Voici les paroles de la chanson : Coffins of November , artiste : October Tide Avec traduction
Texte original avec traduction
October Tide
Tides of October washed over me again
Like a choir of whispers that wakes in me as the dark arrives
Year after year, building my black coffins under falling leaves
With rusted nails, among the rusted trees
And I cannot hide
These chariots of flames and shades that light the night, I cannot hide!
These thoughts that broke the silence, like thunder in my mind
My hands of demons and words of saints
In the end they all will remember
As I ride this madness and drag these coffins
These coffins of November
Like an echo in this valley that I walk, I chant out the weakness
Like a cathedral of souls so lost, my heart always reminds me
Of those piercing eyes like diamonds, like dying embers in the night
When I lay down with my ghosts, who drag me away from the light
These chariots of flames and shades that light the night, I cannot hide!
These thoughts that broke the silence, like thunder in my mind
My hands of demons and words of saints
In the end they all will remember
As I ride this madness and drag these coffins
These coffins of November
Raindrops on my shallow grave, where I listen still and quiet
Scared to breathe and wake those thoughts
To wake the curse in, me again
These coffins in the woods
These wooden sanctuaries from the world
I can’t hide any longer, from this coming darkness
This killing season of the mind
This killing season of the mind
The dark that flames the fires in my eyes
Is the light that guides me through the night
I build these walls to save them
Tonight I count these coffins, five caskets open wide
Les marées d'octobre m'ont à nouveau submergé
Comme un choeur de chuchotements qui se réveille en moi alors que l'obscurité arrive
Année après année, construisant mes cercueils noirs sous les feuilles qui tombent
Avec des clous rouillés, parmi les arbres rouillés
Et je ne peux pas me cacher
Ces chars de flammes et d'ombres qui éclairent la nuit, je ne peux pas les cacher !
Ces pensées qui ont brisé le silence, comme le tonnerre dans mon esprit
Mes mains de démons et mes paroles de saints
À la fin, ils se souviendront tous
Alors que je chevauche cette folie et traîne ces cercueils
Ces cercueils de novembre
Comme un écho dans cette vallée que je marche, je chante la faiblesse
Comme une cathédrale d'âmes si perdues, mon cœur me rappelle toujours
De ces yeux perçants comme des diamants, comme des braises mourantes dans la nuit
Quand je me couche avec mes fantômes, qui m'entraînent loin de la lumière
Ces chars de flammes et d'ombres qui éclairent la nuit, je ne peux pas les cacher !
Ces pensées qui ont brisé le silence, comme le tonnerre dans mon esprit
Mes mains de démons et mes paroles de saints
À la fin, ils se souviendront tous
Alors que je chevauche cette folie et traîne ces cercueils
Ces cercueils de novembre
Des gouttes de pluie sur ma tombe peu profonde, où j'écoute tranquillement et silencieusement
Peur de respirer et de réveiller ces pensées
Pour réveiller la malédiction, moi encore
Ces cercueils dans les bois
Ces sanctuaires en bois du monde
Je ne peux plus me cacher, de cette obscurité à venir
Cette saison meurtrière de l'esprit
Cette saison meurtrière de l'esprit
L'obscurité qui allume les feux dans mes yeux
Est la lumière qui me guide à travers la nuit
Je construis ces murs pour les sauver
Ce soir je compte ces cercueils, cinq cercueils grands ouverts
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