I Who Have Nothing - Jedi Mind Tricks

Intersections in real time

The unbroken circle and dimensions of the mind

The tie that binds

The eternal tie that defines

The vanity of my insanity in due time

Will shine

Like the night seas under the moon

The haunted corners of familiar rooms

Yet I’m consumed

We’re vanishing into thin air

The realization that this shit is my cross to bear

So where

Did I think I could run away to see

The people that decided to leave without asking me

But we

Decide to wait for happier tomorrows

And find someone so they can be distractions from our sorrow

But my distractions the books of paper that I scrawl in

I’m eloquent as summer breeze and leaves that have just fallen

I’ve crawled in a corner hoping all of this will end

With the knowledge that love is just another word for revenge

I who have nothing but the comfort of my sins

I who have nothing but the comfort of my friends

I, I who have nothing

I, I who have no one

I, I who have nothing

I, I who have no one

As I decay, demons prey above me like a vulture

Ability to endure contradiction is a high sign of culture

Verbal sculptures, self defacing

It is not God or lunacy that I am facing

But the erasing of the purity and passion of my words

The herds of cattle babble on with talk of the absurd

But I preferred

To walk away from all the feuds

To find my life is more confusing than a rubic’s cube

So I’m subdued

In all my words of verbal prods

To live alone one must be an animal or a God

But it’s official

All of my pain is clear as crystal

The natural side of life has now been seeming artificial

But I can hit you

And rest assured that I’mma last words

I could give a fuck about ya secrets and ya past words

I can pass words and their ability to hurt you

Patience is a virtue and knowledge is of commercial

I who have nothing but the pain that I refer to

I who have nothing but the pain that I’ve refered to

Lost among the miracles, I stand alone

And I’ve grown into a being that’s sitting on top a throne

I’ve known

For many years that I would turn to rust

I find a reason for another breath

Before my return to dust

I become one with science and mathematics and the rising of the sun

I’m numb

To all of those who blind and cannot see

The chastiser of the enemy

Perception requires duality

Inspect ya soul, the color of coal inside the body

I have hardly come across them who’s holy

Send them to the cherubim to control thee

Burning of the sun and frigidness of the cold

The battlefield is new but the war is now old

You can never see the merest shadow of a halo

Above the head of evil djin who’s deadly like tornado

The world has become an aquarium

Full of gaping fish with murderous smiles

I on the other hand stand on the outside looking in

Writing down murderous files

I who have nothing but the lack of variation

And I who have nothing but chains and suffocation

«There comes a time in every man’s life when he’s gotta handle shit up on his

own»

Intersections en temps réel

Le cercle ininterrompu et les dimensions de l'esprit

Le lien qui lie

Le lien éternel qui définit

La vanité de ma folie en temps voulu

Brillera

Comme les mers nocturnes sous la lune

Les recoins hantés des pièces familières

Pourtant je suis consommé

Nous disparaissons dans les airs

La réalisation que cette merde est ma croix à porter

Alors, où

Est-ce que je pensais pouvoir m'enfuir pour voir

Les gens qui ont décidé de partir sans me demander

Mais nous

Décidez d'attendre des lendemains plus heureux

Et trouver quelqu'un pour qu'il puisse être une distraction de notre chagrin

Mais mes distractions les livres de papier dans lesquels je griffonne

Je suis éloquent comme la brise d'été et les feuilles qui viennent de tomber

J'ai rampé dans un coin en espérant que tout cela se terminera

Sachant que l'amour n'est qu'un autre mot pour la vengeance

Moi qui n'ai rien d'autre que le confort de mes péchés

Moi qui n'ai que le confort de mes amis

Moi, moi qui n'ai rien

Moi, moi qui n'ai personne

Moi, moi qui n'ai rien

Moi, moi qui n'ai personne

Alors que je me décompose, les démons se nourrissent au-dessus de moi comme un vautour

La capacité à endurer la contradiction est un signe élevé de la culture

Sculptures verbales, auto-defacing

Ce n'est pas Dieu ou la folie à laquelle je suis confronté

Mais l'effacement de la pureté et de la passion de mes mots

Les troupeaux de bétail babillent en parlant de l'absurde

Mais j'ai préféré

Pour s'éloigner de toutes les querelles

Trouver ma vie est plus déroutant qu'un cube de rubrique

Alors je suis subjugué

Dans tous mes mots d'incitations verbales

Pour vivre seul, il faut être un animal ou un Dieu

Mais c'est officiel

Toute ma douleur est claire comme du cristal

Le côté naturel de la vie semble maintenant artificiel

Mais je peux te frapper

Et soyez assuré que je suis un dernier mot

Je me fous de tes secrets et de tes mots passés

Je peux passer des mots et leur capacité à te blesser

La patience est une vertu et la connaissance est commerciale

Moi qui n'ai rien d'autre que la douleur à laquelle je me réfère

Moi qui n'ai rien d'autre que la douleur à laquelle j'ai fait référence

Perdu parmi les miracles, je suis seul

Et je suis devenu un être assis sur un trône

J'ai su

Pendant de nombreuses années que je me tournerais vers la rouille

Je trouve une raison pour un autre souffle

Avant mon retour à la poussière

Je ne fais plus qu'un avec la science et les mathématiques et le lever du soleil

Je suis engourdie

À tous ceux qui sont aveugles et ne peuvent pas voir

Le châtiment de l'ennemi

La perception exige la dualité

Inspecte ton âme, la couleur du charbon à l'intérieur du corps

Je les ai à peine rencontrés qui sont saints

Envoie-les aux chérubins pour te contrôler

Brûlure du soleil et frigidité du froid

Le champ de bataille est nouveau mais la guerre est maintenant ancienne

Vous ne pouvez jamais voir la moindre ombre d'un halo

Au-dessus de la tête du djin maléfique qui est mortel comme une tornade

Le monde est devenu un aquarium

Plein de poissons béants avec des sourires meurtriers

D'un autre côté, je me tiens à l'extérieur et je regarde à l'intérieur

Écrire des dossiers meurtriers

Moi qui n'ai rien d'autre que le manque de variation

Et moi qui n'ai que chaînes et étouffement

"Il arrive un moment dans la vie de chaque homme où il doit gérer des conneries sur son

propres"