Mamba - Marc and the Mambas

And tonight the look that branded me Was like a pool of burnt out gasoline

Shiny brown skin like the melting tar

On a sticky summer road

Finger on the trigger

Words like bullets blast the brain

Nails a brittle edge of a breaking glass in a bar room brawl

Lay myself like a big jack rat

Limp and lazy on the sallow soaked floor

And now youre feeling sorry

Now Im shattered sad and worn out

Ragged raped of mind and soul

Empty like an ashtray

Damp and dirty grime and grease

A broken hearted effigy

A bone cracked cranium face frozen about you

The cheap wine that you drown the million little devils in your brain

Stained your mouth and leaves a purple trail down heartache lane

To slash my sickly senses leaving me in my own hell

The silent sob of shaking shoulders as the candle drips and dies

Driving out the tear smeared figure that I used to know as you (you)

Your heel grinds out the cigarette stub you used to know as me Take a sip out of the dirty glass that helps to glitter up your dirty little

life

Loneliness may eat me up Keep determined to survive this time

And skin like cocaine numb and yellow cut with poisoned pain

Feel so shot and shocked and shattered and shamed

But the hero and the heroine

That scars and helps me mellow out again

And close my eyes in ecstasy of cleaning out the decaying crimes

That are sinking me in self pity

Meet my eyes in fired goodbye

Like a flick knife in the chest

And just a tiny touch of you

So dark and damned and easy

Hope fallen the prey

To a thousand use and abuse ems

For I know that in the end the poison darts of hate

Will eat you up and will rise up From the oily sea of my waxy lazy gloom

And stick the final pin that sends you in humiliation from the room

And I know you though you play marlene dietrich in the bar

Sinking slurring out of key like some jarred and jaded star

But the colour seems so faded fake fur that you surely are

Your much more blue than angel say goodbye to style and pride

As you show your heart with a naughty little organ

That beats out the number on the knees

The sensuality of the glorious diamonte dress

That hangs from your shoulders baring your bruised and battered chest

As you beat out the rhythm of the song

The rhythm on the flesh singing einen mann qualluded deluded

Never never you and though you play at Cat and mouse by giving me your whisky mouth

Remember that this little snake kisses you to kill

And Ill buy them all drink to toast

And charge the bill to you

Youll never see a faster mover dart in for attack

Slither shining

Danger a winding belt of black

Treacle runs from all your pores

The venom from the bite

Revenge is sweet and strikes just like a mamba every night

Et ce soir, le regard qui m'a marqué Était comme une flaque d'essence brûlée

Peau brune brillante comme le goudron qui fond

Sur une route d'été collante

Doigt sur la gâchette

Des mots comme des balles font exploser le cerveau

Cloue le bord cassant d'un verre brisé lors d'une bagarre dans un bar

Je m'étends comme un gros rat

Mou et paresseux sur le sol imbibé de jaunâtre

Et maintenant tu te sens désolé

Maintenant, je suis brisé, triste et épuisé

Ragged violé de l'esprit et de l'âme

Vide comme un cendrier

Saleté et graisse humides et sales

Une effigie au cœur brisé

Un visage de crâne fissuré d'os gelé autour de vous

Le vin bon marché que vous noyez le million de petits diables dans votre cerveau

Tache ta bouche et laisse une traînée violette sur la voie du chagrin d'amour

Pour réduire mes sens maladifs me laissant dans mon propre enfer

Le sanglot silencieux des épaules tremblantes alors que la bougie coule et meurt

Chassant la silhouette maculée de larmes que je connaissais sous le nom de toi (toi)

Votre talon broie le mégot de cigarette que vous connaissiez sous le nom de moi Prenez une gorgée du verre sale qui aide à faire scintiller votre sale petit

la vie

La solitude peut me ronger Restez déterminé à survivre cette fois

Et la peau comme la cocaïne engourdie et jaune coupée par une douleur empoisonnée

Je me sens tellement abattu et choqué et brisé et honteux

Mais le héros et l'héroïne

Cela me cicatrise et m'aide à m'apaiser à nouveau

Et ferme les yeux dans l'extase de nettoyer les crimes en décomposition

Qui me plongent dans l'apitoiement sur moi-même

Rencontrez mes yeux dans un au revoir enflammé

Comme un coup de couteau dans la poitrine

Et juste une petite touche de toi

Si sombre et damné et facile

L'espoir est tombé la proie

Pour un millier d'utiliser et d'abuser d'EMS

Car je sais qu'à la fin les fléchettes empoisonnées de la haine

Te dévorera et s'élèvera de la mer huileuse de ma morosité paresseuse et cireuse

Et collez la dernière épingle qui vous envoie dans l'humiliation de la pièce

Et je te connais bien que tu joues Marlene Dietrich dans le bar

Couler en s'éloignant de la tonalité comme une étoile choquée et blasée

Mais la couleur semble si fanée de la fausse fourrure que tu es sûrement

Tu es bien plus bleu qu'un ange, dis adieu au style et à la fierté

Alors que tu montres ton cœur avec un vilain petit organe

Cela bat le nombre sur les genoux

La sensualité de la glorieuse robe diamonte

Qui pend de tes épaules découvrant ta poitrine meurtrie et battue

Alors que tu bats le rythme de la chanson

Le rythme sur la chair chantant einen mann qualluded trompé

Jamais jamais toi et bien que tu joues au chat et à la souris en me donnant ta bouche de whisky

N'oubliez pas que ce petit serpent vous embrasse pour tuer

Et je leur achèterai tous à boire pour porter un toast

Et vous facturer la facture

Vous ne verrez jamais une fléchette plus rapide pour attaquer

Glisser brillant

Danger une courroie d'enroulement de noir

La mélasse coule de tous tes pores

Le venin de la morsure

La vengeance est douce et frappe comme un mamba tous les soirs