Limiter - Machines Of Loving Grace

As sure as prisons are the models for the city

I let my mind and my body imprison me

Now a Versailles has risen up inside

And I live in fear of the glide, in fear of the glide

And if the doors of perception were finally cleansed

I could see your face again

And my love for the world would be wild and pure

If not for this goddamn limiter

I pushed my limits to the sickening heights

And I can feel my heartbeat smashing on the back of my eyes

The drip of your faucet and the warmth of your thighs

And the limiter, still blinded by the candlelight

The rubies and the pearls of the lovesick eye

The martyr’s groans and the lover’s sighs

Your legs so sheer in the UV light

And the limiter, still blinded by the candlelight

As sure as prisons are the models for the city

I nurture my need for oil and electricity

The bigger the need gets

The more that the people want a piece of that

And if the doors of perception were finally cleansed

I could take my place again

And my love for the world would be wild and pure

If not for this goddamn limiter

I pushed my limits to the sickening heights

And I can feel my heartbeat smashing on the back of my eyes

The drip of your faucet and the warmth of your thighs

And the limiter, still blinded by the candlelight

The rubies and the pearls of the lovesick eye

The martyr’s groans and the lover’s sighs

Your legs so sheer in the UV light

And the limiter, still blinded by the candlelight

And delight

I can see you there

And delight

I want to see you in my everywhere

As sure as prisons are the models for the city

I nurture my need for oil and electricity

The bigger the need gets

The more that the people want a piece of that

I pushed my limits to the sickening heights

And I can feel my heartbeat smashing on the back of my eyes

The drip of your faucet and the warmth of your thighs

And the limiter, still blinded by the candlelight

Still blinded by the candlelight…

Aussi sûr que les prisons sont les modèles de la ville

Je laisse mon esprit et mon corps m'emprisonner

Maintenant un Versailles s'est levé à l'intérieur

Et je vis dans la peur du glissement, dans la peur du glissement

Et si les portes de la perception étaient enfin nettoyées

Je pourrais revoir ton visage

Et mon amour pour le monde serait sauvage et pur

Si ce n'est pas pour ce putain de limiteur

J'ai repoussé mes limites jusqu'aux hauteurs écoeurantes

Et je peux sentir mon rythme cardiaque s'écraser au fond de mes yeux

Le goutte à goutte de ton robinet et la chaleur de tes cuisses

Et le limiteur, toujours aveuglé par la lumière des bougies

Les rubis et les perles de l'œil amoureux

Les gémissements du martyr et les soupirs de l'amant

Tes jambes si transparentes sous la lumière UV

Et le limiteur, toujours aveuglé par la lumière des bougies

Aussi sûr que les prisons sont les modèles de la ville

Je nourris mon besoin de pétrole et d'électricité

Plus grand est le besoin

Plus les gens en veulent un morceau

Et si les portes de la perception étaient enfin nettoyées

Je pourrais reprendre ma place

Et mon amour pour le monde serait sauvage et pur

Si ce n'est pas pour ce putain de limiteur

J'ai repoussé mes limites jusqu'aux hauteurs écoeurantes

Et je peux sentir mon rythme cardiaque s'écraser au fond de mes yeux

Le goutte à goutte de ton robinet et la chaleur de tes cuisses

Et le limiteur, toujours aveuglé par la lumière des bougies

Les rubis et les perles de l'œil amoureux

Les gémissements du martyr et les soupirs de l'amant

Tes jambes si transparentes sous la lumière UV

Et le limiteur, toujours aveuglé par la lumière des bougies

Et délice

Je peux te voir là-bas

Et délice

Je veux te voir dans mon partout

Aussi sûr que les prisons sont les modèles de la ville

Je nourris mon besoin de pétrole et d'électricité

Plus grand est le besoin

Plus les gens en veulent un morceau

J'ai repoussé mes limites jusqu'aux hauteurs écoeurantes

Et je peux sentir mon rythme cardiaque s'écraser au fond de mes yeux

Le goutte à goutte de ton robinet et la chaleur de tes cuisses

Et le limiteur, toujours aveuglé par la lumière des bougies

Toujours aveuglé par la lumière des bougies…