Ghost - Ohmme

You are the product of a happenstance

Your father’s eyes and your mother’s hands

You dream about the other side of the road

And you hold it close

While you hold the wheel close

Antiseptic analytical mind

With your steel-toed boots and your boots in a line

Don’t want to hit the road and go coast to coast

It’s what you want the most

To fantasize your ghost

I’m counting the days, acquiring the taste

I’m sick of looking at the stupid look on your face

Out in the desert, you buried your wine

And you looked at the roots and you made up your mind

You want to resurrect it from the dream that awoke you

And spoke from your shoulder and said, «You are no one»

You had a notion to keep killing time

But the clock is a wreck and you’ve already died

So leave it all behind and like the others before you

Just walk out the door and don’t tell them goodbye

Ah, where is the fun in feeding the beast?

I’m running from the one with the symmetrical teeth

I’m counting the days, acquiring the taste

I’m sick of looking at the stupid look on your face

I’m counting the days

I’m losing my way

I’m counting the days

I’m sick of looking at the stupid look on your face

Vous êtes le produit d'un hasard

Les yeux de ton père et les mains de ta mère

Tu rêves de l'autre côté de la route

Et tu le tiens près

Pendant que vous tenez la roue près

Esprit analytique antiseptique

Avec vos bottes à embout d'acier et vos bottes en ligne

Je ne veux pas prendre la route et aller d'un océan à l'autre

C'est ce que tu veux le plus

Pour fantasmer votre fantôme

Je compte les jours, acquérant le goût

J'en ai marre de regarder le regard stupide sur ton visage

Dans le désert, tu as enterré ton vin

Et tu as regardé les racines et tu as pris ta décision

Tu veux le ressusciter du rêve qui t'a réveillé

Et a parlé de ton épaule et a dit : "Tu n'es personne"

Tu avais l'idée de continuer à tuer le temps

Mais l'horloge est une épave et tu es déjà mort

Alors laissez tout derrière vous et aimez les autres avant vous

Sortez simplement par la porte et ne leur dites pas au revoir

Ah, où est le plaisir de nourrir la bête ?

Je fuis celui aux dents symétriques

Je compte les jours, acquérant le goût

J'en ai marre de regarder le regard stupide sur ton visage

je compte les jours

je m'égare

je compte les jours

J'en ai marre de regarder le regard stupide sur ton visage