Coming Home - Iron Maiden

When I stand before you shining in the early morning sun

When I feel the engines roar and I think of what we’ve done

Oh the bittersweet reflection as we kiss the earth goodbye

As the waves and echoes of the towns become the ghosts of time

Over borders that divide the earthbound tribes

No creed and no religion just a hundred winged souls

We will ride this thunderbird, silver shadows on the earth

A thousand leagues away, our land of birth

To Albion’s land

Coming home when I see the runway lights

In the misty dawn the night is fading fast

Coming home, far away as their vapor trails align

Where I’ve been tonight, you know I will not stay

Curving on the edge of daylight til it slips into the void

Waited in the long night, dreaming til the sun is born again

Stretched the fingers of my hand, covered countries with my span

Just a lonely satellite, speck of dust and cosmic sand

Over borders that divide the earthbound tribes

Through the dark Atlantic;

over mounting stormy waves

We will ride this thunderbird, silver shadows on the earth

A thousand leagues away, our land of birth

To Albion’s land

Coming home when I see the runway lights

In the misty dawn the night is fading fast

Coming home, far away as their vapor trails align

Where I’ve been tonight, you know I will not stay

To Albion’s land

Coming home when I see the runway lights

In the misty dawn the night is fading fast

Coming home, far away as their vapor trails align

Where I’ve been tonight, you know I will not stay

Coming home, far away when I see the runway lights

In the misty dawn the night is fading fast

Coming home, far away as their vapor trails align

Where I’ve been tonight, you know I will not stay

Quand je me tiens devant toi, brillant au soleil du petit matin

Quand je sens les moteurs rugir et que je pense à ce que nous avons fait

Oh la réflexion douce-amère alors que nous embrassons la terre au revoir

Alors que les vagues et les échos des villes deviennent les fantômes du temps

Au-delà des frontières qui divisent les tribus terrestres

Pas de credo ni de religion juste une centaine d'âmes ailées

Nous chevaucherons cet oiseau-tonnerre, des ombres argentées sur la terre

A mille lieues d'ici, notre terre natale

Au pays d'Albion

Je rentre à la maison quand je vois les feux de la piste

Dans l'aube brumeuse, la nuit s'estompe rapidement

Rentrer à la maison, loin alors que leurs traînées de vapeur s'alignent

Où j'ai été ce soir, tu sais que je ne resterai pas

Se courbant au bord de la lumière du jour jusqu'à ce qu'elle glisse dans le vide

Attendu dans la longue nuit, rêvant jusqu'à ce que le soleil naisse de nouveau

J'ai étiré les doigts de ma main, couvert des pays avec mon envergure

Juste un satellite solitaire, un grain de poussière et de sable cosmique

Au-delà des frontières qui divisent les tribus terrestres

À travers l'Atlantique sombre;

sur le montage des vagues orageuses

Nous chevaucherons cet oiseau-tonnerre, des ombres argentées sur la terre

A mille lieues d'ici, notre terre natale

Au pays d'Albion

Je rentre à la maison quand je vois les feux de la piste

Dans l'aube brumeuse, la nuit s'estompe rapidement

Rentrer à la maison, loin alors que leurs traînées de vapeur s'alignent

Où j'ai été ce soir, tu sais que je ne resterai pas

Au pays d'Albion

Je rentre à la maison quand je vois les feux de la piste

Dans l'aube brumeuse, la nuit s'estompe rapidement

Rentrer à la maison, loin alors que leurs traînées de vapeur s'alignent

Où j'ai été ce soir, tu sais que je ne resterai pas

Je rentre à la maison, loin quand je vois les lumières de la piste

Dans l'aube brumeuse, la nuit s'estompe rapidement

Rentrer à la maison, loin alors que leurs traînées de vapeur s'alignent

Où j'ai été ce soir, tu sais que je ne resterai pas