Voici les paroles de la chanson : Out of the Fire , artiste : Iris DeMent Avec traduction
Texte original avec traduction
Iris DeMent
On a gravel back-road, down deep in the Fall
So long ago, yet how well I recall
My Grandfather’s green truck with the rusted-out rims
And me on the seat, between my Mamma and him
How we rattled along, until the old Ford, it stalled
And Momma said «Jump on out, pick you a big cotton ball»
An Autumn leaf scraped its way across the road
We were headed back home
See the proud, thrusting, curve of the robin’s red breast
Out gathering worms to return to her nest
The lavender haze at the first light of dawn
A woman’s clear voice lilting in song
And all the fine words our poets have said
The sparkling dew upon the spider’s silk web!
Does one matter more?
Does one matter less?
Who of us can say?
The tents are rolled up, the Revival’s left town
All that remains is the fine sawdust ground
Still wet from the tears that fell from the eyes
Of folks too far down to hang back in pride
And I am here, too, like I always was:
Deep in the pain, strong in the love
Still singing my prayer to Heaven above
Heartfelt and true
Once you were the dawn, the dusk, and the light
Without the dream of holding you tight
My days turned to black, I could hardly take breath
I stumbled my way thru a fate worse than death
But like the Phoenix that rose right out of the fire
I came back too, from a bed of desire
And shook from my wings the ash from the pyre
And headed back home
Sur une petite route de gravier, au plus profond de l'automne
Il y a si longtemps, pourtant je me souviens bien
Le camion vert de mon grand-père avec les jantes rouillées
Et moi sur le siège, entre ma maman et lui
Comment nous avons traîné, jusqu'à ce que la vieille Ford ait calé
Et maman a dit "Saute, prends une grosse boule de coton"
Une feuille d'automne s'est frayée un chemin à travers la route
Nous rentrions à la maison
Voir la courbe fière et poussée de la poitrine rouge du rouge-gorge
Sortir chercher des vers pour retourner à son nid
La brume de lavande aux premières lueurs de l'aube
La voix claire d'une femme chantant dans une chanson
Et toutes les belles paroles que nos poètes ont dites
La rosée scintillante sur la toile de soie de l'araignée !
Est-ce qu'un compte plus?
Est-ce qu'on compte moins ?
Qui d'entre nous peut dire ?
Les tentes sont enroulées, la ville de gauche du Revival
Tout ce qui reste est le sol de sciure fine
Encore humide des larmes qui sont tombées des yeux
Des gens trop bas pour rester fiers
Et je suis ici aussi, comme je l'ai toujours été :
Profondément dans la douleur, fort dans l'amour
Chantant toujours ma prière au Ciel au-dessus
Sincère et vrai
Autrefois tu étais l'aube, le crépuscule et la lumière
Sans le rêve de te serrer fort
Mes journées sont devenues noires, je pouvais à peine respirer
J'ai trébuché à travers un destin pire que la mort
Mais comme le Phénix qui est sorti du feu
Je reviens aussi, d'un lit de désir
Et secoué de mes ailes la cendre du bûcher
Et je suis rentré à la maison
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