Third Week in the Chelsea - Jefferson Airplane

Sometimes I feel like i am leaving life behind

My hands are moving faster than the movement of my mind

Thoughts and generations of my dreams are yet unborn

I hope that I will find them 'fore my moving gets too worn

If only I could live to see the dawning of the dawn

So we go on moving trying to make this image real

Straining every nerve not knowing what we really feel

Straining every nerve ending and everybody sees

That what they read in the Rolling Stone has really come to be

And trying to avoid a taste of that reality

On an early New York mornin' a mirror in the hall

Showed to me a face I didn’t know at all

Lines were drawn around a pair of eyes that opened wide

When I looked into the mouth there was nothing left inside

So I walked into the little room and whistled like a sigh

As dawn light closed around me my head was still in gear

Thinking thoughts of playing more and singing loud and clear

Trying to reach a friend somewhere and make that person smile

Maybe pull myself away from that old lonesome mile

That often comes to haunt me in the morning

All my friends keep telling me that it would be a shame

To break up such a grand success and tear apart a name

But all I know is what I feel whenever I’m not playin'

Emptiness ain’t where it’s at and neither’s feeling pain

Well now what is going to happen now is anybody’s guess

If I can’t spend my time with love I guess I need a rest

Time is getting late now and the sun is getting low

My body’s getting tired of carryin' another’s load

And sunshine’s waiting for me a little further down the road

Parfois, j'ai l'impression de laisser la vie derrière moi

Mes mains bougent plus vite que le mouvement de mon esprit

Les pensées et les générations de mes rêves sont encore à naître

J'espère que je les trouverai avant que mon déménagement ne soit trop usé

Si seulement je pouvais vivre pour voir l'aube de l'aube

Alors nous continuons d'essayer de rendre cette image réelle

Tendre chaque nerf sans savoir ce que nous ressentons vraiment

Mettre à rude épreuve chaque terminaison nerveuse et tout le monde voit

Que ce qu'ils ont lu dans le Rolling Stone est vraiment devenu

Et essayer d'éviter d'avoir un goût de cette réalité

Un matin matinal à New York, un miroir dans le couloir

M'a montré un visage que je ne connaissais pas du tout

Des lignes ont été tracées autour d'une paire d'yeux qui s'ouvraient en grand

Quand j'ai regardé dans la bouche, il ne restait plus rien à l'intérieur

Alors je suis entré dans la petite pièce et j'ai sifflé comme un soupir

Alors que la lumière de l'aube se refermait autour de moi, ma tête était toujours en marche

Penser à jouer davantage et à chanter haut et fort

Essayer de joindre un ami quelque part et de le faire sourire

Peut-être m'éloigner de ce vieux kilomètre solitaire

Cela vient souvent me hanter le matin

Tous mes amis n'arrêtent pas de me dire que ce serait dommage

Briser un si grand succès et déchirer un nom

Mais tout ce que je sais, c'est ce que je ressens chaque fois que je ne joue pas

Le vide n'est pas là où il est et ni l'un ni l'autre ne ressent de douleur

Eh bien maintenant, ce qui va se passer maintenant est que tout le monde devine

Si je ne peux pas passer mon temps avec l'amour, je suppose que j'ai besoin de repos

Il se fait tard maintenant et le soleil se couche

Mon corps en a assez de porter le fardeau d'un autre

Et le soleil m'attend un peu plus loin sur la route