Intro - Isar

Ich bin wieder da!

Wieder nach langer Zeit, wie im Fieber

Nach 10 Jahren Musik, alte Schule, wie, das ist Isar!

Pur, wie’n Schuss Tequila

Ich liefer' persönliche Eindrücke und battle Raps für die Krieger

Der Berliner (Bär!) schreibt weiterhin für euch Lieder

Zielsicher, wie die Bundesliga — der ultimative Spieler

Der Underdog.

Ich steh auf, wieder und wieder

Dieses Game hier ist meins, ich bleibe ein ewiger Sieger

Ich gebe nicht nach.

Es wäre eine zu schwere, ewige Schmach

Nichts womit ich leben könnte.

Demnach

Geb' ich weiterhin Gas

Ewiger Streetfighter.

Ich meide die Charts

Bleibe in meinem Viertel, schreibe die Parts

Die mich dazu verleiten mit mir meinen Weg zu beschreiten, mein Leben,

mein Leid zu teilen in bebenden Zeiten

Probleme leben.

Man redet sich ein (alles bequem)

Doch ist umgeben von lebenden Leichen

Die nichts mehr sehen

Nach nichts mehr streben, auf alles und jeden einen Fick geben

Ich gehör zu denen die sich wehren, sich auflehnen

Den Mittelfinger heben gegen das System

Mit dem Kopf durch die Wand, immer den eigenen Weg gehen

Mein Ziel vor Augen, ich muss nur fest daran glauben

Hab Vertrauen in deine Fähigkeiten, keiner kann sie dir rauben!

Wie sie staunen, nachdem sie sagen der würde nix taugen

Jetzt durchqueren sie Städte, um seiner Kunst zuzuschauen

Das Leben ist eine Laune, es geht runter und dann wieder rauf

Ich nehme mir was ich brauch, filter es und saug es auf

Negatives lass ich aus, kein Zutritt für Hass im Haus

Nimm dein Leben wie es kommt und mach das beste draus!

Je suis revenu!

Encore une fois après un long moment, comme dans une fièvre

Après 10 ans de musique, old school, genre, c'est Isar !

Pur, comme un verre de tequila

Je livre des impressions personnelles et des raps de combat pour les guerriers

Le Berlinois (ours !) continue d'écrire des chansons pour vous

Précis, comme la Bundesliga — le joueur ultime

L'outsider.

je me lève encore et encore

Ce jeu est le mien, je serai toujours le gagnant

Je ne cède pas.

Ce serait trop lourd une honte éternelle

Rien avec quoi je pourrais vivre

Ainsi

Je continue d'appuyer sur l'accélérateur

Combattant de rue éternel.

j'évite les tableaux

Reste dans mon quartier, écris les pièces

Qui me tentent de suivre mon chemin avec moi, ma vie,

pour partager ma souffrance dans les moments tremblants

les problèmes vivent.

Vous vous parlez (tout est facile)

Mais est entouré de cadavres vivants

qui ne voient rien

Ne chercher plus rien, se foutre de tout et de tout le monde

Je suis de ceux qui se battent, se rebellent

Levez le majeur contre le système

La tête contre le mur, toujours suivre votre propre chemin

J'ai mon objectif en tête, je dois juste y croire

Ayez confiance en vos capacités, personne ne pourra vous les priver !

Comme ils sont étonnés après avoir dit qu'il n'est pas bon

Maintenant, ils traversent les villes pour regarder son art

La vie est un caprice, elle descend puis remonte

Je prends ce dont j'ai besoin, le filtre et l'aspire

Je laisse de côté le négatif, pas d'admission pour la haine dans la maison

Prenez votre vie comme elle vient et profitez-en au mieux !