Лодка - Легенды Про
С переводом

Лодка - Легенды Про

  • Альбом: Две стороны одной медали (Светлая сторона)

  • Année de sortie: 2012
  • Langue: russe
  • Durée: 4:10

Voici les paroles de la chanson : Лодка , artiste : Легенды Про Avec traduction

Paroles : Лодка "

Texte original avec traduction

Лодка

Легенды Про

Оригинальный текст

Похоже этот хип-хап не моложе луны, но камни в нем в сто раз тверже Берлинской

стены.

И если прожитые годы умножить на дни, быть может, ты тогда поймешь о чем его

сны,

О чем его грезы, в мире под угрозой, навозно-розовый закат коррозии над прозой

Навис как розга над спиной мальца без мозга, порой плачут даже камни,

но мы не видим их слезы,

Но вы не видим, как и не видит лидер в миде, просвета ни на мизер,

им несут нас в виде мидий.

Сами выбирали, гФ*мор, либер или демор, киборг или демон, кем бы ни был,

лишь бы не п**ер.

Ну, да, безразличие — третья беда, после вторника, токсичная придет среда

Вокруг бардак, но хип-хап нас направить сумел, мы будем делать это дальше в

противовес тьме.

Разные, но мы все детали одного механизма, до берега еще не близко,

Микрофон — как трехлистник, похоже, этот хип-хап со мной еще с прошлой жизни.

Что завтра останется, если сегодня беспутство до беспамятства.

В глазах наших, как смотреть в глаза старшим?

И кто мы есть в глазах младших.

Опять гребем, что есть мочи и нам кричат, что как бы мы не пытались

У судьбы не поменять почерк, но лучше в один миг сгореть, чем гнить годами.

Черные мысли, как черная шапка, в них так тесно, в них так жарко.

Они манят в чертоги тьмы, но наш хип-хап нас не оставит одних.

Всего шестнадцать строк, чтобы сказать о самом главном, это достаточно того,

чтобы казалось мало,

Но этого так много, что б нам показать, что мы не можем написать, их,

даже самых простых.

И может выход не находим среди темных зданий, лишь потому что бродим за тем,

кто в два раза бездарней.

Нас самих выставляют на смех нам самим и мы, не зная что делать,

смеемся вместе с ним.

Толпы тонут в грязи, в ожидании дождя, нам проще верить в Бога, чем доверяться

вождям.

Глаза валюты наблюдают за миром элиты, нам не дают понять, кто строил эти

пирамиды.

Среди этих лабиринтов тьмы, и подземных ходов, там, где не цветут сады и нет

чьих-то следов.

Если я останусь один, и не будет огня, мой хип-хоп как проводник на свет

выведет меня.

Где-то по дороге в рай, затерявшись во мгле, ведь мы все так хотим успеть

пожить на земле.

Дети красной империи, которой больше нет, где у страны не было бога,

зато был Бог у людей.

Год или день, ночь или тень, тебе или мне, сколько нужно потерь для достижения

своих затей,

И почему мы бежим туда, откуда ушли, там где инопланетный дым.

Там где,

все пламя сожгли.

Сначала бред в головах, потом приходит утопия, потом крах ее, и толпы

недовольных

Слепых щенят, но они просто жить и есть хотят и пусть там ад, но зато есть еда

да вода,

И потоп ли беда для детей Вавилона или новый покорный слуга кровавого тона

Наше судно не утонет, нет, не сгинет во тьме, ведь мы видим свет солнца даже на

дне.

Перевод песни

On dirait que ce hip-hop n'est pas plus jeune que la lune, mais les pierres qu'il contient sont cent fois plus dures que Berlin

des murs.

Et si vous multipliez les années que vous avez vécues par des jours, alors vous comprendrez peut-être de quoi il parle.

rêves,

De quoi rêve-t-il, dans un monde menacé, un coucher de soleil rose poussier de corrosion sur la prose

Suspendu comme une tige sur le dos d'un gamin sans cervelle, parfois même des pierres pleurent,

mais nous ne voyons pas leurs larmes,

Mais vous ne voyez pas, tout comme le chef ne voit pas au milieu, pas une seule lacune,

ils nous transportent sous forme de moules.

Ils ont eux-mêmes choisi, gf*more, liber ou demo, cyborg ou demon, qui que ce soit,

juste pas f ** k.

Eh bien, oui, l'indifférence est le troisième problème, après mardi, le mercredi toxique viendra

Il y a un bordel, mais le hip-hap a réussi à nous diriger, on le fera plus loin dans

opposition aux ténèbres.

Différent, mais nous faisons tous partie d'un même mécanisme, le rivage n'est pas encore proche,

Le micro est comme un trèfle, on dirait que ce hip-hap m'accompagne depuis une vie antérieure.

Que restera-t-il demain si aujourd'hui c'est la débauche jusqu'à l'inconscience.

A nos yeux, comment regarder dans les yeux des anciens ?

Et qui nous sommes aux yeux des plus jeunes.

Encore une fois, nous ramons de toutes nos forces et ils nous crient que peu importe comment nous essayons

Le destin ne change pas son style, mais il vaut mieux s'épuiser en un instant que pourrir pendant des années.

Les pensées noires sont comme un chapeau noir, elles sont si encombrées, elles sont si chaudes.

Ils invitent aux couloirs des ténèbres, mais notre hip-hop ne nous laissera pas seuls.

Seulement seize lignes à dire sur le plus important, ça suffit

paraître petit

Mais il y a tellement de choses à nous montrer que nous ne pouvons pas les écrire,

même les plus simples.

Et peut-être que nous ne trouvons pas d'issue parmi les bâtiments sombres, simplement parce que nous errons après

qui est deux fois moins talentueux.

Nous-mêmes sommes exposés au ridicule par nous-mêmes et nous, ne sachant que faire,

rire avec lui.

Les foules se noient dans la boue, attendant la pluie, c'est plus facile pour nous de croire en Dieu que de faire confiance

dirigeants.

Les yeux de la monnaie regardent le monde de l'élite, nous n'avons pas le droit de comprendre qui a construit ces

pyramides.

Parmi ces labyrinthes de ténèbres et de passages souterrains, où les jardins ne fleurissent pas et où il n'y a pas

les empreintes de quelqu'un.

Si je reste seul et qu'il n'y a pas de feu, mon hip-hop est comme un guide vers la lumière

va me sortir.

Quelque part sur la route du paradis, perdu dans la brume, car nous voulons tous être à l'heure

vivre sur terre.

Enfants de l'empire rouge, qui n'existe plus, où le pays n'avait pas de dieu,

mais il y avait Dieu parmi le peuple.

Année ou jour, nuit ou ombre, toi ou moi, combien de perte faut-il pour atteindre

leurs propres idées,

Et pourquoi courons-nous là où nous sommes partis, là où il y a de la fumée extraterrestre.

Où,

toutes les flammes se sont éteintes.

D'abord le délire dans les esprits, puis vient l'utopie, puis son effondrement, et la foule

mécontent

Des chiots aveugles, mais ils veulent juste vivre et manger, et que l'enfer soit là, mais il y a de la nourriture

oui de l'eau,

Et si le déluge est un désastre pour les enfants de Babylone ou un nouveau serviteur obéissant d'un ton sanglant

Notre navire ne coulera pas, non, il ne périra pas dans les ténèbres, car nous voyons la lumière du soleil même sur

journée.

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