Numbers Game - Illy

Trading floors exploded, down arrows, red numbers

People losing everything, convinced that their world was ending,

no small thanks to a lotta chest thumping

And paranoia, but thats a sensitive topic

Cause on one hand homie lost his home, on the other hand, the ones who caused

it go in and post record profits

That was just the tip of it, the icebergs vanished, species vanished daily

Countries literally drowning, under the threat of an ecosystem failing

To cope, gave us enough rope, we were swaying by the days end

Big business dollars bought slaves, blind eyes, coastlines, goldmines of

ambivalence, digging our own graves then

No lie, oil fell from the sky, suffocated oceans blackened

Eyes of the world on a room of conspirators, not one knew what happened

Not one stood and hacked it, noone took blame

Global crisis justified for private gain a world insane (that's what it is to

be a slave

Every city

In every building

Sits another like me

Watching, waiting, watching, waiting

They pushed us, tested our indifference, just to see how far they could milk it

And its funny cause the ones with the money didn’t care long as it was the one

without who felt it

Ha, they felt it alright, for lifetimes across all borders

Smooth talkers, cold blooded, exploit it, export it

My generation, was caught between caring more than all that came before us

And a self induced apathy that almost tore us, destroyed us and brought us

To the brink, then we stopped to think, its crazy in age where

We could drop bombs via satellite we were too blind to the forces at play there,

to stand up against their

Willpower, to quick to cower in the face of conglomerates

And as the world hung there in the balance, enough said enough is enough about

time we put a stop to this

Straw by straw till they had a haystack, only took one more

To break the cycle, united took to the streets, to the halls of power,

to the governments doors

Every city

In every building

Sits another like me

Watching, waiting, watching, waiting

Every city

In every building

Sits another like me

Watching, waiting, watching, waiting

It’s all a numbers game, but all the corporate wallet flashes

Of financial strength couldn’t counter the power of the masses

When it came to the crunch, when the lust and greed threatened everything we

love

Divided they had us but fuck that man, push came to shove

And we beat the fucking cowards back, and under a shining sun

Showed we could silence their influence, but try as they might they couldn’t

silence love

Can’t silence love, let history shown how hard that war was won

So we may never know how close we’d really come, how close we’d really come

Quite an experience to live in fear isn’t it?

That’s what it is to be a slave

Les parquets ont explosé, flèches vers le bas, chiffres rouges

Des gens qui perdaient tout, convaincus que leur monde se terminait,

pas un petit merci à beaucoup de coups de poitrine

Et la paranoïa, mais c'est un sujet sensible

Parce que d'une part mon pote a perdu sa maison, d'autre part, ceux qui ont causé

il entre et génère des bénéfices records

Ce n'était que la pointe, les icebergs ont disparu, les espèces ont disparu chaque jour

Des pays littéralement en train de se noyer, sous la menace d'un écosystème défaillant

Pour faire face, nous a donné assez de corde, nous nous balancions à la fin des jours

Les dollars des grandes entreprises ont acheté des esclaves, des yeux aveugles, des côtes, des mines d'or de

ambivalence, creusant nos propres tombes puis

Pas de mensonge, le pétrole est tombé du ciel, les océans étouffés se sont noircis

Les yeux du monde sur une salle de conspirateurs, personne ne savait ce qui s'était passé

Personne ne s'est levé et l'a piraté, personne n'a pris le blâme

Crise mondiale justifiée par le gain privé d'un monde insensé (c'est ce que c'est

être un esclave

Chaque ville

Dans chaque bâtiment

Assis un autre comme moi

Regarder, attendre, regarder, attendre

Ils nous ont poussés, testé notre indifférence, juste pour voir jusqu'où ils pouvaient la traire

Et c'est drôle parce que ceux qui avaient de l'argent s'en fichaient tant que c'était celui-là

sans qui l'a senti

Ha, ils l'ont senti bien, pendant des vies à travers toutes les frontières

Beau parleur, sang-froid, exploite-le, exporte-le

Ma génération était coincée entre se soucier plus que tout ce qui nous a précédés

Et une apathie auto-induite qui nous a presque déchirés, nous a détruits et nous a amenés

Au bord du gouffre, puis nous nous sommes arrêtés pour réfléchir, c'est fou à l'âge où

Nous pouvions larguer des bombes par satellite, nous étions trop aveugles aux forces en jeu là-bas,

se dresser contre leur

Volonté, pour rapidement se recroqueviller face aux conglomérats

Et comme le monde pendait là dans la balance, assez dit, c'est assez sur

le temps que nous mettions un terme à cela

Paille par paille jusqu'à ce qu'ils aient une botte de foin, n'en ont pris qu'une de plus

Pour briser le cycle, United est descendu dans la rue, dans les couloirs du pouvoir,

aux portes du gouvernement

Chaque ville

Dans chaque bâtiment

Assis un autre comme moi

Regarder, attendre, regarder, attendre

Chaque ville

Dans chaque bâtiment

Assis un autre comme moi

Regarder, attendre, regarder, attendre

Tout n'est qu'un jeu de chiffres, mais tout le portefeuille de l'entreprise clignote

La force financière ne pouvait pas contrer le pouvoir des masses

Quand est venu le moment critique, quand la luxure et la cupidité ont menacé tout ce que nous

amour

Divisés, ils nous avaient mais baise cet homme, la poussée est venue pour pousser

Et nous avons repoussé ces putains de lâches, et sous un soleil radieux

Nous avons montré que nous pouvions faire taire leur influence, mais ils n'ont pas pu

silence amour

Je ne peux pas faire taire l'amour, laissez l'histoire montrer à quel point cette guerre a été gagnée

Donc, nous ne saurons peut-être jamais à quel point nous nous rapprochons vraiment, à quel point nous nous rapprochons vraiment

Toute une expérience à vivre dans la peur n'est-ce pas ?

C'est ça d'être un esclave