Angel of Disease - Morbid Angel

Your plastic souls melt within cauldrons burning black

Chanting to the Ancient Ones, chants of broken lines

Kneel before the altar, sacrifice is made

It is pleasing to the ones most ancient of the days

They call the prince of disease, messenger of the Absu

Carry through the icy winds our curse upon their church

Hanging helpless above the pentagram

Sacrifice swings within leather noose

Sing the ancient hymn that makes the Absu roll

Raise the rusty knife, let loose the blood of Kingu

Sudden death throws off the balance that’s within the sky

Priest calls forth infernal names to the ones beyond the gate

Angel of disease one who shuns the light

Shub Niggurath goat with one thousand young

Praise the beast, the chanting grew

Praise the beast with virgin blood

Praise the beast with soul and mind

Praise the beast and show the sign

Bind their kings in iron chains

Execute the judgment for them

Come and taste the fleshy pleasures

Orgies of endless time

Beneath the rolling for hate ignites their eyes

From their graves the dead rise to answer Nammtar’s call

On a twisted cross the virgin corpse hangs

They blacken out the sun and burn the elder gods

Morbid priest calling forth

Abominations of the sky

Kutulu meets in the void

Ancient Ones rule once more

Vos âmes en plastique fondent dans des chaudrons brûlant de noir

Chantant aux Anciens, chants de lignes brisées

Agenouillez-vous devant l'autel, le sacrifice est fait

Cela plaît à ceux qui sont les plus anciens des jours

Ils appellent le prince de la maladie, messager de l'Absu

Portez à travers les vents glacés notre malédiction sur leur église

Suspendu impuissant au-dessus du pentagramme

Sacrifier les balançoires dans le nœud coulant en cuir

Chante l'ancien hymne qui fait rouler l'Absu

Lève le couteau rouillé, lâche le sang de Kingu

La mort subite perturbe l'équilibre qui est dans le ciel

Le prêtre appelle des noms infernaux à ceux qui sont au-delà de la porte

Ange de la maladie celui qui fuit la lumière

Chèvre Shub Niggurath avec mille jeunes

Louez la bête, le chant a grandi

Louez la bête au sang vierge

Louez la bête avec l'âme et l'esprit

Louez la bête et montrez le signe

Lier leurs rois dans des chaînes de fer

Exécuter le jugement pour eux

Venez goûter aux plaisirs charnus

Orgies d'un temps sans fin

Sous le roulement de la haine enflamme leurs yeux

De leurs tombes, les morts se lèvent pour répondre à l'appel de Nammtar

Sur une croix tordue, le cadavre de la vierge est suspendu

Ils obscurcissent le soleil et brûlent les anciens dieux

Prêtre morbide appelant

Abominations du ciel

Kutulu se rencontre dans le vide

Les Anciens règnent à nouveau