Leash - Jam Baxter

Forty four flies on leashes and you wonder why they act this way

With a collar wrapped tight round their necks pulling down

Left one sole choice for a landing bay

The flies on your face ain’t leaving

Have an outstanding day with forty four knots in your hair

Fly swatting with the retarded fat cats catching prey

Forty four flies on leashes, you wonder why they chat this way

When the leather’s wrapped tight round their necks chained down

Trying to use your face as a landing bay

The flies in your mouth aren’t moving

Have an outstanding stay with forty four pests in the air

Fly swatting like a tangled arachnid catching prey

I am no Mister Miyage on a chopstick hype with a bowl full of insects

I am not a part of your hotbed of rulebooks burn to a mountain of smouldering

incest

I’m not equipped to pick wings off you lot and smear your remains on the walls

Like blood red warnings staining the halls of the paper mache cage made for you

all

Nah, are you buzzing?

Dumb question

Rhetorical in part yet relevant

To your six bruk legs and your saucepan of gumed up nights stewed down to the

sediment

Scraped up sculpted and sold as a human

Second hand skin still delicate

Bought from an alleyway salesman the layrs peeled off to reveal a disgusting

development

Damn who laid these eggs in my eyes again?

If I boil them alive would you die for them?

Your machinery can’t turn flies to men

Best kill them on arrival then

I’ll be a drugged out mess when the cycle ends

Let these eyeballs wrinkle and crack

Till I wake one morn shrunk down on the ceiling

To find four cellophane wings on my back

The skies kept flies on leashes, and they wonder why we act this way

With a collar wrapped tight round our necks pulling down

Left one dead town for a landing bay

The flies at the gates ain’t leaving

Have an outstanding day with the beggars and the drunks in a dumb

Fly swatting like a retarded fat cat catching prey

The skies kept flies on leashes, you wonder why they chat this way

When the leather’s wrapped tight round their necks chained down

Trying to use this city as a landing bay

The flies on the ground ain’t moving

Have an outstanding stay with the mentally marred in a yard

Fly swatting with the drunken arachnids catching prey

I will not move when the sky pukes dark clouds billowing across false borders

I will not morph to a tin man sobing on a hand me down sket when the gods get

nauseous

I will not feed this obese gang of pigs with a singular slice of myself

When my face thaws out and the icicles melt

And the pavements finally felt the uncomfortable tickle of an insect dancing

Across a dark street

With the inbreds marching

SLAP!

That’s another one

Pin him to the frame with the other ones

Ain’t that charming

Wahgwan starlets, gas fuelled bastards, picket sign punch bags, hand made

martyrs

How’s that revolution of yours moving?

Limp fish swing for the steel pinatas

'Fly my pretties!'

setting up camp in the rolls of fat

In the belly of the city with a bowl of smack

Like a sundried prune with a soul attached

Fall prey to an infants thumb

Brain swelling in elastic skin

Till I wake one morn fully formed eyes golden

And let them all buzz till the fat bitch sings

I can sort of sense it all sweetening in hind sight

Regurgitated sugar faded pictures of the high life

I told 'em peace peace slipped the razor out and sliced twice

Slash the leash leash I told them live fast and fly right

Yeah, I told them live fast and fly right

Yeah, I told them live fast and fly right

I told them live fast and fly right

Slash the leash leash I told them live fast and fly right

Quarante-quatre mouches en laisse et vous vous demandez pourquoi elles agissent de cette façon

Avec un collier enroulé autour de leur cou, tirant vers le bas

A laissé un seul choix pour une baie d'atterrissage

Les mouches sur ton visage ne partent pas

Passez une journée exceptionnelle avec quarante-quatre nœuds dans vos cheveux

Écrasement de mouches avec les gros chats retardés qui attrapent des proies

Quarante quatre mouches en laisse, tu te demandes pourquoi elles discutent comme ça

Quand le cuir est serré autour de leurs cous enchaînés

Essayer d'utiliser votre visage comme une baie d'atterrissage

Les mouches dans votre bouche ne bougent pas

Passez un séjour exceptionnel avec quarante-quatre parasites dans l'air

Battant des mouches comme un arachnide emmêlé attrapant une proie

Je ne suis pas Mister Miyage sur un battage médiatique avec un bol plein d'insectes

Je ne fait pas partie de votre foyer de livres de règles brûlés à une montagne de couvant

inceste

Je ne suis pas équipé pour vous arracher des ailes et enduire vos restes sur les murs

Comme des avertissements rouge sang tachant les couloirs de la cage en papier mâché faite pour toi

tout

Nan, tu bourdonnes ?

Question stupide

En partie rhétorique mais pertinent

À vos six cuisses bruk et à votre casserole de nuits gommées mijotées jusqu'au

sédiment

Gratté sculpté et vendu comme un humain

Peau de seconde main toujours délicate

Acheté à un vendeur de ruelle, les couches se sont décollées pour révéler un dégoûtant

développement

Putain qui a encore pondu ces œufs dans mes yeux ?

Si je les fais bouillir vivants, mourrez-vous pour eux ?

Vos machines ne peuvent pas transformer les mouches en hommes

Mieux vaut les tuer à l'arrivée alors

Je serai un gâchis drogué à la fin du cycle

Laisse ces globes oculaires se froisser et se fissurer

Jusqu'à ce que je me réveille un matin rétréci au plafond

Pour trouver quatre ailes de cellophane sur mon dos

Le ciel a gardé les mouches en laisse, et ils se demandent pourquoi nous agissons de cette façon

Avec un collier enroulé autour de nos cous tirant vers le bas

A laissé une ville morte pour une baie d'atterrissage

Les mouches aux portes ne partent pas

Passez une journée exceptionnelle avec les mendiants et les ivrognes dans un muet

Écraser les mouches comme un gros chat attrapant une proie

Le ciel a gardé les mouches en laisse, tu te demandes pourquoi ils discutent de cette façon

Quand le cuir est serré autour de leurs cous enchaînés

Essayer d'utiliser cette ville comme baie d'atterrissage

Les mouches au sol ne bougent pas

Passez un séjour exceptionnel avec les malades mentaux dans une cour

Fly swatting avec les arachnides ivres attrapant des proies

Je ne bougerai pas quand le ciel vomit des nuages ​​​​sombres gonflant à travers de fausses frontières

Je ne me transformerai pas en un homme de fer-blanc sanglotant sur un sketch à la main quand les dieux obtiendront

nauséeux

Je ne nourrirai pas cette bande de porcs obèses avec une seule tranche de moi-même

Quand mon visage dégèle et que les glaçons fondent

Et les trottoirs ont finalement ressenti le chatouillement inconfortable d'un insecte dansant

De l'autre côté d'une rue sombre

Avec les consanguins marchant

GIFLER!

C'en est une autre

Épinglez-le au cadre avec les autres

N'est-ce pas charmant

Starlettes Wahgwan, bâtards au gaz, sacs de frappe pour panneaux de piquetage, faits à la main

martyrs

Comment évolue votre révolution ?

Balançoire à poisson molle pour les pinatas en acier

"Volez mes jolies !"

installer un camp dans les rouleaux de graisse

Dans le ventre de la ville avec un bol de smack

Comme un pruneau séché avec une âme attachée

Être la proie du pouce d'un bébé

Gonflement cérébral dans la peau élastique

Jusqu'à ce que je me réveille un matin, les yeux entièrement formés dorés

Et laissez-les tous bourdonner jusqu'à ce que la grosse salope chante

Je peux en quelque sorte sentir tout cela s'adoucir dans la vue arrière

Le sucre régurgité a fané les images de la grande vie

Je leur ai dit la paix la paix a sorti le rasoir et l'a tranché deux fois

Je leur ai dit de vivre vite et de voler à droite

Ouais, je leur ai dit de vivre vite et de voler à droite

Ouais, je leur ai dit de vivre vite et de voler à droite

Je leur ai dit de vivre vite et de voler à droite

Je leur ai dit de vivre vite et de voler à droite