Strange Fruition - Lupe Fiasco

Now I can’t pledge allegiance to your flag

Cause I can’t find no reconciliation with your past

When there was nothing equal for my people in your math

You forced us in the ghetto and then you took our dads

The belly of the beast, these streets are demons' abs

I’m telling you that setup in them sit-ups is so sad

The system is a slab

Corruption is the swinger sittin high ridin dirty, drag racin into danger

And it’s so clean, pine trees smellin good

With work off in the trunk and niggas in the hood

So I can’t shed blood on any battlefield of yours

I pray the ugly truth comes and shatters your decor

And as it all falls down and tatters on the floor

I shed tears, I don’t know what really matters anymore

Cause I don’t know what really matters anymore

Many things, strangest things you ever seen

Oh, look at how they swing, would you look at how they swing?

Embedded they go, no eyelids gone low

Or gone by sundown, they’re dodging 5−0

Now as I wander through the city goin mad

I see the fruits of planting evidence instead of grass

A swindled generation with no patience, full of swag

Man, they so impatient with the stations that they have

As long as they look good when they be doin bad

Then the separation from the truth is gettin vast, fast

Be a slave at first or free at last

Double-edged choices make a nigga wanna pass

Double-headed voices from the eagle on the staff

The pyramid where eyes will split the spirited in half

Divided over money

Delighted by the dummyin down of the importance of crowns we’ll never have

That’s why my sounds and sermons are so full of wrath

Baptize your mind, let your brain take a bath

Swim inside the river get delivered from the craft

Of the witches in this business that be livin off your sad

Hatin on your happiness you hit 'em off with laughs

Smile 'til they surrender, then you kill 'em off with glad

Hello evil, I’m back

Maintenant, je ne peux pas prêter allégeance à votre drapeau

Parce que je ne peux pas trouver de réconciliation avec ton passé

Quand il n'y avait rien d'égal pour mon peuple dans vos maths

Vous nous avez forcés dans le ghetto, puis vous avez emmené nos pères

Le ventre de la bête, ces rues sont des abdos de démons

Je vous dis que la configuration de ces sit-ups est si triste

Le système est une dalle

La corruption est l'échangiste assis haut dans le sale, traînant la course en danger

Et c'est tellement propre, les pins sentent bon

Avec du travail dans le coffre et des négros dans le capot

Donc je ne peux pas verser le sang sur ton champ de bataille

Je prie pour que la vilaine vérité vienne et brise votre décor

Et alors que tout tombe et s'effondre sur le sol

J'ai versé des larmes, je ne sais plus ce qui compte vraiment

Parce que je ne sais plus ce qui compte vraiment

Beaucoup de choses, les choses les plus étranges que tu aies jamais vues

Oh, regardez comment ils se balancent, voudriez-vous regarder comment ils se balancent ?

Embarqués ils vont, pas de paupières baissées

Ou passés au coucher du soleil, ils esquivent 5−0

Maintenant, alors que je me promène dans la ville, je deviens fou

Je vois les fruits de la plantation de preuves au lieu de l'herbe

Une génération escroquée sans patience, pleine de swag

Mec, ils sont si impatients avec les stations qu'ils ont

Tant qu'ils ont l'air bien quand ils font du mal

Ensuite, la séparation d'avec la vérité devient vaste, rapide

Soyez esclave au début ou libre enfin

Les choix à double tranchant donnent envie à un négro de passer

Voix doubles de l'aigle sur le bâton

La pyramide où les yeux diviseront l'esprit en deux

Divisé sur l'argent

Ravi par le mannequin de l'importance des couronnes que nous n'aurons jamais

C'est pourquoi mes sons et mes sermons sont si pleins de colère

Baptisez votre esprit, laissez votre cerveau prendre un bain

Nagez à l'intérieur de la rivière et soyez délivré de l'embarcation

Des sorcières dans cette entreprise qui vivent de votre tristesse

Hatin sur votre bonheur, vous les faites rire

Souris jusqu'à ce qu'ils se rendent, puis tu les tues avec joie

Salut le mal, je suis de retour