscape

I see it everyday, the heritage fades

Gentrification, nothing’s gonna get in the way

Of this concept that we call progress

Locked in a contest with our superiority complex

Monuments to man’s dominance are the imagery

Scaffolding sketches out the blueprints of visionaries

In a city still growing out it’s infancy

Built on invasion, displacement and bigotry

Foundations laid by cold-blooded killing sprees

Severed heads sent back on ships for the king to see

Before that history goes to the grave

I listen close to the whispers of the ghosts of yesterday

From beneath the coats of paint they speak

Empty shop-fronts the faded evidence of a generation’s dreams

I stay playing these beats on the same train platform

That Lawson waited on watching faces in the street

Except that somehow the scene appears differently

Soaked under the cold pale glow of electricity

So, before that history goes to the grave

I listen close to the whispers of the ghosts of yesterday

From beneath the coats of paint they speak

Empty shop-fronts the faded evidence of a generation’s dreams

But I know this city, I’ve felt its heart beat

Watched the life breathe through the cracks in the concrete

Where it stops is beyond me

And on a still night, if you listen close

You can still hear the whispers of the ghosts

Seek it out and you’ll find that it’s all around you

The sound of that which was handed down

And on a still night, if you listen close

You can still hear the whispers of the ghosts

Know where we’ve been to grasp where we’re headed

Looking at the past from the present

"Lisez ma paume et voyez le mal de mes ancêtres"

"Je ne peux pas le supporter, je peux sentir la ville respirer

Poitrine haletante, contre la chair du soir, »

"C'est profond, j'ai entendu la ville respirer dans son sommeil"

"Lisez ma paume et voyez le mal de mes ancêtres"

"Je ne peux pas le supporter, je peux sentir la ville respirer

Poitrine haletante, contre la chair du soir, »

"C'est profond, j'ai entendu la ville respirer dans son sommeil"

"Lisez ma paume et voyez le mal de mes ancêtres"

"Je ne peux pas le supporter, je peux sentir la ville respirer

Poitrine haletante, contre la chair du soir, »

"C'est profond, j'ai entendu la ville respirer dans son sommeil"

Sentez-vous le changement dans l'air ?

Je n'ai jamais pu, j'ai jeté un deuxième coup d'œil maintenant je le vois partout

Aujourd'hui, ça bouge si vite, devient d'antan

Et si tu ne peux pas suivre, eh bien tu disparais

Je vois les vieux bâtiments solitaires sur mon chemin

Tomber lentement dans un état de délabrement

Ensuite, l'immobilier l'achète, le vend, l'abat

Ensuite, il est parti comme s'il n'avait jamais été là, est-ce que quelqu'un s'en soucie ?

Bois, maçonnerie et acier mis à nu

Comme les os brisés de la ville exposés au grand air

Et je suis là, l'héritier présomptif

Examinant les dégâts alors que mon quartier disparaît

Sans trace - un mystère non résolu

Des décennies entières effacées instantanément

Pas de place pour la sympathie dans la poursuite de l'efficacité

L'héritage d'une dynastie coloniale

Dans une ville encore en croissance, c'est l'enfance

Construit sur l'invasion, le déplacement et la misère

Fondations posées par le sang, la sueur et l'industrie

Des condamnés inspirés par des aspirations à la liberté

Avant que l'histoire n'aille dans la tombe

J'écoute de près les murmures des fantômes d'hier

Sous les couches de peinture, ils parlent

Les vitrines vides, preuves fanées des rêves d'une génération

Et par une nuit calme, si tu écoutes attentivement

Vous pouvez encore entendre les murmures des fantômes

Cherchez-le et vous découvrirez qu'il est tout autour de vous

Le son de ce qui a été transmis

Et par une nuit calme, si tu écoutes attentivement

Vous pouvez encore entendre les murmures des fantômes

Savoir où nous sommes allés pour saisir où nous allons

Regarder le passé depuis le présent

Et par une nuit calme, si tu écoutes attentivement

Vous pouvez encore entendre les murmures des fantômes

"Je ne peux pas le supporter, je peux sentir la ville respirer

Poitrine haletante, contre la chair du soir, »

"Lisez ma paume et voyez le mal de mes ancêtres"

Maintenant, les panneaux dans la rue disent à louer et à vendre

Une invitation au rêve, un rappel de ceux qui ont échoué

Loin des concessions de terres, des rations et des chemins de terre

La désillusion est toujours à la mode en Nouvelle-Galles du Sud

Fer rouillé, gravats et peinture écaillée

Signes de déclin urbain dans un paysage flétri

Je le vois tous les jours, l'héritage s'estompe

L'embourgeoisement, rien ne gênera

De ce concept que nous appelons le progrès

Enfermé dans un concours avec notre complexe de supériorité

Les monuments à la domination de l'homme sont les images

L'échafaudage dessine les plans des visionnaires

Dans une ville encore en croissance, c'est l'enfance

Construit sur l'invasion, le déplacement et le sectarisme

Fondations posées par des tueries de sang-froid

Têtes coupées renvoyées sur des navires pour que le roi les voie

Avant que l'histoire n'aille dans la tombe

J'écoute de près les murmures des fantômes d'hier

Sous les couches de peinture, ils parlent

Les vitrines vides, preuves fanées des rêves d'une génération

Je continue à jouer ces rythmes sur le même quai de train

Que Lawson a attendu en regardant des visages dans la rue

Sauf que d'une certaine manière la scène apparaît différemment

Trempé sous la lueur pâle et froide de l'électricité

Donc, avant que l'histoire n'aille dans la tombe

J'écoute de près les murmures des fantômes d'hier

Sous les couches de peinture, ils parlent

Les vitrines vides, preuves fanées des rêves d'une génération

Mais je connais cette ville, j'ai senti son cœur battre

J'ai regardé la vie respirer à travers les fissures du béton

Où ça s'arrête est au-delà de moi

Et par une nuit calme, si tu écoutes attentivement

Vous pouvez encore entendre les murmures des fantômes

Cherchez-le et vous découvrirez qu'il est tout autour de vous

Le son de ce qui a été transmis

Et par une nuit calme, si tu écoutes attentivement

Vous pouvez encore entendre les murmures des fantômes

Savoir où nous sommes allés pour saisir où nous allons

Regarder le passé depuis le présent