Voici les paroles de la chanson : La Deriva Continental , artiste : La Habitacion Roja Avec traduction
Texte original avec traduction
La Habitacion Roja
París, primavera, relatos de Abril
Revistas que no hablan de mi
Perdí tu pañuelo sacre-coeur
Pregunté lo que no se ha de preguntar
Me revolvía de rabia al pensar
Que lo nuestro no podría durar
Me pellizcaba no eras real
Un sueño que me iba a marcar
Tu en la cama mirándote a un lado
Y yo pensando fugarme con otra
Tu queriendo abrazar a una almohada
Y yo que pinto ahora en esta cama
Es así, y no lo vimos venir
Las calles de Roma parecían morir
Cuando nos vieron discutir
Y toda la historia que nos contemplo
Se vino abajo como Nerón
No se vive tan solo de amor
Pero si que, se puede morir
Si me preguntas lo voy a negar
Pero no lo puedo soportar
Tu en la cama mirándote a un lado
Y yo pensando fugarme con otra
Tu queriendo abrazar a una almohada
Y yo que pinto ahora en esta cama
Es así, y no lo vimos venir
París, primavera, relatos de Abril
Revistas que no hablan de mi
Las calles de Roma parecían morir
Cuando nos vieron discutir
Culpa a Darwin es la evolución
Es la selección natural
La deriva continental
Acabo en deriva sentimental
Las escenas se van repitiendo
Pero lo hacen con nuevas canciones
Mejoradas mas sofisticadas
Y haces mas daño con menos palabras
Es así, y no lo vimos venir
París, primavera, relatos de Abril
Revistas que no hablan de mi
Las calles de Roma parecían morir
Cuando nos vieron discutir
París, primavera, relatos de Abril
Revistas que no hablan de mi
Las calles de Roma parecían morir
Cuando nos vieron discutir
Paris, printemps, histoires d'avril
Les magazines qui ne parlent pas de moi
J'ai perdu ton écharpe sacré-coeur
J'ai demandé ce qu'il ne fallait pas demander
Je bouillonnais de rage à la pensée
Que la nôtre ne pouvait pas durer
J'ai pincé tu n'étais pas réel
Un rêve qui allait me marquer
Toi au lit en te regardant de côté
Et je pense m'enfuir avec un autre
Tu veux étreindre un oreiller
Et moi qui peins maintenant dans ce lit
C'est ainsi, et nous ne l'avons pas vu venir
Les rues de Rome semblaient mourir
Quand ils nous ont vus nous disputer
Et toute l'histoire que nous contemplons
Il s'est effondré comme Néron
Tu ne vis pas que d'amour
Mais oui, tu peux mourir
Si vous me le demandez, je le nierai
Mais je ne peux pas le prendre
Toi au lit en te regardant de côté
Et je pense m'enfuir avec un autre
Tu veux étreindre un oreiller
Et moi qui peins maintenant dans ce lit
C'est ainsi, et nous ne l'avons pas vu venir
Paris, printemps, histoires d'avril
Les magazines qui ne parlent pas de moi
Les rues de Rome semblaient mourir
Quand ils nous ont vus nous disputer
Blâmer Darwin c'est l'évolution
C'est la sélection naturelle
la dérive des continents
Je me retrouve dans une dérive sentimentale
Les scènes se répètent
Mais ils le font avec de nouvelles chansons
Améliorations plus sophistiquées
Et tu fais plus de dégâts avec moins de mots
C'est ainsi, et nous ne l'avons pas vu venir
Paris, printemps, histoires d'avril
Les magazines qui ne parlent pas de moi
Les rues de Rome semblaient mourir
Quand ils nous ont vus nous disputer
Paris, printemps, histoires d'avril
Les magazines qui ne parlent pas de moi
Les rues de Rome semblaient mourir
Quand ils nous ont vus nous disputer
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