Voici les paroles de la chanson : A Rosinha Dos Limões , artiste : Kátia Guerreiro Avec traduction
Texte original avec traduction
Kátia Guerreiro
Quando ela passa, franzina e cheia de graça,
Há sempre um ar de chalaça, no seu olhar feiticeiro.
Lá vai catita, cada dia mais bonita,
E o seu vestido, de chita, tem sempre um ar domingueiro.
Passa ligeira, alegre e namoradeira,
E a sorrir, p’rá rua inteira, vai semeando ilusões.
Quando ela passa, vai vender limões à praça,
E até lhe chamam, por graça, a Rosinha dos limões.
Quando ela passa, junto da minha janela,
Meus olhos vão atrás dela até ver, da rua, o fim.
Com ar gaiato, ela caminha apressada,
Rindo por tudo e por nada, e às vezes sorri p’ra mim…
Quando ela passa, apregoando os limões,
A sós, com os meus botões, no vão da minha janela
Fico pensando, que qualquer dia, por graça,
Vou comprar limões à praça e depois, caso com ela!
When she passes by, her body petite and graceful,
There’s always a cheerful semblance in her enchanting eyes
And there she goes, pretty and more and more beautiful each day
And her dress in chinz grants her always an air of joy
She passes by, her steps hurried, her look merry and coquettish
She goes down the street, smiling at everyone, seeding her illusions along the
way
When she passes by, she’s heading to the square to seal lemons there
And people lovingly call her «Rosinha, the girl who sells lemons»
When she passes by outside my window
My eyes go following her all the way until the end of the street
With her air of a naughty child, she walks hurriedly
Smiling with ease and sometimes she smiles at me When she passes by, offering the lemons out loud
Alone with my thoghts, leaned to my window,
I think to myself that one of these days, as if it were nothing
I’ll go to the square, to buy some of her lemons
And then to ask her hand in marriage
Quand elle passe, svelte et pleine de grâce,
Il y a toujours un air moqueur dans son regard ensorcelé.
Voilà catita, plus belle chaque jour,
Et sa robe, faite de guépard, a toujours un air de dimanche.
Il passe léger, gai et coquet,
Et souriant, pour toute la rue, il sème des illusions.
Quand elle passe, elle va vendre des citrons sur la place,
Et ils l'appellent même, pour le plaisir, la Lime Rose.
Quand elle passe devant ma fenêtre,
Mes yeux la poursuivent jusqu'à ce que je voie, de la rue, la fin.
Avec arrogance, elle marche précipitamment,
Riant de tout et pour rien, et me souriant parfois...
Quand elle passe, vantant les citrons,
Seul, avec mes boutons, dans ma fenêtre
Je n'arrête pas de penser que n'importe quel jour, par grâce,
Je vais acheter des citrons sur la place et puis je l'épouserai !
Quand elle passe, son corps menu et gracieux,
Il y a toujours une apparence joyeuse dans ses yeux enchanteurs
Et la voilà, jolie et de plus en plus belle chaque jour
Et sa robe en chinz lui donne toujours un air de joie
Elle passe, ses pas pressés, son air joyeux et coquet
Elle descend la rue, souriant à tout le monde, semant ses illusions le long de la
chemin
Quand elle passe, elle se dirige vers la place pour y sceller des citrons
Et les gens l'appellent affectueusement «Rosinha, la fille qui vend des citrons»
Quand elle passe devant ma fenêtre
Mes yeux la suivent jusqu'au bout de la rue
Avec son air de vilaine enfant, elle marche d'un pas pressé
Souriant avec facilité et parfois elle me sourit Quand elle passe, offrant les citrons à haute voix
Seul avec mes pensées, accoudé à ma fenêtre,
Je me dis qu'un de ces jours, comme si de rien n'était
J'irai sur la place, acheter quelques-uns de ses citrons
Et puis demander sa main en mariage
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