Lucky Man - Mark Kozelek

Woken up those New York mornings, shivering bones

Thinking how the air welled up, her old brown stone

Close down to kiss her, marks time past flown

So hard to find it in us to leave these dreams

To leave these dreams

Growing up Ohio mornings sleeping in late

Ducking out the window, the school I hate

Listening to my mother talking with her neighbourhood friends

Underneath the drone guitar of lucky man

Stranded out those Florida beaches, poor as a joke

Sails fly in Merritt Islands, lazy blue coast

Cool refrains of ocean rain, echo off of my head

Celebrated summer, friends and brothers, the freedom we fell

And you’re what I remember

Shining down the L.A. highways, glorious sun

Far from you, from my home, and everyone I love

Sinking in the shallow end of her infinite pools

Silver lakes and palisades and Malibu

Woken up those lost young mornings, somewhere in Spain

I couldn’t say the towns I slept, my lovers' names

Pouring in on Sunday, heaven’s church bell rang

I didn’t know my purpose til I stood and sang

For crowds of passing faces

Woken up to this new Aprils sleepy gray skies

The rain has swept the dust that left, the gutters rise

The fog it spills into the hills, crawling out East

The windows weep, beside me now though she sleeps and I

Now have I found her

Je me suis réveillé ces matins de New York, les os frissonnants

En pensant à l'air qui montait, sa vieille pierre brune

Ferme-toi pour l'embrasser, marque le temps écoulé

Tellement difficile de trouver en nous de quitter ces rêves

Quitter ces rêves

Grandir les matins de l'Ohio dormir tard

Je me baisse par la fenêtre, l'école que je déteste

Écouter ma mère parler avec ses amis du quartier

Sous la guitare drone d'un homme chanceux

Échoué sur ces plages de Floride, pauvre comme une blague

Les voiles volent dans les îles Merritt, la côte bleue paresseuse

Cool refrains de pluie océanique, écho dans ma tête

Célébration de l'été, amis et frères, la liberté que nous sommes tombés

Et tu es ce dont je me souviens

Brillant sur les autoroutes de L.A., soleil glorieux

Loin de toi, de chez moi et de tous ceux que j'aime

S'enfoncer dans la partie peu profonde de ses piscines infinies

Lacs et palissades d'argent et Malibu

J'ai réveillé ces jeunes matins perdus, quelque part en Espagne

Je ne pourrais pas dire les villes où j'ai dormi, les noms de mes amants

Versant le dimanche, la cloche de l'église du paradis a sonné

Je ne connaissais pas mon but jusqu'à ce que je me lève et chante

Pour les foules de visages qui passent

Réveillé par ce nouveau ciel gris endormi d'avril

La pluie a balayé la poussière qui est partie, les gouttières montent

Le brouillard se déverse dans les collines, rampant vers l'est

Les fenêtres pleurent, à côté de moi maintenant même si elle dort et je

Maintenant, je l'ai trouvée