Voici les paroles de la chanson : Weltschmerz , artiste : Nazz, Ms Murphy Avec traduction
Texte original avec traduction
Nazz, Ms Murphy
Ihr sagt der Mensch gleiche Gott
Ich sag der Mensch ist ein Tier mit zuviel Emotionen, zuviel Bauch, zuviel Hirn
Zuviel Trieben und Süchten, zuviel Segen und Flüchen
Zuviel Selbst, zuviel Ich, zuviel «fick dich, du Bitch»
Ich fühl Resignation beim Fernsehen, die Nachrichten ertrag ich nicht
Und frage mich, was es ist, das uns so leicht hassen lässt
Kinder sind doch Kinder, und nicht Moslems oder Christen
Ihr abgefuckten Spinner macht aus ihnen Soldaten und Faschisten
Die Menschheit hat verschissen
Und schlägt mit blutenden Händen voller Wut gegen Wände aus Hass
Ein Fluch ohne Ende, doch ich suche nach Stärke und dem Guten im Menschen
Aber werde müde, müde vom Denken
Ich verschwende Strom, Benzin, Plastik, Papier
Frag manchmal, was soll ich tun, immerhin trenn ich meinen Abfall
Wir nennen unsere Erde Mutter, dabei ist sie unsere Nutte
Das ist unsre Welt allein, sie existiert um uns zu nutzen
Ich kaufe Fleisch und Geflügel noch im Supermarkt, finds sonderbar
Denn ich weiß, ich fresse Leben, das nicht einmal die Sonne sah
Doch was solls, gleich vergessen, es liegt nicht in meiner Macht
Ich will grillen, scheiss auf Hühnerbatterien und Schweinemast
Und wozu soll ich spenden?
Geld landet in falschen Händen
Und weil alle wie ich denken, wird sich niemals etwas ändern
Der Mensch liebt Delikatessen und kocht qualvoll teuren Hummer tot
Und 8 Millionen Kinder sterben jedes Jahr den Hungertod
Ich leb im Paradies, wenn ich die Welt betrachte
Und trotzdem sind wir depressiv, mit hoher Selbstmordrate
Kultur überspielt es, was sind wir kluge Leute
Der Mensch: ein Virus auf der Suche nach Erleuchtung
Tu dis que l'homme est égal à Dieu
Je dis que l'homme est un animal avec trop d'émotions, trop d'estomac, trop de cerveau
Trop de pulsions et d'addictions, trop de bénédictions et de malédictions
Trop de soi, trop de moi, trop de "va te faire foutre, salope"
Je me résigne à regarder la télé, je ne supporte pas les infos
Et je me demande ce qui nous fait détester si facilement
Les enfants sont des enfants, et non des musulmans ou des chrétiens
Vous les connards, vous en faites des soldats et des fascistes
L'humanité a merdé
Et claque contre les murs de la haine avec des mains saignantes dans la colère
Une malédiction sans fin, mais je cherche la force et le bien chez les gens
Mais fatigue, fatigue de penser
Je gaspille de l'électricité, du gaz, du plastique, du papier
Parfois je demande quoi faire, après tout je sépare mes déchets
Nous appelons notre terre mère, mais c'est notre putain
C'est notre monde seul, il existe pour notre bénéfice
J'achète encore de la viande et de la volaille au supermarché, trouve ça étrange
Parce que je sais que je mange la vie qui n'a même pas vu le soleil
Mais peu importe, oublie, ce n'est pas en mon pouvoir
J'veux griller, baiser des batteries de poulet et engraisser des cochons
Et à quoi dois-je donner ?
L'argent finit entre de mauvaises mains
Et parce que tout le monde pense comme moi, rien ne changera jamais
L'homme aime les mets délicats et cuit douloureusement à mort un homard coûteux
Et 8 millions d'enfants meurent de faim chaque année
Je vis au paradis en regardant le monde
Et pourtant nous sommes déprimés, avec un taux de suicide élevé
La culture l'exagère, à quel point nous sommes des gens intelligents
L'homme : un virus en quête d'illumination
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