Simple Pleasures (narration) - Jimmy Buffett

Okay, this next song is really, really buried treasure

in digging up all these lost songs for you to hear

A couple of them were buried so deep that

even I couldn’t remember writing them, much less playing them

Until Milton gave me some clues

Once I heard this story, it did unlock my own buried treasure

locked away deep somewhere in that way back machine part of my brain

The unique thing about simple pleasures is

that it really features Rick Hirsch on a lead acoustic solo

It also is a song that got it’s

inspiration more from Fred Neil than Gordon Lightfoot

I’d been turned on to Fred Neil by Bob Cooke who included several

of his songs in his sets in the Bayou Room days

Candyman which became a Roy Orbison hit, Other side of this life,

A little bit of rain, The dolphins

Were all coffee house standards that came from his classic album

Bleeker and McDougall and from Bob’s repertoire to mine

Then in the Summer of '69, the movie Midnight Cowboy came out

and featured Harry Nielson’s version of Everbody’s Talkin'

That became a radio hit

As a solo performer and in every band I have played in since that time

Everybody’s Talking has been part of my go-to list

I met Fred in Coconut Grove in 1971 when I went down to play in Miami

for the first time and was living with

Jerry Jeff but that’s a whole other story,

Fred was a great inspiration and became a good friend

We fished and played gigs together at the Flick in Coral Gables

and on many dolphin project

benefits in Coconut Grove in the early 70's

I stayed in touch with him in my comings and goings from Key West

and God knows where

Until he kinda dropped out of sight just after the millenium

Sadly he passed away alone on Summerland Key

the list of Fred’s proteges is long and loaded with famous names

I’m simply proud to be one of the singers that spent time

in the shadow of his great style

So this little Simple Pleasure, goes out to Fred Neil

D'accord, cette chanson suivante est un trésor vraiment, vraiment enfoui

en déterrant toutes ces chansons perdues pour que vous entendiez

Quelques-uns d'entre eux ont été enterrés si profondément que

même moi, je ne me souvenais pas de les avoir écrits, encore moins de les avoir joués

Jusqu'à ce que Milton me donne des indices

Une fois que j'ai entendu cette histoire, elle a déverrouillé mon propre trésor enfoui

enfermé profondément quelque part dans cette partie du retour de la machine de mon cerveau

La particularité des plaisirs simples est

qu'il présente vraiment Rick Hirsch sur un solo acoustique principal

C'est aussi une chanson qui l'a obtenu

s'inspire plus de Fred Neil que de Gordon Lightfoot

J'avais été attiré par Fred Neil par Bob Cooke, qui comprenait plusieurs

de ses chansons dans ses sets à l'époque de Bayou Room

Candyman qui est devenu un hit de Roy Orbison, Other side of this life,

Un peu de pluie, Les dauphins

Étaient tous les standards des cafés issus de son album classique

Bleeker et McDougall et du répertoire de Bob au mien

Puis, à l'été 69, le film Midnight Cowboy est sorti

et a présenté la version d'Harry Nielson d'Everbody's Talkin'

C'est devenu un hit radio

En tant qu'interprète solo et dans tous les groupes dans lesquels j'ai joué depuis cette époque

Everybody’s Talking fait partie de ma liste de choix

J'ai rencontré Fred à Coconut Grove en 1971 lorsque je suis allé jouer à Miami

pour la première fois et vivait avec

Jerry Jeff mais c'est une toute autre histoire,

Fred a été une grande inspiration et est devenu un bon ami

Nous avons pêché et joué ensemble au Flick de Coral Gables

et sur de nombreux projets de dauphins

bénéfices à Coconut Grove au début des années 70

Je suis resté en contact avec lui dans mes allées et venues de Key West

et Dieu sait où

Jusqu'à ce qu'il tombe un peu hors de vue juste après le millénaire

Malheureusement, il est décédé seul à Summerland Key

la liste des protégés de Fred est longue et remplie de noms célèbres

Je suis simplement fier d'être l'un des chanteurs qui ont passé du temps

à l'ombre de son grand style

Alors ce petit plaisir simple, va à Fred Neil