Charlatan's Host - Oh, Sleeper

Sleep takes its hold with a sinking pull.

And now that I’m alone, this burst of light

fills my lids and I’m awake to the songs of horror.

Your ill-bought greatness, he’s seen it all from the frame.

One day you’ll reap the seeds of a shadowed past,

and I can only hope I’m there.

You tried to satisfy the thirst of a thousand ages,

But built a stack of bones as your monument to dead vanity.

It’s just a shrine to the words you use to wreck.

Tell me, How can you sleep?

How can you just welcome the wine and throw out your nets?

You throw out your nets and set fame to bait the noose.

Set fame to derail whats innocent.

Why spare the life of inglorious waste?

Why let him live?

He’s just hunting your own!

How can you just sit there and watch?

«Because i love you more than you know.

Look again and tell me what you see!»

In the window was me.

The massacres were all me!

Oh God, please!

Please!

deliver the penalties for all of this from me.

I’m not finding justice, no warrant for mercy…

don’t give up on me.

Don’t give up on me!

What happens when I turn and run again?

And again, and again?

«I will forgive you.»

And what happens when I lie to your face?

«I will forgive you.»

Oh my God, I can be so defiant to some one who’s arms stretch to me.

«I will forgive.»

Don’t give up on me!

Don’t give up on me!

«I have forgiven you!»

I’ll awake to new purpose to fight this body.

No longer will I play the dark shepherd.

Let not my words be ripped from the throat of a horror.

Oh, forgiver!

Where is justice in letting me live?

Le sommeil s'empare d'une traction descendante.

Et maintenant que je suis seul, cet éclat de lumière

remplit mes paupières et je suis éveillé par les chansons d'horreur.

Votre grandeur mal achetée, il a tout vu du cadre.

Un jour, vous récolterez les graines d'un passé sombre,

et je ne peux qu'espérer être là.

Tu as essayé d'étancher la soif d'un millier d'âges,

Mais construit une pile d'os comme monument à la vanité morte.

C'est juste un sanctuaire pour les mots que vous utilisez pour détruire.

Dis-moi, comment peux-tu dormir ?

Comment pouvez-vous simplement accueillir le vin et jeter vos filets ?

Vous jetez vos filets et établissez la renommée pour appâter le nœud coulant.

Définissez la renommée pour faire dérailler ce qui est innocent.

Pourquoi épargner la vie de déchets peu glorieux ?

Pourquoi le laisser vivre ?

Il ne chasse que le vôtre !

Comment peux-tu juste t'asseoir là et regarder ?

"Parce que je t'aime plus que tu ne le penses.

Regarde encore et dis-moi ce que tu vois !"

Dans la fenêtre, j'étais.

Les massacres, c'était moi !

Oh Dieu, s'il te plaît !

S'il te plaît!

délivrez les pénalités pour tout cela de ma part.

Je ne trouve pas justice, aucun mandat de grâce…

ne m'abandonne pas.

Ne m'abandonne pas !

Que se passe-t-il lorsque je fais demi-tour et que je cours à nouveau ?

Et encore, et encore ?

"Je vais te pardonner."

Et que se passe-t-il quand je te mens en face ?

"Je vais te pardonner."

Oh mon Dieu, je peux être si provocateur envers quelqu'un qui me tend les bras.

"Je pardonnerai."

Ne m'abandonne pas !

Ne m'abandonne pas !

« Je t'ai pardonné ! »

Je vais me réveiller avec un nouveau but pour combattre ce corps.

Je ne jouerai plus le berger noir.

Que mes paroles ne soient pas arrachées à la gorge d'une horreur.

Oh, pardonneur !

Où est la justice de me laisser vivre ?