Oh How We Fell - Matt Elliott

The sudden realization that not all is what it seems

Rises somehow exponentially

It turns from a cry into a wail

Then a scream and then a howl

An endless broken dull soliloquy

Pain can force the hand and turn the mind

The pictures taint the judgement every time

Then i turn around and see a wreck strewn on the road

The pictures and the pain you’ll never know

The pictures and the pain that i was good enough

To keep from scarring you

Some things are meant for you and you alone

And so I add more fuel to the fire

And try to find an answer in the pyre

At first the flames a comfort but the smoke gets in the eyes

There’s only so much left that one can burn

And now i find I’m dancing 'round the ashes of the bridges that i’ve burned

I take nothing from the lessons that i’ve learned

And so the wheel relentlessly goes round

Just cuts the rut a little deeper down

This youthful smile has turned into a frown

The eyes forever down

The spark forever drowned

I’ll sing as I go

I’ve learned well that it’s best not to know

And i use up the last of what’s left

In a vain effort just to forget

This arm contracts as it’s pulled

It’s disturbing the calm of the pool

I am lost in this mournful refrain

While re-analyzing this stain

This tainted wreck of lies again

And if what you said is true

I’m condemned to repeat 'till i’m through

Least until i can learn to forgive

Or learn simply not to relive

And this dream i could weep

So profoundly i finally could sleep

Undisturbed by the demons and shades

And this endless cycle of betrayal

Oh how we fell

And how is one supposed to mourn if one is not entirely sure what has died

And if it’s dead and if it’s dead and if it’s dead and if it’s dead why can’t i

cry

And all the things you told me that you read upon my palm they were lies

Say that they were lies

La prise de conscience soudaine que tout n'est pas ce qu'il semble

Augmente en quelque sorte de façon exponentielle

Ça passe d'un cri à un gémissement

Puis un cri puis un hurlement

Un soliloque terne brisé sans fin

La douleur peut forcer la main et transformer l'esprit

Les images entachent le jugement à chaque fois

Puis je me retourne et vois une épave jonchant la route

Les images et la douleur que vous ne saurez jamais

Les images et la douleur que j'étais assez bon

Pour éviter de vous marquer

Certaines choses sont faites pour toi et toi seul

Et donc j'ajoute plus de carburant au feu

Et essayez de trouver une réponse dans le bûcher

Au début, les flammes sont un réconfort, mais la fumée pénètre dans les yeux

Il n'en reste que tant que l'on peut brûler

Et maintenant je découvre que je danse autour des cendres des ponts que j'ai brûlés

Je ne retiens rien des leçons que j'ai apprises

Et donc la roue tourne sans relâche

Coupe juste l'ornière un peu plus profondément

Ce sourire juvénile s'est transformé en un froncement de sourcils

Les yeux toujours baissés

L'étincelle s'est noyée à jamais

Je chanterai au fur et à mesure

J'ai bien appris qu'il vaut mieux ne pas savoir

Et j'utilise le dernier de ce qui reste

Dans un vain effort juste pour oublier

Ce bras se contracte lorsqu'il est tiré

Cela perturbe le calme de la piscine

Je suis perdu dans ce refrain lugubre

En ré-analysant cette tache

Cette épave contaminée de mensonges à nouveau

Et si ce que vous avez dit est vrai

Je suis condamné à répéter jusqu'à ce que j'aie fini

Au moins jusqu'à ce que je puisse apprendre à pardonner

Ou apprenez simplement à ne pas revivre

Et ce rêve je pourrais pleurer

Si profondément que j'ai enfin pu dormir

Non dérangé par les démons et les ombres

Et ce cycle sans fin de trahison

Oh comment nous sommes tombés

Et comment est-on censé pleurer si on n'est pas entièrement sûr de ce qui est mort

Et si c'est mort et si c'est mort et si c'est mort et si c'est mort pourquoi je ne peux pas

pleurer

Et toutes les choses que tu m'as dites que tu lis sur ma paume, ce sont des mensonges

Dire que c'étaient des mensonges