Voici les paroles de la chanson : Sunday New York Times , artiste : Matt Nathanson Avec traduction
Texte original avec traduction
Matt Nathanson
Leaves and the rain falling outside.
Taxi waited in the street.
Gave you my keys, told you I’d try…
But we both knew better didn’t we?
I made my way to jfk in world record time,
Hoping I would miss the flight.
You and I were fighting sleep.
Beautiful wasted promises we promised to keep,
At least 'til we said goodbye.
Sometimes you’re still mine
Between the lines of the Sunday New York times.
You were the saint, I was the liar,
At least that’s how I remember it.
Left all our dreams, all our desires
On the steps of your apartment.
The Brooklyn bridge, your olive skin
Framed in black and white.
I miss how simple love could be.
When you and I were fighting sleep.
Beautiful wasted promises we promised to keep,
At least 'til we said goodbye.
Sometimes you’re still mine
Between the lines of the Sunday New York times
Running wild down St. Marks,
Raw and breathless in your arms.
Jumping trains to the park,
When the world was ours.
When you and I were fighting sleep.
Under the blankets promises we promised to keep,
At least 'til we said goodbye.
Sometimes you’re still mine
Between the lines of the Sunday New York times
Les feuilles et la pluie qui tombe dehors.
Un taxi attendait dans la rue.
Je t'ai donné mes clés, je t'ai dit que j'essaierais...
Mais nous savions tous les deux mieux n'est-ce pas ?
Je me suis rendu à jfk en un temps record du monde,
En espérant que je raterais le vol.
Toi et moi luttions contre le sommeil.
De belles promesses gâchées que nous avons promis de tenir,
Au moins jusqu'à ce que nous nous disions au revoir.
Parfois tu es encore à moi
Entre les lignes du Sunday New York Times.
Tu étais le saint, j'étais le menteur,
C'est du moins ainsi que je m'en souviens.
Laissé tous nos rêves, tous nos désirs
Sur les marches de votre appartement.
Le pont de Brooklyn, ta peau d'olive
Encadré en noir et blanc.
La simplicité de l'amour me manque.
Quand toi et moi luttions contre le sommeil.
De belles promesses gâchées que nous avons promis de tenir,
Au moins jusqu'à ce que nous nous disions au revoir.
Parfois tu es encore à moi
Entre les lignes du Sunday New York Times
Courir sauvage sur Saint-Marc,
Brut et essoufflé dans tes bras.
Sauter les trains jusqu'au parc,
Quand le monde était à nous.
Quand toi et moi luttions contre le sommeil.
Sous les couvertures des promesses que nous avons promis de tenir,
Au moins jusqu'à ce que nous nous disions au revoir.
Parfois tu es encore à moi
Entre les lignes du Sunday New York Times
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