Zähle Tage - Lil Lano

Fluch und Segen zugleich und man gewöhnt sich zu leicht

Manchmal fällt es schwer zu schätzen, was ich habe

Fahr' zum Laden und kauf' mir alles, was ich tragen kann

Doch ich frage mich nur, was bring’n mir all die Marken?

(Was bring’n mir

Marken?)

Ich zähl' kein Geld, ich zähle Narben (Zähle Narben)

Bruder, ich bin dankbar, denn ich weiß noch, wie es damals war (Ja, ja)

Keiner für mich da, weil ich für sie nur ein Versager war (Oh-oh)

Heut mach' ich mit ei’m Song, was du in einem Jahr so machst (Ja, ja)

Krisen sind nicht da dank meiner Visa oder Mastercard (Oh-yeah)

Führerschein gemacht, ich copp' 'nen Beamer und ich fahre dann (Skrrt-skrrt)

Mal wieder meine Straßen lang und fühl' mich einfach fabelhaft (Ohh)

Schön zu seh’n, dass alles klappt, seitdem ich mir ein’n Plan gemacht hab' (Ohh)

Seh’n wir uns noch?

Geb' bis dahin Lächeln für die Kamera

Ja, ich hab' ein’n Traum und es geht Schritt für Schritt bergauf

Kämpf' mich nach ganz oben und mal seh’n, wie lang ich brauch'

Alles geht grad auf und trotzdem bin ich manchmal down

Zähle wieder Tage und ich warte

Zähle Tage

Ich weiß selber nicht mehr, worauf ich noch warte (Mh-mh)

Fühl' mich noch immer so, als ob ich noch nicht da bin (Da bin)

Fluch und Segen zugleich und man gewöhnt sich zu leicht

Manchmal fällt es schwer zu schätzen, was ich habe

Fahr' zum Laden und kauf' mir alles, was ich tragen kann

Doch ich frage mich nur, was bring’n mir all die Marken?

(Was bring’n mir

Marken?)

Ich zähl' kein Geld, ich zähle Narben (Zähle Narben)

Hab' alles, was ich will, doch manchmal fühl' ich mich so undankbar (Yeah, yeah)

Brauche keinen Manager, denn für mich ist mein Couseng da (Ohh)

Ohne Spaß, diese Scheiße ist unbezahlbar (Unbezahlbar)

Komm' aus dem Dunkeln in das Licht, deshalb Laterne auf mei’m Unterarm (Okay)

Hundert K (Yeah) Euro auf mei’m Konto, check die Audemars (Oh)

Ich schwör', seitdem ich Kohle hab', ist jeder ohne Grund am blasen

Hundert Riesen unterm Arsch, ich drück' aufs Pedal und ich rase (Yeah, yeah)

Kalender ist voll, Geschäftsgespräche und das stundenlang (Stundenlang)

Und alles ist so surreal (So surreal)

Bis vor paar Jahren war ich unbekannt

Und heute kennt mich jede Mitarbeiterin im Prada-Store beim Nam’n,

denn ich bin Teil des Kundenstamms

Wunderbar (Yeah), unbegreiflich, im Schrank sind hundert Nikes (Hundert Nikes)

Rühr' nicht mal 'nen Finger, hab' ich das Gefühl, die Summe reicht nicht

(Reicht nicht)

Ja, früher wollten alle immer, dass ich unten bleibe

Heute fliege ich, sie sagen nix, als ob sie unter Eid sind (Sagen nix)

Ja, ich hab' ein’n Traum und es geht Schritt für Schritt bergauf

Kämpf' mich nach ganz oben und mal seh’n, wie lang ich brauch'

Alles geht grad auf und trotzdem bin ich manchmal down

Zähle wieder Tage und ich warte

Zähle Tage

Ich weiß selber nicht mehr, worauf ich noch warte

Fühl' mich noch immer so, als ob ich noch nicht da bin

Fluch und Segen zugleich und man gewöhnt sich zu leicht

Manchmal fällt es schwer zu schätzen, was ich habe

Fahr' zum Laden und kauf' mir alles, was ich tragen kann

Doch ich frage mich nur, was bring’n mir all die Marken?

Ich zähl' kein Geld, ich zähle Narben (Ja, ja)

Malédiction et bénédiction en même temps et on s'y habitue trop facilement

Parfois, il est difficile d'apprécier ce que j'ai

Conduis au magasin et achète-moi tout ce que je peux porter

Mais je me demande juste, à quoi servent toutes les marques ?

(Qu'est-ce que tu m'apportes ?

Marques?)

Je ne compte pas l'argent, je compte les cicatrices (compte les cicatrices)

Frère, je suis reconnaissant parce que je me souviens comment c'était à l'époque (ouais, ouais)

Personne pour moi parce que j'étais juste un perdant pour eux (Oh-oh)

Aujourd'hui je fais avec une chanson ce que tu feras dans un an (oui, oui)

Les crises ne sont pas là grâce à ma Visa ou Mastercard (oh-ouais)

J'ai mon permis de conduire, j'achèterai un projecteur et après je conduirai (Skrrt-skrrt)

Encore une fois dans mes rues et je me sens juste fabuleux (Ohh)

Ravi de voir que tout fonctionne depuis que j'ai fait un plan (Ohh)

Pouvons-nous nous revoir ?

Jusque-là, souriez pour la caméra

Oui, j'ai un rêve et ça monte pas à pas

Combats mon chemin vers le sommet et vois combien de temps j'ai besoin

Tout va bien et pourtant parfois je suis déprimé

Je compte à nouveau les jours et j'attends

compter les jours

Je ne sais plus ce que j'attends (Mh-mh)

J'ai toujours l'impression que je n'y suis pas encore (Suis)

Malédiction et bénédiction en même temps et on s'y habitue trop facilement

Parfois, il est difficile d'apprécier ce que j'ai

Conduis au magasin et achète-moi tout ce que je peux porter

Mais je me demande juste, à quoi servent toutes les marques ?

(Qu'est-ce que tu m'apportes ?

Marques?)

Je ne compte pas l'argent, je compte les cicatrices (compte les cicatrices)

J'ai tout ce que je veux, mais parfois je me sens tellement ingrat (ouais, ouais)

Je n'ai pas besoin de manager car pour moi il y a mon cousin (Ohh)

Pas amusant, cette merde est inestimable (Inestimable)

Sortez de l'obscurité vers la lumière, alors mettez une lanterne sur mon avant-bras (ok)

Cent K (ouais) euros sur mon compte, check l'Audemars (Oh)

Je jure, depuis que j'ai de l'argent, tout le monde souffle sans raison

Cent mille sous le cul, j'appuie sur la pédale et je cours (ouais, ouais)

Le calendrier est plein, les appels professionnels pendant des heures (pendant des heures)

Et tout est tellement surréaliste (tellement surréaliste)

J'étais inconnu jusqu'à il y a quelques années

Et aujourd'hui, chaque employé du magasin Prada me connaît par mon nom,

parce que je fais partie de la clientèle

Merveilleux (Ouais), incroyable, dans le placard y'a cent Nikes (cent Nikes)

Ne lève même pas le petit doigt, j'ai l'impression que la somme ne suffit pas

(Pas assez)

Oui, tout le monde voulait que je reste en bas

Aujourd'hui je vole, ils ne disent rien, comme s'ils étaient sous serment (ne disent rien)

Oui, j'ai un rêve et ça monte pas à pas

Combats mon chemin vers le sommet et vois combien de temps j'ai besoin

Tout va bien et pourtant parfois je suis déprimé

Je compte à nouveau les jours et j'attends

compter les jours

Je ne sais plus ce que j'attends

J'ai toujours l'impression que je n'y suis pas encore

Malédiction et bénédiction en même temps et on s'y habitue trop facilement

Parfois, il est difficile d'apprécier ce que j'ai

Conduis au magasin et achète-moi tout ce que je peux porter

Mais je me demande juste, à quoi servent toutes les marques ?

Je ne compte pas l'argent, je compte les cicatrices (oui, oui)