Two Hungry Blackbirds - Iron & Wine

Lovers accustomed to tragedy

See every kiss in the window across the street

Breezes and blessings passing by, ah ooh-oh

I’m in the shade of the dogwood tree

Not the one where you told your name to me Two hungry blackbirds land near by, ah ooh-oh

If I could be over you when the sky starts falling

Would you be happy under me?

If I could be under you if the earth was burning

Could you be trusted over me?

Spoke to a mother whose baby drowned

Gave me advice, or a rumor she once heard:

«Heaven's a distance, not a place,» ah ooh-oh

Gave her an ear from the corn we grew

You were away but she gave her thanks to you

That was a year ago come May, ah ooh-oh

If I could be over you when the sky starts falling

Would you be smothered under me?

If I could be under you if the earth was burning

Would you be cryin' over me?

I could hear kids in the yard next door

Cats in the brush when the calendar fell down

Wait by the shade-tree one more year, ah ooh-oh

Poetry tempered with tragedy

Tempted and pulled when you cry upon my sleeve

Two flocks of blackbirds meet the air

Les amants habitués à la tragédie

Voir chaque baiser dans la fenêtre de l'autre côté de la rue

Les brises et les bénédictions passent, ah ooh-oh

Je suis à l'ombre du cornouiller

Pas celui où tu m'as dit ton nom Deux merles affamés atterrissent à proximité, ah ooh-oh

Si je pouvais être au-dessus de toi quand le ciel commence à tomber

Seriez-vous heureux sous moi ?

Si je pouvais être sous toi si la terre brûlait

Pourriez-vous faire confiance à moi ?

J'ai parlé à une mère dont le bébé s'est noyé

M'a donné un conseil ou une rumeur qu'elle a entendue :

"Le paradis est loin, pas un endroit", ah ooh-oh

Je lui ai donné une oreille du maïs que nous avons cultivé

Vous étiez absent, mais elle vous a remercié

C'était il y a un an en mai, ah ooh-oh

Si je pouvais être au-dessus de toi quand le ciel commence à tomber

Seriez-vous étouffé sous moi ?

Si je pouvais être sous toi si la terre brûlait

Pleurerais-tu pour moi ?

Je pouvais entendre des enfants dans la cour d'à côté

Chats dans les broussailles quand le calendrier est tombé

Attendre près de l'arbre d'ombrage un an de plus, ah ooh-oh

Poésie tempérée de tragédie

Tenté et tiré quand tu pleures sur ma manche

Deux volées de merles rencontrent l'air