Death In LA Pt. 1 - Moodie Black

I’ve opened up like Christ with no comparison

The prairie bad is back the Moodie Black to lap the fairer skin

Terror mirror dap the nap of scarring flat Americans and ripping at the hides

to push the arrows in

Opposite of flicks that kiss the bitch and fist the pussy in

Rarely represented by your hawking bearded-charlatans

Carry rich in leather skin-ded vulture hide defy the

Powdered west the powered death in no resign to rape the holes I find BIIIIITCH

Best father noise amongst the boys of noise of unemployed devoid of modern ploys

Of goth appearance toys

You’re going past a friendship to a fuckin app to help you black and peddle

past the very tribes that came

Before your deathing, accomplished

Your PR, the balding money burning purse the purring earth that put your first

The monster curse the native worst the Fake Four the other black the dollars

ain’t proper

The co-signs are scary, equipment’s on fire…

SOME DEATH IN LA

So we can sit around and talk about pussy

And bang all these photographers to prove things

Bitch I’m up in Paris too somewhere dark and pagan worn

Wearing Levi holy black, borrowing your summer flat

Independent povered rich, human clothing barely fits

Plain inane the pains of freedom plains across my elder veins the same

It’s like I’ll never rot.

I am all you never not

Fade away and sway to pave the way to lay the faders off.

Call me black

What the crow you people think?

Death grips?

Ratking?

Choking on a fracking pill

Kerosene flat screens the terror bad, I’m on my own hide terrified

Compare me to the desert drones in lo-fi… fuck 'em all

I’ll shove the barrel in your eyes away from arrows.

I’m intimidating size and

heavy marrow

I sleep like all the others, but hunt with empty fist and barely parish while

the masses

Probably know they shouldn’t eat me

SOME DEATH IN LA

As I was born naked running pairing adolescence climbing up the EL PASO

difference, rock fence

The valley vultured out and kicked me further west before the ocean in the

middle of coyotes

I learned how to talk fast and drum on things to capture what had mattered to

the person that

I barely had control of.

I danced on top of planks of feathered humans to a

mass that wouldn’t want me

And I yelled at them for wearing plastic clothing

Abandoned to the middle of the country where I yelled at them of parodies and

ruffled those who probably wouldn’t want me

Although I was a crow of bad precision spreading out across the planet,

back in Paris where they barely spoke my language

I cut my talons off and back to cacti where the fairest can’t compare me and

the dust is just as much me as the flowers

But unfinished ego has my farming bad.

I laid it on the six dark,

these people that don’t want me gotta choke me

Je me suis ouvert comme le Christ sans comparaison

Le mal des prairies est de retour le Moodie Black pour recouvrir la peau la plus claire

La terreur reflète la sieste des Américains en train de cicatriser et de déchirer les peaux

enfoncer les flèches

À l'opposé des films qui embrassent la chienne et fistent la chatte

Rarement représenté par vos charlatans barbus colporteurs

Carry riche en peau de vautour en peau de cuir défie le

Poudré à l'ouest la mort motorisée sans démissionner pour violer les trous que je trouve BIIIIITCH

Meilleur bruit de père parmi les garçons de bruit de chômeurs dépourvus de stratagèmes modernes

Des jouets d'apparence gothique

Vous passez d'une amitié à une putain d'application pour vous aider à noircir et à colporter

passé les mêmes tribus qui sont venues

Avant ta mort, accompli

Votre PR, le sac à main brûlant de l'argent chauve, la terre ronronnante qui a mis votre premier

Le monstre maudit le natif pire le Fake Four l'autre noir les dollars

n'est pas approprié

Les co-signes font peur, l'équipement est en feu...

QUELQUES MORTS À LA

Alors on peut s'asseoir et parler de chatte

Et frapper tous ces photographes pour prouver des choses

Salope, je suis à Paris aussi dans un endroit sombre et païen

Portant Levi Holy Black, empruntant ton appartement d'été

Riche pauvre indépendant, les vêtements humains vont à peine

Simplement stupide, les douleurs de la liberté traversent mes veines plus âgées de la même manière

C'est comme si je ne pourrirais jamais.

Je suis tout ce que tu n'as jamais

Fondu et balancement pour ouvrir la voie à la mise hors tension des faders.

Appelez-moi noir

Qu'est-ce que vous en pensez ?

Poignées de la mort ?

Le ratage ?

S'étouffer avec une pilule de fracturation

Le kérosène écrans plats la terreur mauvaise, je suis sur ma propre peau terrifié

Comparez-moi aux drones du désert en lo-fi… baisez-les tous

Je vais enfoncer le canon dans vos yeux loin des flèches.

Je suis de taille intimidante et

moelle lourde

Je dors comme tous les autres, mais je chasse à poing vide et je parie à peine

les masses

Ils savent probablement qu'ils ne devraient pas me manger

QUELQUES MORTS À LA

Comme je suis né nu en courant jumelant l'adolescence en escaladant le EL PASO

différence, clôture rocheuse

La vallée a sauté et m'a poussé plus à l'ouest avant l'océan dans le

milieu de coyotes

J'ai appris à parler vite et à tambouriner sur des choses pour capturer ce qui comptait pour

la personne qui

J'avais à peine le contrôle de.

J'ai dansé sur des planches d'humains à plumes à un

masse qui ne voudrait pas de moi

Et je leur ai crié dessus parce qu'ils portaient des vêtements en plastique

Abandonné au milieu du pays où je leur ai crié des parodies et

ébouriffé ceux qui ne voudraient probablement pas de moi

Bien que j'étais un corbeau de mauvaise précision se répandant sur toute la planète,

de retour à Paris où ils parlaient à peine ma langue

Je coupe mes serres et je retourne aux cactus où les plus beaux ne peuvent pas me comparer et

la poussière est autant moi que les fleurs

Mais l'ego inachevé a mon mauvais élevage.

Je l'ai posé sur les six ténèbres,

ces gens qui ne veulent pas de moi doivent m'étouffer