Mort à crédit - Paris Violence

Mort à crédit - Paris Violence

Альбом
Du futur faisons table rase
Год
2014
Язык
`Français`
Длительность
216250

Voici les paroles de la chanson : Mort à crédit , artiste : Paris Violence Avec traduction

Paroles : Mort à crédit "

Texte original avec traduction

Mort à crédit

Paris Violence

Fin de vacances à Paris

Encore un mois d’août sous la pluie

A tituber de bar en bar

Sur les traces de Freddy Lombard

Mais y a ni Sweep ni Dina

Que mon cafard qui est toujours là

Quand je fais le tour du pâté de maisons

Entre deux averses d’arrière-saison

Et le temps passe

En laissant dans nos cœurs comme un goût dégueulasse

Et les jours filent

Avec le rythme morne de nos remords fébriles

Et on se crève

On se surprend à bazarder tous nos vieux rêves

Et on s’aigrit

Au fur et à mesure que le temps s’obscurcit

Et le temps passe, la vie aussi

Et tout s’efface, et tout s’oublie

Et on s’angoisse, et on vieillit

Et on se lasse dans l’agonie

Vingt mètres carrés, troisième étage

Pile de vaisselle sur fond d’orage

BDs ouvertes, revues par terre

Vue sur le périph et sur le cimetière

Et Chaland y est passé aussi

En 1989

Sur l’autoroute, un jour de pluie

Et Freddy part pour le Paradis

Et le temps passe

En laissant dans nos cœurs comme un goût dégueulasse

Et les jours filent

Avec le rythme morne de nos remords fébriles

Et on se crève

On se surprend à bazarder tous nos vieux rêves

Et on s’aigrit

Au fur et à mesure que le temps s’obscurcit

Et le temps passe, la vie aussi

Et tout s’efface, et tout s’oublie

Et on s’angoisse, et on vieillit

Et on se lasse dans l’agonie

K. Dick et Drieu la Rochelle

Pour remettre de l’ordre dans mon bordel

Et toujours une bouteille de Smirnoff

Réponse à toutes les catastrophes

Goût de Craven et de Monte Cristo

Je balance mes vieux tickets de métro

Et je replonge sans demander mon reste

Dans Vacances à Budapest

Et le temps passe

En laissant dans nos cœurs comme un goût dégueulasse

Et les jours filent

Avec le rythme morne de nos remords fébriles

Et on se crève

On se surprend à bazarder tous nos vieux rêves

Et on s’aigrit

Au fur et à mesure que le temps s’obscurcit

Et le temps passe, la vie aussi

Et tout s’efface, et tout s’oublie

Et on s’angoisse, et on vieillit

Et on se lasse dans l’agonie

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