Language Of Violence - The Disposable Heroes Of Hiphoprisy

The first day of school was always the hardest

The first day of school, the hallways the darkest

Like a gauntlet

the voices haunted

Walking in with his thin skin, lowered chin

He knew the names that they would taunt him with

Faggot, sissy, punk, queen, queer

Although he’d never had sex in his 15 years

And when they harassed him it was for a reason

And when they provoked him it became open season

for the fox and the hunter, the sparks and the thunder

that pushed the boy under, then pillage and plunder

It kind of makes you wonder

how one can hurt another

But dehumanizing the victim makes things simpler

It’s like breathing with a respirator

It eases the conscience of even the most conscious

and calculating violator

Words can reduce a person to an object,

something more easy to hate

An inanimate entity, completely disposable,

no problem to obliterate

But death is the silence

in this language of violence

Death is the silence

But death is the silence

in this cycle of violence

death is the silence

It’s tough to be young, the young long to be tougher

When we pick on someone else it might make us feel rougher

Abused by their fathers but was at home though

so to prove to each other that they were not homos

The exclamation of the phobic fury

executioner, a judge and jury

The mob mentality, individuality was nowhere

Dignity forgotten at the bottom of a dumb old dare and a numb cold

stare

On the way home it was back to name calling

Ten against one they had his back up against the wall and

they reveled in their laughter as they surrounded him

But it wasn’t a game when they up jumped and grounded him

They picked up their bats with their muscles straining

and they decided they were gonna beat this fella’s brain in with an awful, powerful, showerful, an hour full of violence

Inflict the strictest brutality and dominance

They didn’t hear him screaming, they didn’t hear him pleading

They ran like cowards and left the boy bleeding

in a pool of red 'til all tears were shed

and his eyes quietly slid into the back of his head

dead…

You won’t see the face 'til the eyelids drop

You won’t hear the screaming until it stops

The boy’s parents were gone and his grandmother had raised him

She was mad she had no form of retaliation

The pack didn’t have to worry about being on a hitlist

But the thing they never thought about was that there was a witness

to this senseless crime, right place wrong time

Tried as an adult one of them was gonna do hard time

The first day of prison was always the hardest

The first day of prison, the hallways the darkest

Like a gauntlet

the voices haunted

Faggot, sissy, punk, queen, queer

Words he used before had a new meaning in here

As a group of men in front of him came near

for the first time in his life the young bully felt fear

He’d never been on this side of the name calling

Five against one they had his back up against the wall and

he had never questioned his own sexuality

but this group of men didn’t hesitate in their reality

with an awful, powerful, showerful, an hour full of violence

Inflict the strictest brutality and dominance

They didn’t hear him screaming

They didn’t hear him pleading

They took what they wanted and then left him bleeding in the corner

The giant reduced to jack horner

But dehumanizing the victim makes things simpler

It’s like breathing with a respirator

It eases the conscience of even the most conscious

and calculating violator

The power of words, don’t take it for granted

when you hear a man ranting

Don’t just read the lips, be more sublime than this

Put everything in context, is this a tale of rough justice

in a land where there’s no justice at all?

Who is really the victim?

Or are we all the cause, and victim of it all?

You won’t see the face 'til the eyelids drop

You won’t hear the screaming until it stops

Le premier jour d'école a toujours été le plus difficile

Le premier jour d'école, les couloirs les plus sombres

Comme un gant

les voix hantées

Marcher avec sa peau fine, le menton baissé

Il connaissait les noms avec lesquels ils le nargueraient

Faggot, poule mouillée, punk, reine, queer

Bien qu'il n'ait jamais eu de relations sexuelles au cours de ses 15 ans

Et quand ils l'ont harcelé, c'était pour une raison

Et quand ils l'ont provoqué, c'est devenu la saison ouverte

pour le renard et le chasseur, les étincelles et le tonnerre

qui a poussé le garçon sous, puis piller et piller

Cela vous fait en quelque sorte vous demander

comment on peut blesser l'autre

Mais déshumaniser la victime simplifie les choses

C'est comme respirer avec un respirateur

Cela soulage la conscience même des plus conscients

et calcul du contrevenant

Les mots peuvent réduire une personne à un objet,

quelque chose de plus facile à détester

Une entité inanimée, entièrement jetable,

aucun problème pour effacer

Mais la mort est le silence

dans ce langage de la violence

La mort est le silence

Mais la mort est le silence

dans ce cycle de violence

la mort est le silence

C'est dur d'être jeune, les jeunes veulent être plus durs

Lorsque nous nous en prenons à quelqu'un d'autre, cela peut nous rendre plus durs

Abusé par leurs pères mais était à la maison cependant

pour se prouver qu'ils n'étaient pas homos

L'exclamation de la fureur phobique

bourreau, juge et jury

La mentalité de foule, l'individualité n'était nulle part

La dignité oubliée au fond d'un vieux défi stupide et d'un froid engourdi

regard

Sur le chemin du retour, c'est revenu aux injures

Dix contre un, ils avaient le dos contre le mur et

ils se délectaient de leur rire alors qu'ils l'entouraient

Mais ce n'était pas un jeu quand ils ont sauté et l'ont cloué au sol

Ils ont ramassé leurs chauves-souris avec leurs muscles tendus

et ils ont décidé qu'ils allaient battre le cerveau de ce type avec une horrible, puissante, averse, une heure pleine de violence

Infliger la brutalité et la domination les plus strictes

Ils ne l'ont pas entendu crier, ils ne l'ont pas entendu supplier

Ils ont couru comme des lâches et ont laissé le garçon saigner

dans une mare de rouge jusqu'à ce que toutes les larmes soient versées

et ses yeux glissèrent doucement vers l'arrière de sa tête

morte…

Tu ne verras pas le visage jusqu'à ce que les paupières tombent

Vous n'entendrez pas les cris tant qu'ils ne s'arrêteront pas

Les parents du garçon étaient partis et sa grand-mère l'avait élevé

Elle était en colère, elle n'avait aucune forme de représailles

Le pack n'a pas eu à s'inquiéter d'être sur une liste de résultats

Mais la chose à laquelle ils n'ont jamais pensé, c'est qu'il y avait un témoin

à ce crime insensé, au bon endroit au mauvais moment

Essayé en tant qu'adulte, l'un d'eux allait faire du mal

Le premier jour de prison a toujours été le plus difficile

Le premier jour de prison, les couloirs les plus sombres

Comme un gant

les voix hantées

Faggot, poule mouillée, punk, reine, queer

Les mots qu'il utilisait auparavant avaient un nouveau sens ici

Alors qu'un groupe d'hommes devant lui s'approchait

pour la première fois de sa vie, le jeune intimidateur a eu peur

Il n'avait jamais été de ce côté de l'injure

Cinq contre un, ils avaient le dos contre le mur et

il n'avait jamais remis en question sa propre sexualité

mais ce groupe d'hommes n'a pas hésité dans sa réalité

avec une horrible, puissante, averse, une heure pleine de violence

Infliger la brutalité et la domination les plus strictes

Ils ne l'ont pas entendu crier

Ils ne l'ont pas entendu plaider

Ils ont pris ce qu'ils voulaient et l'ont laissé saigner dans le coin

Le géant réduit à Jack Horner

Mais déshumaniser la victime simplifie les choses

C'est comme respirer avec un respirateur

Cela soulage la conscience même des plus conscients

et calcul du contrevenant

Le pouvoir des mots, ne le prenez pas pour acquis

quand tu entends un homme fulminer

Ne te contente pas de lire sur les lèvres, sois plus sublime que ça

Mettez tout dans son contexte, est-ce une histoire de justice brutale

dans un pays où il n'y a pas de justice du tout ?

Qui est vraiment la victime ?

Ou sommes-nous tous la cause et la victime de tout ?

Tu ne verras pas le visage jusqu'à ce que les paupières tombent

Vous n'entendrez pas les cris tant qu'ils ne s'arrêteront pas