The Observatory - Irk

To have all of these thoughts, these are real people

Living like reality is objective

We know who you really are

That man is not a geneticist, nor a purveyor of what could be called

«the new love», «the joy of winning», the «whatever's left over from the

beginning»

How to sell an error, how to praise a misinterpretation

How to eat your fingers off

Stand bereft, but don’t expct the swollen weight of thir respect

And given their track record, they would hardly think to object

Finding it hard?

And thinking it’s dull?

Yourself, reimagined, but without a skull

Or a face, or your nice shoes that you wear

Just a pair of gloved hands holding a full length mirror

Just a tired set of teeth chewing a piece of leather

Just an overlong sentence, just an overripe plum

Just an overdue deference and it’s done when it’s done

Just a piece of paper

Life is not good, who’d wish to live?

All I see is bodies adrift

Smiling, all smiling

Lots and lots of lips

Oh my god, where do they come from?

Is it some kind of religion?

Or political party?

The observatory

Sit yourself down, all real people

Objectivity, oh, reality

All of these thoughts

All of these thoughts

Pour avoir toutes ces pensées, ce sont de vraies personnes

Vivre comme la réalité est un objectif

Nous savons qui vous êtes vraiment

Cet homme n'est pas un généticien, ni un fournisseur de ce qu'on pourrait appeler

« le nouvel amour », « la joie de gagner », le « ce qui reste de la

début"

Comment vendre une erreur, comment louer une mauvaise interprétation

Comment manger vos doigts ?

Tenez-vous dépourvu, mais ne vous attendez pas au poids gonflé de leur respect

Et compte tenu de leurs antécédents, ils penseraient à peine à s'y opposer

Vous avez du mal ?

Et pensant que c'est terne?

Vous-même, réinventé, mais sans crâne

Ou un visage, ou vos belles chaussures que vous portez

Juste une paire de mains gantées tenant un miroir pleine longueur

Juste une paire de dents fatiguées mâchant un morceau de cuir

Juste une phrase trop longue, juste une prune trop mûre

Juste une déférence en retard et c'est fait quand c'est fait

Juste un morceau de papier

La vie n'est pas belle, qui voudrait vivre ?

Tout ce que je vois, ce sont des corps à la dérive

Souriant, tout souriant

Beaucoup, beaucoup de lèvres

Oh mon dieu, d'où viennent-ils ?

Est-ce une sorte de religion ?

Ou un parti politique ?

L'observatoire

Asseyez-vous, toutes les vraies personnes

Objectivité, oh, réalité

Toutes ces pensées

Toutes ces pensées