Bitterness Bloodred - Mütiilation

Wine is color of faded red, icon of a past

No drug make me forget all this blood and this night

Gazing at the cold moon, memory of a face of doom

Which looks at me with scorn, wothing will be the same anymore

Pictures of the past are never to be back

Bloodfingers in your back, I miss the time I made you scars

I remember the promise of some rest in a bloodred sea as a release

I learnt there is no rest and honesty never pays

It wasn’t the eyes of betrayal but there was no place for hope

I thought it was a place for eternity

it was just a pit in a grey endless sea

I hate looking at those mountains that make me remember you

I’d like to hate you so more than for myself I’ve ever done

I spread violence and decay, sickness is a hard thing to share

All the scars drawing my body won’t never release me from grief

And tomorrow when the time has past I’ll still remind your name

And then return to the place it was and probably shed a tear

For the remain of this human blaze which was blown off this night

I just hope where you go, you’ll remember what was I I bleed for it went too fast, the wound is still opened

You’ve gone as those flowers died, as the bloodred turns to black

You’ll remember me as faded wine and wish me the best

The best is still for me that I can meet you soon in hell…

Le vin est la couleur du rouge fané, l'icône d'un passé

Aucune drogue ne me fait oublier tout ce sang et cette nuit

Regardant la lune froide, souvenir d'un visage de destin

Qui me regarde avec mépris, rien ne sera plus pareil

Les images du passé ne reviendront jamais

Des doigts de sang dans ton dos, la fois où je t'ai fait des cicatrices me manque

Je me souviens de la promesse d'un peu de repos dans une mer sanglante en guise de libération

J'ai appris qu'il n'y a pas de repos et que l'honnêteté ne paie jamais

Ce n'était pas les yeux de la trahison mais il n'y avait pas de place pour l'espoir

Je pensais que c'était un endroit pour l'éternité

c'était juste une fosse dans une mer grise sans fin

Je déteste regarder ces montagnes qui me font me souvenir de toi

Je voudrais te détester plus que pour moi-même je n'ai jamais fait

Je répands la violence et la décadence, la maladie est une chose difficile à partager

Toutes les cicatrices qui dessinent mon corps ne me libéreront jamais du chagrin

Et demain quand le temps sera passé je rappellerai encore ton nom

Et puis retourner à l'endroit où il était et probablement verser une larme

Pour le reste de cet incendie humain qui a été soufflé cette nuit

J'espère juste où tu vas, tu te souviendras de ce que j'étais, je saigne car c'est allé trop vite, la plaie est toujours ouverte

Tu es parti alors que ces fleurs sont mortes, alors que le rouge sang devient noir

Tu te souviendras de moi comme du vin fané et tu me souhaiteras le meilleur

Le mieux est encore pour moi que je puisse te rencontrer bientôt en enfer…