It's In Your Blood - Lydia

I can’t stay over you.

It seems we drive forever but can never get away from here,

just one more try.

I’m guessing you are over me, I guess it’s bravery.

Well cause it’s black out the window while you sleep in the passenger seat.

It’s gone.

Oh when it’s always on your mind but you never speak of the name.

It’s in your blood and face and I’m certain it’s fame.

So I stayed out in the car cause the weather had gotten to me.

But its really these road signs and freeways that I can’t take.

This can’t be how you live.

It’s like a, a ball and chain around your waist or this simple state.

Your mind’s sick again.

I’m tasting nothing but 4 words, «please don’t leave me».

And it’s Dark in the winter so your ideas start to sleep.

Well your head is spinning like that carousel,

and I know you’re a mess after 3 or 4.

But if you make it different then we’ll make our way to the surface,

and your favorite place.

Where we sit, and we breath.

cause I know all the words and I sing you everything.

Well they’re just thoughts so go ahead and speak.

So pick out what you like and call me when you’re on the way.

You can spend the night and hope to sleep all day.

For me its just another week, twenty eight was once how I dreamed.

And with your scent on my face I can leave and have you for days.

I still can’t see you.

The summer came and we got lost, all of us.

You are nothing with out her.

I still wont remember your face,

the features mix too well with this alcohol.

So we cover ourselves in your fear,

and stay to watch that moon disappear under these lights.

This city, this city’s screaming at me.

And as you breathe the words I better go.

The sun is up and taking back all the shadows that covered this ground,

and our feet, like a blanket of coal.

Je ne peux pas rester avec toi.

Il semble que nous conduisons pour toujours mais que nous ne pouvons jamais nous éloigner d'ici,

juste un essai de plus.

Je suppose que tu es au-dessus de moi, je suppose que c'est de la bravoure.

Eh bien, il fait noir par la fenêtre pendant que vous dormez sur le siège passager.

C'est parti.

Oh quand c'est toujours dans votre esprit mais que vous ne parlez jamais du nom.

C'est dans ton sang et ton visage et je suis certain que c'est la renommée.

Alors je reste dans la voiture parce que le temps m'a gêné.

Mais ce sont vraiment ces panneaux de signalisation et ces autoroutes que je ne peux pas emprunter.

Cela ne peut pas être la façon dont vous vivez.

C'est comme un boulet et une chaîne autour de votre taille ou cet état simple.

Votre esprit est à nouveau malade.

Je ne goûte que 4 mots, « s'il te plait ne me quitte pas ».

Et il fait noir en hiver, alors vos idées commencent à dormir.

Eh bien, votre tête tourne comme ce carrousel,

et je sais que tu es un gâchis après 3 ou 4.

Mais si vous le rendez différent, nous remonterons à la surface,

et votre endroit préféré.

Où nous sommes assis et où nous respirons.

car je connais tous les mots et je te chante tout.

Eh bien, ce ne sont que des pensées, alors allez-y et parlez.

Alors choisissez ce que vous aimez et appelez-moi lorsque vous êtes en route.

Vous pouvez passer la nuit et espérer dormir toute la journée.

Pour moi, c'est juste une autre semaine, vingt-huit ans, c'était comme ça dont je rêvais.

Et avec ton parfum sur mon visage, je peux partir et t'avoir pendant des jours.

Je ne peux toujours pas te voir.

L'été est arrivé et nous nous sommes perdus, tous.

Tu n'es rien sans elle.

Je ne me souviens toujours pas de ton visage,

les traits se marient trop bien avec cet alcool.

Alors nous nous couvrons de votre peur,

et restez pour regarder cette lune disparaître sous ces lumières.

Cette ville, cette ville me crie dessus.

Et pendant que tu respires les mots, je ferais mieux d'y aller.

Le soleil est levé et reprenant toutes les ombres qui couvraient ce sol,

et nos pieds, comme une couverture de charbon.