Unsubscribe - Jam Baxter, Kate Tempest

You left your face in the crotch of a bad night

Your morals are a flea-bitten rug on the floor and these people are lads mags

Speaking cliches in their glad rags holding back the flood, sandbags

It used to be alright round here, said Grandad

But now he’s staggering around and he’s looking for a Poundland

And all he found was ‘exposed' beans and no ketchup

Sriracha and eggs for twelve-fifty, etcetera

Bargaining with hardening arteries the marketing barks at us

It’s hard to trust anything asked of us

Gambling with nothing but a handful of temazepam

And strangling a mannequin for minutes before managing to extricate yourself

And back to business, back to dangling the carrot on the stick

Your teeth are rattling like tambourines

It’s an intravenous ambushing Adidas with the candlestick

Ripped between her fingers for the kiddies that believed it

Man, these imbeciles are leaders

And they’re quick to spread diseases when they interface and every other Beavis

on the internet is eager to be visible

Even in the middle of another metaphysical discovery, it’s pitiful performances

Slapstick, jack-of-all-trades and opinionated Autobots, an awful lot to say

Hmm

It’s so real when you skin yourself alive

Unsubscribe

And all your friends say: «Skin yourself alive!»

Unsubscribe

The receding hairline left the face tats hanging on his forehead on crags of

his skin shrouded in fog

Between the red wrinkles read, «LOVE, SEX, DEATH» in a child’s font

He stirred and murmured out to my squad…

His ghouls found him a job mopping the floors with his enormous absorbent eyes

Clogged with Insta models in shorts flogging the corpse of the rave with

daddy’s walking stick

Stop hogging the aux, man…

So here’s to the rabid dog on the porch, drooling at obese little piglets

popping their corks

That shoot for the city streets where children rob them for sport

Shoving in wet cement into every bottomless thought

We’ll line our arteries with all of you one day

Specks of fat splatter the skinny little alleyways round here

No one answers your ringing eardrums

Eye sockets set to vibrate…

So bell the delivery drug man for the third time and transform from starlet to

addict in the swing of a car door

Melted skin slop on the passenger seat fizzes and pops

We found God on the corner at half-four…

I thought you were hardcore in your barbed wire running shoes

Now you leave a telltale trail of blood and booze every time your muscles move

Skin rifles through a hundred hues and settles on swamp green, eternally

fitting…

And they became the insects drowning in their craft beers that barely crawled

out of the sum of her last year alive

Unsubscribe

And all your friends say: «Skin yourself alive!»

Unsubscribe

Tu as laissé ton visage dans l'entrejambe d'une mauvaise nuit

Votre moralité est un tapis piqué par les puces sur le sol et ces gens sont des gars des magazines

Disant des clichés dans leurs haillons heureux retenant l'inondation, des sacs de sable

Avant, c'était bien par ici, dit grand-père

Mais maintenant il chancelle et il cherche un Poundland

Et tout ce qu'il a trouvé, c'était des haricots « exposés » et pas de ketchup

Sriracha et œufs pour 12h50, etc.

Négocier avec des artères durcies, le marketing nous aboie

Il est difficile de faire confiance à tout ce qu'on nous demande

Jouer avec rien d'autre qu'une poignée de témazépam

Et étrangler un mannequin pendant des minutes avant de réussir à s'en sortir

Et revenons aux affaires, revenons à balancer la carotte sur le bâton

Tes dents claquent comme des tambourins

C'est une embuscade intraveineuse d'Adidas avec le chandelier

Déchiré entre ses doigts pour les enfants qui y croyaient

Mec, ces imbéciles sont des meneurs

Et ils propagent rapidement des maladies lorsqu'ils interagissent avec tous les autres Beavis

sur Internet est impatient d'être visible

Même au milieu d'une autre découverte métaphysique, ce sont des performances pitoyables

Slapstick, touche-à-tout et Autobots opiniâtres, beaucoup de choses à dire

Hmm

C'est tellement réel quand tu t'écorches vif

Se désabonner

Et tous vos amis vous disent : « Écorchez-vous vif ! »

Se désabonner

Le front dégarni a laissé les tatouages ​​​​du visage accrochés à son front sur des rochers

sa peau enveloppée de brouillard

Entre les rides rouges, lire "LOVE, SEX, DEATH" dans une police d'enfant

Il s'est agité et a murmuré à mon équipe…

Ses goules lui ont trouvé un travail en nettoyant les sols avec ses énormes yeux absorbants

Bouché avec des modèles Insta en short flagellant le cadavre de la rave avec

la canne de papa

Arrête de monopoliser les auxiliaires, mec…

Alors voici le chien enragé sur le porche, qui bave devant les petits porcelets obèses

faire sauter leurs bouchons

Qui tirent pour les rues de la ville où les enfants les volent pour le sport

Poussant du ciment humide dans chaque pensée sans fond

Nous tapisserons nos artères avec vous tous un jour

Des grains de graisse éclaboussent les petites ruelles maigres d'ici

Personne ne répond à vos tympans qui bourdonnent

Oreilles réglées pour vibrer…

Alors sonnez le livreur de drogue pour la troisième fois et transformez-vous de starlette en

toxicomane dans le balancement d'une portière de voiture

La peau fondue sur le siège du passager pétille et saute

Nous avons trouvé Dieu au coin à quatre heures et demie…

Je pensais que tu étais hardcore dans tes chaussures de course en fil de fer barbelé

Maintenant, vous laissez une traînée révélatrice de sang et d'alcool à chaque fois que vos muscles bougent

La peau traverse une centaine de teintes et s'installe sur le vert des marais, éternellement

raccord…

Et ils sont devenus des insectes se noyant dans leurs bières artisanales qui rampaient à peine

de la somme de sa dernière année en vie

Se désabonner

Et tous vos amis vous disent : « Écorchez-vous vif ! »

Se désabonner