July Was Mundane - Lady Lamb

I miss the pungent sweetness of that firewood

July was poignant and dripping, July was mundane

Dipping my fingers off a lazy rowboat on the lake

Your birthday girl someplace upstate

Back when I was sure I was a misanthrope

Blaming my displeasures on the strangers laughing loudly in the woods

She walked to the water to watch the fireworks

But I wouldn’t give myself the view, I stayed in bed listening to them

Crack and bloom

I miss the pungent sweetness of that Woodford’s reserve

July was poignant and dripping, July was mundane

Licking my fingers to get all of the icing from the cake

Your birthday girl some place in Maine

Back when I was sure I could win her over with my words

Holding the Portland sun above her in the summer storm

I mostly made her up and fell in love with the construct

And she could eventually tell so she wished me well

And as I gathered up my clothes, another storm began to close

And crack and bloom

Even inside my hands, it hurts to claim the confused, wounded little animal

I’ve been

Baby, I’m devastated for all my trying to change you, trying to make you

The same sorry little animal I’ve been

It’s a feat to forgive me

Am I meant to understand my own head

As I take it from my neck and I begin to deflate it?

Am I meant to understand my own heart

As it sings my praises all day long and I evade it?

Am I meant to understand my own body

As I go out walking in an attempt to escape it?

Am I meant to understand my own soul

As I envy it floating high above me?

And I wonder who will tend my own love if not me?

If I grow it in the lilies just to ditch it in the weeds

And I wonder who would save my own world if not me?

In my morning when I bring it into being

And I wonder who would save my own world if not me?

La douceur piquante de ce bois de chauffage me manque

Juillet était poignant et dégoulinant, juillet était banal

Tremper mes doigts sur une chaloupe paresseuse sur le lac

Votre fille d'anniversaire quelque part dans le nord de l'état

À l'époque où j'étais sûr d'être un misanthrope

Blâmer mes mécontentements sur les étrangers qui rient bruyamment dans les bois

Elle a marché jusqu'à l'eau pour regarder les feux d'artifice

Mais je ne me donnerais pas la vue, je suis resté au lit à les écouter

Craquer et fleurir

La douceur piquante de cette réserve de Woodford me manque

Juillet était poignant et dégoulinant, juillet était banal

Lécher mes doigts pour obtenir toute la cerise sur le gâteau

Votre fille d'anniversaire quelque part dans le Maine

À l'époque où j'étais sûr de pouvoir la gagner avec mes mots

Tenant le soleil de Portland au-dessus d'elle dans la tempête d'été

Je l'ai principalement inventée et je suis tombé amoureux de la construction

Et elle pourrait éventuellement le dire alors elle m'a souhaité bonne chance

Et alors que je rassemblais mes vêtements, une autre tempête a commencé à se fermer

Et craquer et fleurir

Même dans mes mains, ça fait mal de réclamer le petit animal confus et blessé

J'ai été

Bébé, je suis dévasté pour tout ce que j'essaie de te changer, d'essayer de te faire

Le même petit animal désolé que j'ai été

C'est un exploit de me pardonner

Suis-je censé comprendre ma propre tête

Alors que je le prends par le cou et que je commence à le dégonfler ?

Suis-je censé comprendre mon propre cœur

Alors qu'il chante mes louanges toute la journée et que je l'évite ?

Suis-je censé comprendre mon propre corps ?

Alors que je sors en marchant pour tenter d'y échapper ?

Suis-je censé comprendre ma propre âme

Alors que je l'envie de flotter au-dessus de moi ?

Et je me demande qui s'occupera de mon propre amour si ce n'est pas moi ?

Si je le fais pousser dans les lys juste pour le jeter dans les mauvaises herbes

Et je me demande qui sauverait mon propre monde si ce n'est pas moi ?

Le matin quand je le fais naître

Et je me demande qui sauverait mon propre monde si ce n'est pas moi ?