The 4th 3rd - J-Live

Can’t even call this a blues song

It’s been so long

Neither one of us was wrong or anything like that

It seems like yesterday

In the silence of the city night

When the lonely watch the sky in yearning

I, at rest, lie in peace beside you

I searched a thousand skies before you came

For the 4th 3rd, I Chris Columbus three words from Stevie for the issue

The only thing to call it was official

The way I live for you was as if I’d die with you

Cause not a moment I spent with you was artifical

The plan from the dome was to build a home with you

Forever had a space in my heart, I roam with you

Hypothetical dreams conjure when I met you

See, years grew between us and still I can’t forget you

Regretting how I ever let you let me let you escape fool’s paradise

Running from a paradox

Living like a pair of ducks, but with different flocks

With different destinations, our ships remain docked

Temporary, but the feelings that I harbor still wade

In the holy waters that made our sweet lemonaid

Too dumb to persist, too smart to persuade

Too heavy to push aside and too strong to stay

Too hard to work and so easy to play

Like chopsticks, what I picked slipped away

Leaving me to recollect day by day

And take solace in the words Bill say

Memories take you back, to the good times

When it’s over and sad times disappear

Memories take you back

To the lean times, in between times

To the days of yesteryear

Memories are that way

Memories are that way, that way back to that way back

When I could never think of you and say «wack»

Similar to old cassettes, something to cuss at

Deteriorating with each rewind and playback

Even now, under the hiss I reminisce

On this angelic face, reciprocating bliss

With the radio low, your feet anchored in mine

Hands to waistline, walking to a bassline

Good food in my belly, good love on my mind

Turn around to a kiss deep enough to stop time

Open up to a smile so bright, I go blind

To the suffering of the world, everything appears fine

Poetry in the bed, literally

You putting me open to Stephany and Giovanni

With legs entwined, trading profound lines

Linens, fingers, and spines aligned, digging in your mind like it’s mine

Sometimes at night it seem so damn right

Just to shift nose to neck, just to get a whiff

I’ve never seen life like this, so life-like

This is how I’d like my life to subsist

But somewhere in between us were interpretations

Of justice and Jesus, cultures in said nations

But if I woulda knew what I know now, mighta never known how

Memories take you back, to the good times

When it’s over

I searched a thousand skies before you came

And in the morning, when the world is new

The lonely turn away, as I turn to you, beside me

The greatest story ever erased could never replace

The worst torture ever I faced was trying to retrace

The steps in my mind like a defeated surgeon fighting fate

With the cure just a little too late

We went from «Yo, who’s that?»

to «Hi, my name is Jay»

To hoping I would run into you in the hallway

To «That's my homegirl, peace queen, how ya been?»

To «Lemme get your number, damn do I have a pen?»

From «May I speak to» to «Peace» to «Who's this?»

to «Hey!»

To hear the joy in your voice I call you every day

The VCR blue screen lit the dark room

Miles and Gil, «Quiet Nights» that was our tune

But Friday’s dates and Saturday’s prayer

Lead to Sunday’s break-up, and Monday’s make-up

As just friends up until Tuesday’s wake up

Together again, in a cycle that never ends

My young heart coulda swore love transcends

But two turntables alone don’t make a blend

The tracks are too different for «ifs, buts and sos»

But if it’s so right?

Never mind, we both know

Sometimes I wonder if you married my replacement

Equally old with ideas adjacent

You build a whole 'nother story to your dream house

Kept my possessions in a box in the basement

I still consider you a song bird, singing in the open cage

Guilded with fools gold, but that’s just me

There’ll never be no animocity, I’m thankful for the memories

All I ask is that you remember me

In the silence of the city night

When the lonely watch the sky in yearning

I, at rest, lie in peace beside you

I searched a thousand skies before you came

And in the morning, when the world is new

The lonely turn away, as I turn to you, beside me

And in the quiet of the afternoon, when the lonely roam

I turn beside, and you are with me still

I roamed a thousand miles before you came

Je ne peux même pas appeler ça une chanson de blues

Ça fait tellement longtemps

Aucun de nous n'avait tort ou quelque chose comme ça

C'est comme si c'était hier

Dans le silence de la nuit de la ville

Quand les solitaires regardent le ciel avec envie

Moi, au repos, je repose en paix à côté de toi

J'ai cherché mille cieux avant que tu viennes

Pour le 4ème 3ème, j'ai Chris Columbus trois mots de Stevie pour le problème

La seule chose à appeler c'était officiel

La façon dont je vis pour toi était comme si j'allais mourir avec toi

Parce que pas un moment que j'ai passé avec toi n'était artificiel

Le plan du dôme était de construire une maison avec vous

J'ai toujours eu un espace dans mon cœur, j'erre avec toi

Des rêves hypothétiques évoquent quand je t'ai rencontré

Tu vois, les années ont passé entre nous et je ne peux toujours pas t'oublier

Regrettant comment je t'ai laissé te laisser t'échapper du paradis des imbéciles

Fuir un paradoxe

Vivre comme un couple de canards, mais avec des troupeaux différents

Avec différentes destinations, nos navires restent amarrés

Temporaire, mais les sentiments que je nourris pataugent encore

Dans les eaux bénites qui ont fait notre douce citronnelle

Trop stupide pour persister, trop intelligent pour persuader

Trop lourd pour pousser de côté et trop fort pour rester

Trop difficile à travailler et si facile à jouer

Comme des baguettes, ce que j'ai ramassé m'a échappé

Me laissant me souvenir jour après jour

Et réconfortez-vous dans les mots que dit Bill

Les souvenirs vous ramènent aux bons moments

Quand c'est fini et que les moments tristes disparaissent

Les souvenirs te ramènent

Aux périodes de vaches maigres, entre les périodes

Aux jours d'antan

Les souvenirs sont ainsi

Les souvenirs sont de cette façon, de cette façon de retour à ce chemin de retour

Quand je ne pourrais jamais penser à toi et dire "wack"

Similaire aux vieilles cassettes, quelque chose à jurer

Se détériore à chaque rembobinage et lecture

Même maintenant, sous le sifflement, je me souviens

Sur ce visage angélique, le bonheur réciproque

Avec la radio basse, tes pieds ancrés dans les miens

Mains à la taille, marchant vers une ligne de basse

De la bonne nourriture dans mon ventre, du bon amour dans ma tête

Se retourner pour un baiser assez profond pour arrêter le temps

S'ouvrir à un sourire si brillant que je deviens aveugle

À la souffrance du monde, tout semble bien

Poésie au lit, littéralement

Tu me mets ouvert à Stephany et Giovanni

Avec les jambes entrelacées, échangeant des lignes profondes

Les draps, les doigts et les épines alignés, creusant dans votre esprit comme si c'était le mien

Parfois, la nuit, ça semble tellement bien

Juste pour passer du nez au cou, juste pour avoir une bouffée

Je n'ai jamais vu la vie comme ça, si réaliste

C'est comme ça que j'aimerais que ma vie subsiste

Mais quelque part entre nous il y avait des interprétations

De la justice et de Jésus, des cultures dans lesdites nations

Mais si je savais ce que je sais maintenant, je n'aurais peut-être jamais su comment

Les souvenirs vous ramènent aux bons moments

Quand c'est fini

J'ai cherché mille cieux avant que tu viennes

Et le matin, quand le monde est nouveau

Le solitaire se détourne, alors que je me tourne vers toi, à côté de moi

La plus grande histoire jamais effacée ne pourrait jamais remplacer

La pire torture à laquelle j'aie été confrontée a été d'essayer de revenir en arrière

Les étapes dans mon esprit comme un chirurgien vaincu combattant le destin

Avec le remède juste un peu trop tard

Nous sommes passés de "Yo, qui est-ce ?"

à « Bonjour, je m'appelle Jay »

En espérant que je te croiserais dans le couloir

À "C'est ma copine, reine de la paix, comment vas-tu ?"

Pour "Laissez-moi prendre votre numéro, putain j'ai un stylo ?"

De «Puis-je parler à » à « Paix » à « Qui est-ce ? »

à « Hé ! »

Pour entendre la joie dans ta voix, je t'appelle tous les jours

L'écran bleu du magnétoscope éclairait la chambre noire

Miles et Gil, "Quiet Nights" c'était notre morceau

Mais les dates du vendredi et la prière du samedi

Mener à la rupture du dimanche et au rattrapage du lundi

En tant que justes amis jusqu'au réveil de mardi

Ensemble à nouveau, dans un cycle qui ne se termine jamais

Mon jeune cœur aurait pu jurer que l'amour transcende

Mais deux platines seules ne font pas un mélange

Les pistes sont trop différentes pour les «si, mais et sos»

Mais si c'est vrai ?

Peu importe, nous savons tous les deux

Parfois je me demande si tu as épousé mon remplaçant

Tout aussi vieux avec des idées adjacentes

Vous construisez toute une autre histoire pour la maison de vos rêves

J'ai gardé mes biens dans une boîte au sous-sol

Je te considère toujours comme un oiseau chanteur, chantant dans la cage ouverte

Guildé d'or d'imbéciles, mais c'est juste moi

Il n'y aura jamais aucune animosité, je suis reconnaissant pour les souvenirs

Tout ce que je demande, c'est que tu te souviennes de moi

Dans le silence de la nuit de la ville

Quand les solitaires regardent le ciel avec envie

Moi, au repos, je repose en paix à côté de toi

J'ai cherché mille cieux avant que tu viennes

Et le matin, quand le monde est nouveau

Le solitaire se détourne, alors que je me tourne vers toi, à côté de moi

Et dans le calme de l'après-midi, quand les solitaires errent

Je tourne à côté et tu es toujours avec moi

J'ai parcouru des milliers de kilomètres avant que tu n'arrives