The Call - Meadows
С переводом

The Call - Meadows

Год
2021
Язык
`Anglais`
Длительность
253720

Voici les paroles de la chanson : The Call , artiste : Meadows Avec traduction

Paroles : The Call "

Texte original avec traduction

The Call

Meadows

Оригинальный текст

The 16th of November, 1963. That dreaded night, when everything changed,

nothing was ever the same

The 16th of November, 1963… nothing was ever the same

Drunken communion.

This was his Friday night Mass. The broken preacher just as

broken at home.

His hand was clutched around the Good Book (the other a shot

glass).

Flaming tongues preaching fireball and brimstone, the shepherd lost his

way back.

(He couldn’t find his way back!) He allowed false idols on th throne

(the flask), the flask with a goldn calf

It started slow.

One decision to next one.

He wasn’t always this way.

He loved his wife, their son, another on the way.

A slippery slope,

isolated alone.

Satan’s kiss and whispers growing.

«Just one, know one would

have to know.

Forbidden fruit, hanging low on the vine.

After all,

He turned water to wine.»

Drunken communion.

This was his Friday night Mass. The broken preacher just as

broken at home.

His hand was clutched around the Good Book (the other a shot

glass).

Flaming tongues preaching fireball and brimstone, the shepherd lost his

way back.

(He couldn’t find his way back!) He allowed false idols on the throne

(the flask), the flask with a golden calf

He recalls his Father’s words.

Etched in stone on his heart grown cold:

«Don't get a hold of something that can get a hold of you.»

(He watched them…) Asleep, like trees, that swayed in lament.

The hush of the

limbs, as they break and they bend

The sagging moss hung, like thoughts in his head.

The leaves on the ground,

creating a bed, (like tears) that soaked their pillows.

Yet he left like the

wind, blowing through the weeping willows

Перевод песни

Le 16 novembre 1963. Cette nuit redoutée, où tout a changé,

rien n'a jamais été pareil

Le 16 novembre 1963... plus rien n'était pareil

Communion ivre.

C'était sa messe du vendredi soir. Le prédicateur brisé tout comme

cassé à la maison.

Sa main était serrée autour du Bon Livre (l'autre un coup

verre).

Langues enflammées prêchant boule de feu et soufre, le berger a perdu son

chemin de retour.

(Il n'a pas pu retrouver son chemin !) Il a autorisé de fausses idoles sur le trône

(la fiole), la fiole au veau d'or

Ça a commencé lentement.

Une décision à la suivante.

Il n'a pas toujours été comme ça.

Il aimait sa femme, leur fils, un autre en route.

Une pente glissante,

isolé seul.

Le baiser et les chuchotements de Satan grandissent.

"Juste un, sachez qu'on le ferait

devez savoir.

Fruit défendu, suspendu bas à la vigne.

Après tout,

Il a transformé l'eau en vin. »

Communion ivre.

C'était sa messe du vendredi soir. Le prédicateur brisé tout comme

cassé à la maison.

Sa main était serrée autour du Bon Livre (l'autre un coup

verre).

Langues enflammées prêchant boule de feu et soufre, le berger a perdu son

chemin de retour.

(Il n'a pas pu retrouver son chemin !) Il a autorisé de fausses idoles sur le trône

(la fiole), la fiole au veau d'or

Il se rappelle les paroles de son Père.

Gravé dans la pierre sur son cœur devenu froid :

"Ne t'empare pas de quelque chose qui puisse t'attraper."

(Il les a regardés...) Endormis, comme des arbres, qui se balançaient en lamentation.

Le silence de la

membres, lorsqu'ils se cassent et se plient

La mousse affaissée pendait, comme des pensées dans sa tête.

Les feuilles au sol,

créer un lit (comme des larmes) qui a trempé leurs oreillers.

Pourtant, il est parti comme le

vent, soufflant à travers les saules pleureurs

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