Carousel - I The Mighty

I think I’ve had enough of your world for today.

My head has opened up and your pictures fall like rain.

In front of my face they spin.

We were corresponding shapes like the rocks in a ledge.

Now this puzzle has been rained upon and the corners lost their edge.

Nothing fits as it once did.

But at least we had finished at

All over this room I reign you are.

All over this room I reign you are.

All over this room I reign you are.

And what’s wrong with that?

Nothing I guess…

So I entertain my mind with little ticks and movie flicks.

Combinations of quirky comedies, but they’ve all got romantic twists.

And when I can’t forget I write.

That’s how this whole thing came to be.

It helps me when I’m lonely.

All over this room I reign you are.

All over this room I reign you are.

All over this room I reign you are.

And what’s wrong with that?

Nothing I guess…

So, I guess you’re right.

I did abhor the awkward silence we endured.

And spoke a truce to stop the swell and slow this spinning carousel.

Yet still it spun from time to time, laced with mistrust that cracked the

spine.

This feeble frame just would not hold and sparked the drifting of two

souls.

I am not ready nor deserve a line of love that can’t be blurred into a

shallow blotch of lust.

A dirty thought.

A pointless fuck.

I never properly

explained, this bodied beauty you contain is too much for a man to take at such

an age-less feeling age.

Works.

This circle never works.

This cycle of the poet and his dame who never

could explain this tired plot.

Insistent it would stop.

Convinced that every

problem soon would rest.

That bad things at their best would fix themselves.

But those things you just can’t tell.

And its taunting in this straight jacket

of hope.

It blinds and it disrupts the ebb and flow.

The process of letting go.

The pattern on this strange bright lighted stage.

The stigma at this age-less

feeling age.

Je pense que j'en ai assez de votre monde pour aujourd'hui.

Ma tête s'est ouverte et vos photos tombent comme la pluie.

Devant mon visage, ils tournent.

Nous correspondions à des formes comme les rochers dans un rebord.

Maintenant, ce puzzle a plu et les coins ont perdu leur tranchant.

Plus rien ne correspond comme avant.

Mais au moins, nous avions terminé à

Partout dans cette pièce, je règne tu es.

Partout dans cette pièce, je règne tu es.

Partout dans cette pièce, je règne tu es.

Et qu'est-ce qui ne va pas avec ça?

Rien je suppose…

Alors je divertis mon esprit avec de petits tic-tac et des films.

Des combinaisons de comédies originales, mais elles ont toutes des rebondissements romantiques.

Et quand je ne peux pas oublier, j'écris.

C'est ainsi que tout cela est arrivé.

Cela m'aide quand je suis seul.

Partout dans cette pièce, je règne tu es.

Partout dans cette pièce, je règne tu es.

Partout dans cette pièce, je règne tu es.

Et qu'est-ce qui ne va pas avec ça?

Rien je suppose…

Donc, je suppose que vous avez raison.

J'ai abhorré le silence gênant que nous avons enduré.

Et a dit une trêve pour arrêter la houle et ralentir ce carrousel en rotation.

Pourtant, cela tournait de temps en temps, empreint d'une méfiance qui faisait craquer le

la colonne vertébrale.

Ce cadre faible ne tenait tout simplement pas et a déclenché la dérive de deux

âmes.

Je ne suis pas prêt ni ne mérite une ligne d'amour qui ne peut pas être floue dans un

tache peu profonde de luxure.

Une pensée sale.

Une baise inutile.

Je n'ai jamais correctement

expliqué, cette beauté corporelle que vous contient est trop pour un homme à prendre à un tel

un âge de sentiment sans âge.

Œuvres.

Ce cercle ne fonctionne jamais.

Ce cycle du poète et de sa dame qui n'a jamais

pourrait expliquer ce complot fatigué.

Insistant, cela s'arrêterait.

Convaincu que chaque

problème allait bientôt se reposer.

Que les mauvaises choses à leur meilleur se répareraient d'elles-mêmes.

Mais ces choses que vous ne pouvez pas dire.

Et c'est narquois dans cette camisole de force

d'espoir.

Cela aveugle et perturbe le flux et le reflux.

Le processus de lâcher prise.

Le motif sur cette scène étrangement éclairée.

La stigmatisation à ce moins d'âge

ressentir l'âge.