Voici les paroles de la chanson : Dirt And Dead Ends , artiste : Indigo Girls Avec traduction
Texte original avec traduction
Indigo Girls
You’re looking at foreclosure
And doing time
And it don’t sound good this time
And the wife that made your life Hell
All the time you were telling me You were fine
Silly man
So I got your dog.
How is that?
I made it nice, I wrote a check.
You cut the weeds back on my drive
Cause you’re a good guy
Deep down inside.
What makes a boy like you go bad,
What makes a man so lonely and sad,
That he’d poison all he knows
And in one year, just let it go?
And all that time you were telling me You were fine
Silly man, silly boy
It’s been you and me on this frontier
Trying not to be suburban pioneers.
Fighting off the pavers
And the associations
And the covenants against the trailers.
I remember how we used to laugh
At all those rotten men in «camo"drag
With their advantage and their guns
Up the deer stand shooting up a storm
And all the time
You were telling me all those lies
Silly man, I’m just a silly girl
There was a time
We could hibernate like bears
But we finally come up for air
And everything’s all marked and cleared,
Survey flags flying everywhere.
Once you said to me You know, what I’ll miss the most
Is just being the only ones
With our dirt and our dead ends
And no one to turn us in.
Vous envisagez une saisie
Et faire du temps
Et ça ne sonne pas bien cette fois
Et la femme qui a fait de ta vie un enfer
Tout le temps tu me disais que tu allais bien
Homme stupide
Alors j'ai votre chien.
Comment c'est?
J'ai fait ça bien , j'ai fait un chèque.
Tu coupes les mauvaises herbes sur mon drive
Parce que tu es un bon gars
Au fond de toi.
Qu'est-ce qui fait qu'un garçon comme toi va mal,
Qu'est-ce qui rend un homme si seul et triste,
Qu'il empoisonnerait tout ce qu'il sait
Et dans un an, laisser tomber ?
Et pendant tout ce temps tu me disais que tu allais bien
Homme stupide, garçon stupide
C'était toi et moi sur cette frontière
Essayer de ne pas être des pionniers de banlieue.
Combattre les pavés
Et les associations
Et les pactes contre les remorques.
Je me souviens comment nous avions l'habitude de rire
À tous ces hommes pourris en "camo" drag
Avec leur avantage et leurs armes
Jusqu'à le stand de cerfs tirant une tempête
Et tout le temps
Tu me disais tous ces mensonges
Idiot, je ne suis qu'une idiote
Il fût un temps
Nous pourrions hiberner comme des ours
Mais nous finissons par prendre l'air
Et tout est marqué et effacé,
Drapeaux d'arpentage flottant partout.
Une fois tu m'as dit Tu sais, ce qui va le plus me manquer
C'est juste être les seuls
Avec nos saletés et nos impasses
Et personne pour nous dénoncer.
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